Comte de Pembroke

confondirent en remerciements. Il insista. Alors son oncle, le comte Hertford, lui dit à l’oreille : – Je vous en prie, ne les pressez point, prince. Il ne convient pas que l’on soit assis en votre présence. Lord Saint-John se fit annoncer. Il entra, salua, et dit : – Je viens de la part du Roi pour une affaire qui demande un entretien secret. Plaise à Votre 59 Altesse Royale de renvoyer tous ceux qui sont ici, à l’exception de mylord le comte Hertford. Tom ne bougea point. Il paraissait ignorer ce qu’il

prisonnier et enfermé dans un donjon du château de Nottingham. 72 Robin Hood continuait activement la recherche de William, qui était, hélas ! le pauvre soldat saisi par les estafiers du baron. Désespéré de l’inutilité de ses investigations dans tout le comté du Yorkshire, Robin Hood regagna la forêt, espérant obtenir quelques renseignements par ses hommes, qui, sans cesse apostés sur les routes qui vont de Mansfeld à Nottingham, auraient peut-être découvert quelque trace du jeune homme. À un mille de Mansfeld

une demande de grâce auprès du gouverneur de Floride, Jeb Bush. Voici son histoire, racontée par Michèle Sénécal, rédactrice pour un journal québécois : “De grosses larmes roulaient sur ses joues. À 13 ans, le vendredi 9 mars 2001, Lionel Tate, de Pembroke Park en Floride, venait d’être reconnu coupable du meurtre au premier degré de la petite Tiffany Eunick, 6 ans, sans possibilité de libération conditionnelle. Jugé par un tribunal pour adultes, Lionel est condamné à la prison à vie par le juge Joel

Diptyque Wilton (fig. 28) acquis en 1929 par la Galerie Nationale de Londres - National Gallery. Appelé ainsi parce qu'il fut longtemps conservé - et il s'agit d'une conservation exception¬nelle - au château de Wilton dans la famille des comtes de Pembroke. L'attribution de la paternité de cet admirable diptyque à Beauneveu a d'autant plus de vraisemblance que, selon le témoignage du même Froissart, plusieurs de ses "bons ouvrages étaient passés au royaume d'Angleterre". Ce diptyque commémore l'avènement

par vos affections. Les opinions des hommes subissent bien des influences plus fâcheuses. » Le docteur Whevell lui demande son avis au sujet de conférences devant des femmes sur Platon, car il craint un peu que les gens ne trouvent cela ridicule. Comte lui écrit des lettres longuement travaillées sur « le rapport entre les femmes et le progrès» et M. Gladstone lui promet que Mrs. Gladstone mettra en pratique à Hawarden les conseils que contient une de ses brochures. Elle fut toujours extrêmement

Bellerose2, à l’Hôtel de Bourgogne : ISAAC DE BENSERADE JEAN MAIRET TROUPE Bellerose Montdory THÉÂTRE Hôtel de Bourgogne Hôtel de Montmorency CERCLE Chantilly Mme de Rambouillet PROTECTEUR Cardinal de Richelieu Comte de Belin Plusieurs précisions sont importantes : Mairet, comme ses deux comédiennes Marguerite Béguin et Madeleine du Pouget, dite la Beauchasteau, pour lesquelles il a composé les rôles de Cléopâtre et d’Octavie, a quitté l’Hôtel de Bourgogne3

fait en riant les actions les plus détestables. — Quel est, dit Candide, ce gros cochon qui me disait tant de mal de la pièce où j’ai tant pleuré et des acteurs qui m’ont fait tant de plaisir? — C’est un mal vivant, répondit 1 C’est probablement le Comte d’Essex, tragédie de Thomas Corneille. 2 Mlle Lecouvreur. l’abbé, qui gagne sa vie à dire du mal de toutes les pièces et de tous les livres; il hait quiconque réussit, comme les eunuques haïssent les jouissants: c’est un de ces serpents de la littérature

fortune et la réputation du livre de La Rochefoucauld furent tels que certains ouvrages qui n’étaient ni des traductions, ni des récritures, s’ingéniaient à se présenter comme tels : c’est le cas des Curious Amusements…, « traduits par un Gentleman de Pembroke College, Cambridge, et publiés en 1714 comme une « imitation » de La Rochefoucauld, [qui] sont en fait tirés des Amusements sérieux et comiques de RivièreDufresny (1699) »116. Le succès du livre connut un revers à la première moitié du XVIIIe : aucune

d'Angleterre de 1509 à 1547, les jardins d'Hampton Court au sud-ouest de Londres (photo 8) sont créés par le ministre Cardinal Wolsey et pendant le règne d'Elisabeth 1ère (1558 à 1603), les jardins de Holland House à Londres et de Hatfield House, dans le comté de Hertford, sont à leur tour dessinés. Les jardiniers anglais de cette époque conservent des idées très médiévales. Ils ne font qu'un usage très limité des innovations italiennes. En Hollande les parterres décoratifs sont en vogue (fig.

l’année fiscale 2011/12 : l l l Au Royaume-Uni, le British Safety Council (BSC) a accordé au chantier de construction de la centrale de Pembroke le label « 5 étoiles » pour l’environnement, l’hygiène et la sécurité (EHS). l l l L’auditeur du BSC a analysé 57 paramètres et attribué la note maximale à 47 d’entre eux. Le site de Pembroke a ainsi obtenu 4 932 points sur 5 000, soit un score de 98,64/100. Maître d’œuvre du projet, Alstom est responsable des aspects EHS sur le site de