Concile de Chalcédoine

seront principales source de droit de l’Eglise jusqu’à la fin du premier millénaire.il s’agit des canons des conciles, des décrets des papes et des collections canoniques. Dès cette époque vont s’ajouter à ces sources propres au droit de l’Eglise des sources propres au droit Romain car l’empereur légifère en faveur de l’Eglise. 1) La législation conciliaire (4e et 5E siècles). Concile : terme latin concilium qui désigne une assemblée extraordinaire que l’on réunit en raison de circonstances

de Lyon (saint Pothin, sainte Blandine…). 312 Bataille du Pont Milvius. « In hoc signo vinces ». Arc de Constantin à Rome inauguré en 315. 313 (13 juin) Édit de Milan (Constantin donne la liberté de professer la religion catholique). 325 Concile de Nicée, convoqué par Constantin (Arius condamné. St Athanase, le « Credo de Nicée ») 330 Constantin quitte Rome pour s’installer à Byzance qui prend le nom de Constantinople. 380 Édit de Thessalonique par Théodose le Grand. Le christianisme

rois francs dès l’époque mérovingienne. Le roi franc doit être l’exemple à suivre, le guide 2) Déférence due au clergé Les évêques ne sont pas seulement les garants de la foi conciliaire définie par les conciles de Nicée (325), Ephèse (431) et Chalcédoine (451), le soutien de ce clergé gallo-romain est d’autant plus préférable pour Clovis car il représente la grande majorité de la population gauloise. Les évêques, sont les premiers hauts personnages dans les cités depuis autorités

l’organisation des églises 1. la progressive séparation • D’une part, Paul diffuse son message aux non juifs, affichant clairement que les hébreux ne dispose pas de leur statut de peuple élu dans la nouvelle religion. • Par ailleurs, le premier concile de l’église chrétienne qui se tient à Jérusalem en 49 après JC autorise les non juifs nouvellement convertit aux christianismes, à ne pas suivre les règle du judaïsme. • Mais la rupture définitive a lieu en 70 après JC. A cette date, les juifs

devenu inintelligible, la grâce ne peut plus être comprise « comme une sorte de complément intrinsèque » de la nature. L’Eglise dans sa réalité ontologique est donc intégralement reversé dans l’ordre de l’invisible. La réponse de Bellarmin Le concile de Trente ne traite pas à proprement parlé des problèmes ecclésiologiques. Il entend dissiper la confusion sur les points qui lui semblent le plus dangereusement menacés par la réforme. Au nombre de ceux-ci, le statut que les réformateurs reconnaissent

de tous les citoyens = régime politique collégial. 1- Les organes du pouvoir Le régime républicain romain combine 3 organes: - Coniss : les Assemblées qui réunissent l'Ensemble du peuple. La Plèbe. Autres type d'Assemblé : les conciles de la Plèbe : ne réunissent que des plébéiens. Voter loi, élire magistrats Le Sénat: il rassemble l'ensemble des magistrats sortis de charge. Rôle fondamental. Le Sénat confère un pouvoir: l'autorité du Sénat. Les magistrats: puissance

citoyens, de leurs familles et les relations entre les citoyens eux-mêmes. L'ancien droit romain fut mis en accord avec les principes de la morale chrétienne et du droit coutumier de l'Orient hellénisé. De plus, les canons ou lois des cinq premiers conciles de l'Église recevaient force de loi. L'œuvre religieuse de Justinien Pas plus que les hommes de son temps, Justinien ne pouvait concevoir de séparation entre l'Église et l'État. Il gouverna donc aussi bien l'une que l'autre à une époque où questions

d’hérésies, que l’Église s’est empressé de rectifier. Mais d’où lui vient cette quasi suprématie, cette majesté imposante qui a fasciné et fascine de nombreux disciples depuis 2000 ans ? La réponse se trouve dans ce que le quatrième concile œcuménique de Chalcédoine, en 451, a précisé : Jésus est vrai Dieu et vrai homme, deux natures en une seule personne. Étant Dieu, il émanait et rayonnait de la gloire qui vient de Dieu, cette gloire qui atteint son apogée dans la croix et la Résurrection, et par

perdu une grande partie de sa crédibilité lors de son séjour | | |à Avignon et pendant toute la durée du Grand Schisme. Pour sortir de la crise, évêques et cardinaux décident| | |de donner au concile une autorité supérieure à celle du pape. Mais cette tentative de réforme échouera | | |devant le refus des souverains pontifes de céder une partie de leur suprématie monarchique. La papauté |

volonté propre, sur la charité et le respect des uns pour les autres, sur l’application des commandements de l’Évangile avec crainte de Dieu et foi orthodoxe. Rappelé à Césarée en 360, il fut ordonné diacre par son évêque, Dianios, et assista au concile de Constantinople, au cours duquel il put mesurer avec douleur combien l’Église du Christ était déchirée par les luttes interminables entre ariens, semi-ariens (homoioussiens) et orthodoxes. Le faible Dianios s’étant laissé entraîner à signer le formulaire