Concept De Civilisation Chez Norbert Elias

à chaque fois les nations ou les nationalités – étant assez raisonnablement entendu, nous semble-t-il, que la forme Nation, au contraire des nationalités, « n’est pas elle-même une communauté [...] même pas le type idéal d’une communauté, mais le concept d’une structure capable de produire des “effets de communauté” »2 , la forme Nation incluant aussi un ensemble de contraintes, « une façon pour des forces économiques [rajoutons, ou politiques] de déterminer des effets symboliques et inversement »,

ensuite c’est Parson puis Bourdieu . - La deuxième matrice est ce qu’il décrit la rationalisation avec Weber, Elias, Foucault . - La troisième matrice est ce qu'il décrit la condition moderne avec Simmel, Goffman et Giddens . Dans cette matrice, il

selon laquelle la poursuite des intérêts individuels soit la seul source de l'action des individus. Pour lui, la société moderne est un système de représentation produit par l'action des individus. Pour Weber, « l'idéal type » désigne un ensemble de concept abstrait tirés de l'observation, de la décomposition, par l'analyse sociologique, de situations sociales. L'analogie qui est faite est une analogie avec la chimie : il est possible pour un chimiste de décomposer des molécules en atomes. De la même

raison pour laquelle la notion de pouvoir est au cœur de l’étude du fonctionnement politique des sociétés et donc le rapport a la légitimité et a la violence. Il faut donc commencer par définir cette notion de pouvoir ainsi qu’un certain nombre de concepts proches et notamment celui de domination avant de pouvoir répondre à certaines questions comme celle de la reconnaissance attribuée naturellement aux gouvernants ou encore celle de l’obéissance des individus aux injonctions des gouvernants. La

les programmes à travers lesquelles transit les politiques publiques. * Polity : Dérivé de politae Autre difficulté qui tient du fait que la notion même de phénomène politique, de fait politique est variable d’une époque à l’autre, d’une civilisation à l’autre. Il y a des activités qui avant pouvait être considéré comme hautement politique et qui maintenant sont des actions politiques à part entière. Exemple de la colonisation qui fut sous la 3ème et 4ème république un problème politique majeur

actes individuels sur le fonctionnement de la société. Une société est composée d'une masse d'individus et tous les individus vivent en société. Les deux objets individus et sociétés sont donc indissociables. Nous sommes pourtant poussés à former des concepts absurdes comme celui d'individus et de société qui font apparaître l'individu et la société comme deux choses différentes. Les sociétés sont bien sur formées d'individus qui deviennent humains grâce à leur capacité de parler de penser et d’aimer

société va mal donc il y a l’idée que si l’on étudie la société on va pouvoir l’aider à aller mieux (les premiers sociologues sont des ingénieurs ex : Comte) Conclusion : définition de la sociologie ● La sociologie est un discours qui manipule des concepts et qui les utilise comme des moyens et non comme une fin. ● De plus, la sociologie est une science qui produit et traite des données empiriques. ● Cette dernière est convaincue qu’il est possible d’identifier un registre de connaissance spécifique

considérer extérieur à la société. La sociologie doit conquérir cette extériorité. Norbert Elias dit qu’il faut rompre avec une série de choses (parler, concevoir le monde) mais surtout avec une vision égocentré du monde c'est-à-dire « j’existe et puis il y a les autres ». Cette vision ne s’interroge pas assez sur les liens « l’individu n’est rien sans la société et la société n’est rien sans l’individu ». Norbert Elias prend l’exemple de La société de cour de Louis 14 : l’ego serait le roi et la cour

appelle l’Occident ? L’Occident définissait l’endroit où le soleil se couche dans les civilisations antiques comme l’Egypte Ancienne (occident vient du latin occidere qui veut dire tomber). Il était alors qualifié par l’obscurité et la mort plus que par la lumière ou la connaissance. Néanmoins l’Occident devint, avec l’avènement du monde hellénique, une civilisation au deux sens du terme. En effet la civilisation peut être vue comme un processus de différenciation d’avec la barbarie, un Idéal dont

rendant alors la « société mondiale » dominante sur la société traditionnelle. Plus couramment, notamment grâce aux nombreuses alliances multilatérales et aux voyages, on observe une perte du sentiment de rattachement national et ce plus particulièrement chez les jeunes générations qui se considèrent alors comme « citoyens du monde ». On perd alors le sentiment de l’état nation qui, pourrait être assimilé comme une perte du sentiment constitutif de la société traditionnelle (étatique ou ethnique).