Conception Du Pouvoir Merovingiens

C’est un droit territorial. La coutume ne procède pas de la volonté du seigneur. On doit souligner le grand morcellement du droit qui met en évidence la démembrement de la puissance publique. • Des droits de caractère militaire. La réalité de son pouvoir dépend de sa force militaire. Les roturiers sont soumis à une obligation de service au bénéfice du seigneur. Il s’appuie tout d’abord à ses vassaux, qui sont nobles. Ils combattent à cheval : ce sont des chevaliers. Ils sont soumis à la corvée. Les

informations concernant la civilisation. Ces poèmes nous ont donné une image de la civilisation qui existait à cette époque. Tout d’abord, il y avait un roi. Ce roi était d’origine divine (pas de pouvoir d’état) et il considérait que ces ancêtres étaient des dieux de l’Antiquité. Le roi est héréditaire. Le pouvoir royal se transmettait au sein de la même famille. Il a un caractère dynastique. Les prétendants au trône essayaient d’épouser la fille du roi ou l’épouse de roi. Dans l’Odyssée, la guerre de

succession simple parce que c’est la coutume qui va déterminer les règles de dévolution de la Couronne c'est-à-dire que contrairement au droit privé, la volonté du roi ne peut pas interférer. Le roi ne peut pas abdiquer, ni renoncer par avance au pouvoir et ne peut pas écarter un successeur légitime, ni de légitimer un successeur. De l’indisponibilité, on a des règles qui s’y émanent : l’instantanéité de la succession : « le roi est mort. Vive le roi ». la continuité de la Couronne : L’héritier

anciennes sont à l'origine des évolutions postérieures. L'objet de ce cours est de comprendre comment le droit se forme, comment il est créé, d'où il vient, comment il évolue en fonction d'une société, d'une idéologie, selon les gouvernements au pouvoir, selon la forme du régime politique, ou en raison des circonstances concrètes, matérielles, et contingentes. Il va de soi que les mots du droit, ses concepts, ses mécanismes et ses règles ne sont pas né d'hier. Ainsi le code civil de 1804 qui pour

la christianisation des peuples slaves achevée au IXe siècle, il n'y aura dans l'Europe orientale médiévale ni missionnaires, ni croisades, ni inquisition, et les églises orthodoxes, multiples, vont se trouver en position de subordination face aux pouvoirs politiques des tzars, des voïvodes, des hospodars chrétiens, voire des sultans musulmans de l'Empire ottoman. Toutefois, en pratique, l'Europe orientale médiévale correspond en gros aux peuples dont la référence spirituelle est le Patriarcat de Constantinople

par le biais de la cité grecque. L'évolution politique grecque conduit au passage de la royauté à l'aristocratie. Au 5 e avant J C, passage de l'aristocratie à la démocratie grâce à la tyrannie. Le tyran est une personne qui se voit confier des pouvoirs sans limites, chargé de fixer le développement de la cité et d'instaurer l'égalité devant la loi et de permettre aussi le progrès démocratique de la cité grecque. Périclès au 5e s av J C est un homme politique qui agit dans le cadre de la cité

synonyme de l’arbitraire, au sens étymologique, signifie ab solutus,( ab = le privatif, solutus= le lien), cela veut dire qui n’a aucun lien, qui est entièrement libre pour exercer son pouvoir. Le souverain est donc un arbitre, un monarque absolu, cette idée n’est pas propre l’ancien régime. Avec la révolution, le pouvoir absolu revient au législatif. A l’époque moderne, l’absolutisme passera de l’exécutif au législatif. L’ambiguïté vient du 18e siècle, au cours du 18 e, la bourgeoisie intellectuelle

polie puis taillée) ( circa 10 000 -3 000 av. n. è. ). Par ailleurs, chez LévyStrauss il est question d'histoire cumulative dans les sociétés contemporaines depuis le XVIlle siècle et précisément 1' avènement de l'ère industrielle en Occident. Ces conceptions de l'histoire ne nous apportent pas pour autant une définition claire de l' «histoire» . ll faut se reporter au grec ancien : le terme \atOpta recouvre plusieurs sens qui sont dans l'ordre 1°) la recherche, 2°) l'information, 3°) le récit, le conte

administratif de plus en plus développé suit tout naturellement la courbe d’évolution de l’appareil étatique. L’administration sur le plan technique n’est que la courroie de transmission des mesures imposées par le pouvoir politique. Il faut ainsi essayer de distinguer l’action du pouvoir politique, de l’action administrative elle-même. Autrement dit, l’agent de l’Etat n’est pas délégataire, directement, de la souveraineté. Les titulaires de prérogatives de souveraineté sont ceux que la nation élit

Pouvoir Catégorie centrale de la pensée politique moderne, la notion de pouvoir hérite d'une histoire complexe où la tradition de la philosophie antique (des sophistes à Aristote) se croise avec des représentations issues du christianisme. Les conflits d'attribution entre autorités temporelles (l'empereur et les princes) et spirituelles (le pape et l'Église) ont marqué tout le Moyen Âge européen, et si la fin des guerres de Religion (traités de Westphalie, 1648) a tranché la question du pouvoir