Conception De La Politique Par Machiavel

Problématique L’un des credo du libéralisme pourrait s’énoncer de la manière suivante: «Moins il y a de politique, plus il y a de liberté. ». Selon cette conception, la liberté se déploie dans le domaine des affaires individuelles, qu’elles soient économiques, culturelles ou religieuses. Le rôle de l’Etat doit, de ce fait, être extrêmement limité. Il suffit qu’il maintienne la sécurité des citoyens et qu’il garantisse la propriété privée. L’Etat, ainsi compris, est un moyen, un moyen au service

sociologues IV) La définition de l’objet et les conceptions de l’homme en société (paradigmes) : holisme ou individualisme, déterminisme ou liberté de l’homme en société ? -L’exemple de l’accès aux études supérieures et de la mobilité sociale -Le postulat de la rationalité : R. Boudon : « le sociologue a avantage à voir dans l’acteur social un individu rationnel ». - Critiques de la rationalité : Karl POLANYI - Tension entre ces deux conceptions dans les travaux des sociologues contemporains.

renouvelée : Les humanistes vivent dans un monde qui va favoriser à partir du XV° siècle l'expression de leur pensée. A cette époque en effet, la disparition des grands fléaux du moyen âge tels que la peste et les famines, de nouveaux équilibres politiques, l'affirmation de la bourgeoisie commerçante, et l'invention de l'imprimerie, permettent l'essor de l'humanisme. Politiquement, à partir du XV° siècle, le système monarchique s'affirme dans toute l'Europe comme supérieur aux systèmes féodaux

3) 3) Les symptômes de la maladie historique (chapitres 4 à 9) 4) L'éloge de l'oubli comme remède à cette maladie Conclusion I II- Des bons usages de l'histoire A- L'utilité de l'histoire (le passé " vivant ") 1) Les leçons de l'histoire -Machiavel 2) L'histoire peut encore servir à la connaissance du genre humain B- Mais n'est-ce que l'utilité qui fait que l'homme s'intéresse à son passé ? N'est-ce pas également un plaisir gratuit ? 1) Peut-on vraiment tirer des leçons de l'histoire ? -

Philosophies politiques classiques     Introduction   Goethe : « Au début était la Grèce,… »   A-  Pourquoi commencer par l’étude de la philosophie grecque ? et pourquoi remonter si haut, mais pas plus haut dans l’Histoire ?   L’Histoire commence à Sumère et à Babylone en – 4000 av JC, puis continue avec les Egyptiens et les Hébreux de la Bible. Ces 3 civilisations ignorent le politique et les Grecs ont inventé la politique. Les Hébreux ont inventé la théologie, les Egyptiens également

d’importance. Un partage du pouvoir avec les assemblés est développé. Les Tribuns ont l’initiative de presque tous les textes. Les prêteurs (magistrat) font campagne, chaque année, pour être élu sur un programme juridique : ( évolution de la société ( Politique et juridique Ils promettent des actions en justice, sanctionnent sur les actions de fait. Avec ce système renouvelé, on garde l’ancien droit et on l’alimente ace ce que crée le magistrat. Le droit prétorien, c’est le droit créé par le juge.

Introduction à la philosophie politique | La philosophie est une discipline qui vise la transformation des opinions en connaissances , une quête permanente de la vérité universelle sans pour autant faire obstacle contre le philosophe qui ne peut cesser de poser son analyse critique sur tout l’accepté et l’existant son avènement est fortement lié à la Polis des grecques qui se livraient aux discussions et débats sur les choses politiques. Mais la Cité en tant qu’ organisation sociale va par

mûrir la réflexion : 1) L'Etat est une institution L'Etat est une entité créée par l'homme. Cette entité est politique : elle orchestre la manière dont les hommes vivent ensemble. Cette création est amenée à changer, à évoluer comme le montrent les révolutions ou les réformes de la Constitution de l'Etat, c'est-à-dire des lois qui définissent le fonctionnement du système politique. La Constitution est l'ensemble des lois qui définissent la structure de l'Etat. Les lois décidées par la suite pour

kantienne et sa différence avec la philosophie morale des Anciens (ou : les rapports entre bonheur et moralité)A- Identité Bien/ bonheurB- Est-ce une morale du "sentiment ", comme le voudrait l’interprétation kantienne ?III- Eléments pour critiquer la conception kantienne de la moralitéA- L’évacuation du bonheur de la vie morale est-elle vraiment pertinente ?B- L’action bonne kantienne est-elle possible à l’homme ?C- L'action bonne kantienne est-elle vraiment louable ?En guise de conclusion, un exercice

rupestres à l'art numérique Les XVème et XVIème siècles sont considérés comme une époque de transition entre le Moyen-Age et les Temps Modernes. C'est durant cette période qu'eut lieu une série de changements politiques, économiques, sociaux et intellectuels : LA RENAISSANCE. Sur le plan politique, le féodalisme perd de l'importance : les villes sont fortes et les rois, dont les nations sont déjà établies, sont puissants. Le pouvoir papal s'en voit affecté et souffre bientôt d'un autre mal: la Réforme