Conception De L Homme Descartes

célèbre l’esprit des Lumières : « Ose penser. Aie le courage de te servir de ton propre entendement ». Penser avec sa raison, telle est la devise des Lumières. C’est la raison, toute-puissante, contre la tradition et les coutumes. En effet, depuis Descartes, la rationalité moderne se constitue surtout dans le rejet de la tradition, perçue comme un ensemble de préjugés irrationnels. Des préjugés ne sont pas des pensées. Ils existent justement parce qu’ils n’ont pas été jugés : les préjugés ne témoignent

(relatif à tout ce qui existe, il n’existe que des substances). Pour Aristote, ces substances sont des réalités complexes : -       Matière et forme : la matière est un élément particulier et la forme est tout ce qui est universel. Entre alors la conception d’hylémorphisme (=doctrine ontologique qui attribue à l'Être une forme et une matière) -       Puissance et acte : la puissance est le potentiel (en devenir) et l’acte est l’actuel. Entre alors la théorie des 4 causes de la substance : 1.               

la foi : - Théorie naturelle : tente explique dieu par la raison - Théorie révélée : vérité transmise directement a un homme par dieu, qui sera élu, témoin, basé sur la confiance qui va transmettre message. St thomas essaie de prouver rationnellement l’existence de dieu et de cerner sa naturel ses attributs divin : bonté, toute puissance, mystères (immaculé conception trinité) La raison peut explique que certaines choses sont impossible parce que rationnellement contradictoire et permet de

Questionnaire sur les méditations métAphysiques I & II De DESCARTES (édition Nathan) * Première méditation 1. DESCARTES doute car il arrive à un point de sa vie où il se rend compte que depuis son enfance il a acquis de nombreuses connaissances, opinions et principes erronés : « dès mes premières années j’ai reçu quantité de fausses opinions pour véritables » p.53. Il décide donc de se pencher sur ses doutes, de les réévaluer afin d’obtenir son propre point de vue et de

Sujet 2 - explication de texteIntroTocqueville dans ce texte développe sa conception de « la croyance dogmatique ». Celle-ci est généralement considéré comme un obstacle à la recherche de la vérité mais l’auteur lui se demande dans quelles mesures ces croyances sont nécessaires pour permettre aux hommes de se réunir en société. Il propose de considérer « la croyance dogmatique » pour son rôle social et non pas pour sa valeur de vérité. Il structure son argumentation en trois étapes. Dans une première

nature). Qu’est-ce que le Beau ? Ses critères ? Qu’est-ce que l’art ? 4. La métaphysique = questions existentielles. Etymologiquement, « au-delà de la nature ». 5. L’anthropologie = qu’est-ce que la spécificité de l’Homme ? Homme différent de l’animal ? Conception de l’Homme en fonction de la culture ? « Anthropos » = humain et « logos » = discours  Avant la philosophie existent les mythes qui expliquent le monde : - Théogonies = mythes qui expliquent la naissance et les générations

est question d'une discussion autour de la thèse déterministe, autrement dit, qui nie à la liberté. Cette thèse renvoie à l'idée commune que l'on se fait de la condition de l'homme, de sa liberté et du bon sens. Sartre évoque donc le fait que tout homme serait confronté à des limites, des obstacles, des obligations qui s'opposeraient donc à leur liberté humaine. En effet, beaucoup de choses ne dépendent pas de l'homme : leur milieu social, leur nationalité, leur famille … On pourrait alors se demander

- LES TERMES DU SUJET Le sujet fait référence à une conception de l'homme. Il faut entendre par là une certaine idée, une certaine représentation de l'essence de l'homme. Le "de" doit être entendu comme un génitif objectif : on doit s'interroger sur les différentes définitions possibles de l'objet "homme". Le sujet suppose, comme un préalable, l'existence d'une "hypothèse de l'inconscient". Cette hypothèse est à l'évidence celle de la psychanalyse, ou du moins de toute théorie psychologique

la notion de bien en opposition avec la notion de mal). Le relativisme des sophistes mène donc à l'indifférence : tout est égal. 2e problème : celui qui soutiendrait que la conception de Protagoras est vraie aurait autant raison que celui qui soutiendrait qu'elle est fausse. Or, il y a là contradiction, car cette conception ne peut être à la fois vraie et fausse (cf. plus bas, le principe de contradiction en logique). En fait, Protagoras confond deux choses : la vérité et l'opinion. La vérité

des rationalistes (Descartes) qui la définissent comme une substance pensante ; Locke étant empiriste et voulant justement détruire le recours à toute idée de substance, il s’attache donc exprès à un caractère qui ne suppose pas d’y recourir : la notion de conscience. Il insiste ainsi sur le fait que la conscience est inséparable de la pensée, pour se permettre d’en déduire sa thèse concernant la définition de la personne : la personne se réduit à la conscience… a) Sa conception est basée sur un postulat