Conception De La Vie Creon Antigone

transformation sociale et culturelle d’une société. On pourra aussi juger de l’adaptabilité du droit à un milieu social donné : les droits qu’il faut garder, celles qu’il faut changer. Périodes historiques : Antiquité : environ 1000 av. JC – VIe siècle ap. JC MA : VIIe siècle – XVe siècle : invasions barbares qui vont envahir l’empire romain et engendrer sa chute. C’est un siècle sombre, il n’y a pas d’état fort de droit. A partir du XIIe siècle = renaissance économique car il y a la paix

Crusoé n'avait pas besoin de droit car seul). Il s'agit d'organiser les relations entre plusieurs personnes, autrement que par des phénomènes de force ou de pouvoir. Le droit organise les rapports sociaux et le pouvoir de contrainte, inhérent à toute vie sociale et dont le droit a le mérite de déterminer les conditions de validité de ce pouvoir de contrainte. Le droit permet d'éviter arbitraire et violence. Il est un élément de civilisation qui a pour but de faire régner l'ordre, la paix sociale et

I. L’instrument du droit.
 
 Le 1er instrument du droit ce sont ses règles diverses et distinctes d’autres modes d’organisation de la vie sociale. Le droit n’est pas tout le champs de la régulation sociale, ce n’en est qu’une partie. 
 
 A. La spécificité de la règle de droit.
 
 Le droit n’est pas le seul régulateur de la vie en société: l’organisation de la vie sociale est en effet l’objet de nombreuses règles qui relèvent pour certaines de la politesse élémentaire, des commandements religieux

Prométhée. Mais par ailleurs Zeus chercha à se venger des mortels que Prométhée avait favorisés en leur remettant le feu. Tous les dieux créèrent une créature de rêve : Héphaïstos la façonna dans la glaise, à l’image des déesses immortelles, et lui donna vie, Athéna lui attribua l’art de filer et de tisser, Aphrodite répandit sur son front la grâce et le douloureux désir, Hermès enferma en son cœur la perfidie et le mensonge. Cette créature, Pandore (« don de tous »), arrivée sur terre, souleva le couvercle

commun des mortels, sans doute, le droit est ce qui ordonne, ce qui interdit. L’idée qu’ils ont du droit est essentiellement liée à la contrainte, à la sanction. Mais le droit est aussi beaucoup plus que cela. Le droit est partout. Le droit régit la vie des hommes. Il surgit dans tous les rapports humains. Il n’est pas étranger aux rapports d’affection : le droit régit les rapports entre époux, y compris pour des questions aussi intimes que la fidélité ou l’assistance pendant la maladie mais aussi

ça. Très souvent faussement archaïque. Ensemble hétéroclite comme si on avait crée une langue pour une œuvre. Peu d’exemple de cette manière de faire. On fabrique une langue qui va s’accorder à la matière que l’on va avoir. On peut imaginer que la vie de l’auteur est vers le VIII°s av. JC. Mais ce qu’il raconte se passe bien avant. La matière est plus antique, et c’est comme une révérence à cette époque révolue, à un monde perdu, oublié, qui porté des valeurs surement différentes que celles de l’époque

nommer, pour appliquer au fait le régime juridique. Ce pouvoir est considérable. Nommer quelqu’un ou quelque chose, c’est le créer, l’appeler à la vie. C’est pour cela que le droit n’a pas toujours été perçu comme le propre de l’homme. Chaque civilisation a fait naître le droit à sa manière, selon sa conception de Dieu, selon sa conception des hommes. Le droit a pu naître d’un ordre divin, de la contrainte voulue par un pouvoir, de l’inspiration des philosophes, de la nécessité des échanges

questionnement refoulé Si les philosophes ont toujours pratiqué le questionnement, ils n’ont pourtant jamais questionné le questionnement. Pourquoi un tel refoulement du questionnement ? Quelle métaphysique a émergé de ce refoulement, sinon une conception où les « réponses » s’imposeraient par intuition ou évidence pour les premières, par déduction pour les dérivées ? En philosophie pourtant, on cherche, et on cherche à ne rien présupposer, à ne rien laisser en dehors du champ d’investigation : on

........................................................................... Texte A. Emmanuel Carrère, L’Adversaire (quatrième de couverture) .................................................................. Texte B. Deborah Ross, « Pour elle, la vie n’est vraiment qu’un long fleuve tranquille », The Independent .......... Texte C. André Malraux, Antimémoires ................................................................................................................. Sujet 3. Objet d’étude :

ces libertés publiques ont acquis un statut constitutionnel. Certains pensent qu'il y a quelque chose au dessus de la constitution, quelque chose qui est de l'idée d'un patrimoine sacrée, résurgence du droit naturel, au dessus du droit il y a la conception de l'homme. Conclusion de la section: réflexion su l'existence ou la non existence d'un statut supra constitutionnel. §1: Le statut constitutionnel §2: Le statut international. Même si la société internationale ne garantie pas les libertés en