Composition Révolution Francaise

juge. Difficulté contractuelle, on évite les juges. Introduction à l’étude des institutions juridic. : Les sources des institutions I. L’évolution des institutions juridictionnelles : Les grandes lignes des inst. Juridic. datent de la révolution française qui réalise sur ce point une œuvre considérable. Auparavant dans l’ancien régime, grandes diversités : diversité dans les ordres, il y avait des juridictions royales, seigneuriales et canonique. Ensuite diversité dans les attributions, dans

Les révolutions occidentales Naissant tous d’abord aux Pays-Bas (Grotius  « le droit de la guerre et du pays, 1625 »traitant les problèmes des constitutions d’états plutôt que de la guerre entre). En Angleterre (Hobbes « Le citoyen » et « Léviathan », 1651 avec le problème de l’individualisme et de la théorie de l’état de nature, du contrat social donc d’une nouvelle soc basée sur la raison soumise a l’autorité absolu) (John Locke, rattaché aussi au courant du sensualisme « deuxième traité du

on trouve en effet des jacobins à gauche comme à droite. De plus ce débat a aujourd’hui une dimension particulière puisqu’on en parle en termes d’efficacité, et plus d’égalité. Nous allons successivement étudier ce qu’est le centralisme à la française, et ses deux aménagements que sont la déconcentration et la décentralisation. A. Qu’est-ce que le centralisme ? 1. Définition Le cliché de la France est celui d’un pays est un Etat très centralisé. Le centralisme revient à un mode

 Section II : La féodalité. Que se passe-t-il dans le monde féodal dans le bas moyen-âge ? Paragraphe I : la féodalité Française. Dans la concession de fief, deux éléments : un élément personnel, le seigneur choisit son vassal, il y a hommage, puis un élément réel, il y a concession de fief. La noblesse traditionnelle, CAD féodale, a été décimée pendant la guerre de cent ans. En 1346 : Crécy, en 1356 : Poitiers, en 1415 : Azincourt. La noblesse est anéantie. Il n'y a quasiment plus de

Résumé Grandet fait partie de cette génération qui a profité de la Révolution. Il a acquis pour peu d’argent de beaux vignobles, une abbaye et plusieurs métairies. De cette façon, le tonnelier a édifié une vaste fortune. C’est un avare conquérant, différent du peureux Harpagon, et qui a su imposer des contraintes à son entourage familial. Sa femme et sa fille mènent à Saumur une existence étriquée dans un logis lugubre tandis que la grande Nanon, la servante, est soumise aux ordres du maître

trouvera le sens moderne de l’administration. On a en quelque sorte personnifié un rouage technique. Cela n’est pas anodin. L’administration n’est qu’un organe de ministre. Cette évolution de la langue se manifeste très nettement à la veille de la Révolution, au milieu du 18ème siècle, où le Roi Louis 15 gouverne peu. La France est alors à son apogée sur le plan politique, dans ce contexte là, on a un appareil d’Etat qui se met à fonctionner seul. La structure administrative se met à fonctionner de

juridictions. SECTION 1= LES JURIDICTIONS Il existe 2 ordres dans la juridiction, ainsi qu’une dualité de l’ordre des juridictions, judiciaire et administratif. Paragraphe 1 : La dualité des ordres de juridictions. La juridiction française se répartisse en 2 ensembles distincts dont les domaines d’intervention et les règles de fonctionnement diffèrent. Il s’agit de l’ordre du judiciaire et administratif. S’agissant de juridictions de l’ordre judicaire celle qui ont leur tête la cour

vie politique française comptant beaucoup d’acteurs est très riche. Tous ces acteurs ont de nombreux rapports les uns avec les autres. Le passé influence grandement la vie politique actuelle. Par exemple, la Révolution française a beaucoup marqué, imprégnée la vie politique et l’a conduit à développer de nombreuses spécificités (constitution, religion, institutions et leurs rôles, laïcité de la France, clivage gauche-droite, séparation des pouvoirs […]). La Révolution française correspond à la

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36 • Lire un tableau statistique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36 4. Les Lumières, la Révolution française et l’Europe : les droits de l’Homme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 CARTE SITUATION SITUATION SITUATION en + SITUATION COURS 1 COURS 2 ENTRAÎNEMENT

bénéficie d’une totale liberté d’analyse et d’expression, son discours reste étroitement lié au contexte social, culturel, économique et politique dans lequel il se produit. Les historiens recomposent le passé de la Belgique. Au lendemain de la Révolution belge, ils vont tenter d’exacerber le sentiment national et de mettre en évidence l’unité du pays. Ensuite, de nouvelles approches de l’histoire vont se développer : le discours des historiens va peu à peu souligner les différences qui se marquent