Compromis des Nobles

comprend que l’une des grandes revendications du tiers état, en 1789, ait été précisément l’admission de tous à toutes les charges et fonctions. Les fonctions ecclésiastiques, il est vrai, en théorie du moins, semblent accessibles aux roturiers comme aux nobles. Mais, en réalité, toutes les dignités du haut clergé, les sièges épiscopaux, les abbayes, les riches bénéfices ecclésiastiques sont réservés — et de plus en plus exclusivement, à mesure que l’on approche de la Révolution — aux membres de la noblesse

privilèges on était pas jugé de la même façon. Etymologiquement un privilège = Statut acquis à votre ordre et classe. De nos jours, ce mot est devenu péjoratif. ON retrouve 3 grand ordres , ceux qui se battent que l’on appelle les nobles , ces derniers ont un avantage majeur c’est eux qui partent au combat , qui vont donner leur sang. Ils payent le prix du sang en échange ils sont libérés des obligations matérielles il vont avoir une vie plutôt confortables. Il y a ceux qui

avaient exercés . La noblesse est dispensée de payer des impôts mais ils n'ont pas le droit de travailler, sous peine de perdre leur titre . Malgré leur importance, leur talent ou leur richesse, les nobles de robe étaient considérés de haut par les Grands . Ils étaient plus mal vus encore que les nobles provinciaux . La ruine financière de ces derniers s'est poursuivie après 1610 ; ils ont de plus en plus vécu dans la gêne . Ils ont perdu leurs attributions administratives et ils se sont trouvés réduits

du monde d’Anouilh n’est guère optimiste. Ses pièces soulignent généralement la médiocrité d’une humanité menacée par le stéréotype, les comportements mécaniques, la corruption. Face à des personnages caricaturaux, des « fantoches » prêts à des compromis douteux, Anouilh place des êtres jeunes, purs, idéalistes, voués à la révolte comme Antigone mas aussi à l’humiliation et à l’échec. L'auteur traite presque toujours les mêmes thèmes : la révolte contre la richesse et contre le privilège de la naissance

l’écroulement de l’empire, il y a un émiettement du pouvoir et la naissance de la féodalité. Charles Martel a confisqué un certain nombre de terres de l’Eglise et après son succès, devant les réclamations de l’Eglise, a du adopter une solution de compromis. Théoriquement ces terres reste propriété de l’Eglise mais elles peuvent continuer à être exploiter par leur seigneurs sous réserve d’une compensation/taxe. A partir de ce mécanisme, on va glisser vers la féodalité, c’est-à-dire que ces seigneurs

des zones s'opposent à la république (Bretagne, Lyon), mouvement vendéen. La république survit mais réprime sévèrement certaines parties de la population : petite puis grande terreur. => procès sommaires où sont décapités de nombreux nobles et savants. -le mandat impératif = le député est plus que le représentant du peuple, il vote en fonction des recommandations que lui ont donné les électeurs. => inspiration de J-J Rousseau. Ce texte est extrêmement progressif. Mais si

qui s’était interposé. Louis XVI est effrayé il rappelle Necker et l’émigration des nobles commence. 17 juillet, Louis XVI reçoit le général Lafayette et il se montre au peuple en coiffant le bonnet tricolore. Dans la province, à la nouvelle que la bastille est tombée : phénomène de la grande peur, le peuple va dans les couvents, châteaux, il détruit les papiers qui prouvent la propriété des terres des nobles, pillent... Fin de l'Ancien Régime. Première partie : L'Odyssée du lys et le vol

retournement de situation est toujours possible. Ainsi nous pouvons brièvement évoquer Tartuffe , cette pièce de Molière est une succession de malheurs engendrés par l’imposteur, s’acharnant sur ses bienfaiteurs et sur les jeunes amants. Tout semble compromis. Impossible de s’en sortir. Mais c’est alors que, alors qu’il s’apprêtait à faire arrêter ses bienfaiteurs, il se fait, finalement, lui-même arrêter par ordre du roi. Les jeunes amants peuvent alors réaliser leur vœu le plus cher : se marier. On

Clovis. Le Haut Moyen-Âge n'est pas la substitution d'un germanisme triomphant à une romanité expulsée. Aucun royaume barbare n'a vécu sous la domination d'un chef qui a exercé un pouvoir absolu. Partout dans l'Europe de l'ouest, il y a eu un compromis, une synthèse plus ou moins poussée, et création d'une civilisation nouvelle que l'on distingue de la civilisation de la Basse Antiquité et de celle de la Germanie quand elle était indépendante. On peut juger cette civilisation inférieure à la précédente

sociales peut différenciée, les rapports sont extrêmes, voir négatifs. Ce sont donc de société violentes. En revanche, là où les fonctions sociales sont divisée, les relations sont pacifiées. C'est l’ambivalence des intérêts. Les Bourgeois et les nobles vont s'affronter sous la surveillance absolue du Roi.    Le nouveau contexte nécessite un certain nombre de mesures de protections, de régulation : frappe de la monnaie, communication, moyen de production, etc. Elias explique que le monopole se socialise