Concile de Chalcédoine

à organiser un concile œcuménique à Ephèse (431), concile où il triompha par la ruse, la force et l’argent : le nestorianisme fut condamné et Nestorius déposé. Le successeur de Cyrille d’Alexandrie, Dioscore d’Alexandrie soutient violemment le monophysisme et va obliger Théodose II à réunir un nouveau concile à Ephèse encore (449) et va se comporter avec encore plus de violence que Cyrille. Le successeur de Théodose II, Marcien, convoqua un nouveau concile, le Concile de Chalcédoine en 451 dans lequel

nos cœurs sur la piété de Louis ; poussons jusqu'au ciel nos acclamations, et disons à ce nouveau Constantin, à ce nouveau Théodose, à ce nouveau Marcien, à ce nouveau Charlemagne, ce que les six cent trente Pères dirent autrefois dans le concile de Chalcédoine : "Vous avez affermi la foi, vous avez exterminé les hérétiques ; c'est le digne ouvrage de votre règne, c'en est le propre caractère. Par vous, l'hérésie n'est plus : Dieu seul a pu faire cette merveille." Du reste, Bossuet n'est pas resté

majoritairement le grec, zones latines, mosaïque de religion : majoritairement chrétienne, même l’Eglise principale est soumise à des divisions assez nettes, elle n’est pas unifiée : il y a plusieurs capitales religieuses déterminé par un concile en 451 Chalcédoine : 5 métropoles religieuses, pas de hiérarchie donc concurrence : Rome, Antioche (Syrie, Alexandrie (Egypte), Jérusalem. Plusieurs vont perdre leur influence : Antioche, Alexandrie et Jérusalem, Rome et Constantinople vont résister : catholicisme

prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis quelques minorités, qu'il est le fils de Dieu, à la fois de nature divine et de nature humaine. Les trois principales confessions chrétiennes, c'est-à-dire les catholiques romains, les orthodoxes des 7 conciles et les protestants, étudient l'interprétation patristique des textes scripturaires. La Bible hébraïque est l'un des deux textes fondateurs du christianisme, qui la nomme Ancien Testament ou Premier Testament[7]. Le Nouveau Testament, centré sur

Constantin gagna, mais Licinius se retira à Byzance(Istanbul) où il fut assiégé par Constantin. Le général de Constantin, Crispus, vaincu Maximien avec 80 trirèmes contre 200 trirèmes, car les 200 navires étaient trop serrés. Maximien s’enfuit alors à Chalcédoine où il fut de nouveau battu et le reste de son armée fut écrasée à Chrysopolis (1 district d’Istanbul). Licinius se rendit lorsqu’il fut assiégé dans Nicomédie, il fut étranglé peu après à Thessalonique. À partir de ce moment Constantin était devenu

Le rôle de l’évêque Dans la hiérarchie ecclésiastique, l’évêque est le représentant local de l’Église. Il est chargé de participer aux différents conciles qui organisent la vie religieuse et ecclésiastique de l’empire et du monde chrétien. ( Nicée 325 ). Ceux-ci conduisent certains laïcs de haut-rang à prendre un engagement devant Dieu en renonçant au monde et à leurs biens

Clément de Rome, Ignace d’Antioche… B.2 : Les Pères du IIe siècle - Les Pères "apologistes" : Justin, surtout Irénée… Ils se sont préoccupés tout particulièrement des hérésies (nombreuses). C'est par là que s'expliquent en partie les grands Conciles : Nicée (325), Constantinople (381), Ephèse (431)... On sait le rôle de certains "Pères" pour lutter contre les hérésies : Irénée (V. 140 – 208), St Hippolyte de Rome (v. 170-v 235)... Il s’agit très précisément, alors que l’Eglise s’étend, de préciser

prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis quelques minorités, qu'il est le fils de Dieu, à la fois de nature divine et de nature humaine. Les trois principales confessions chrétiennes, c'est-à-dire les catholiques romains, les orthodoxes des 7 conciles et les protestants, étudient l'interprétation patristique des textes scripturaires. La Bible hébraïque est l'un des deux textes fondateurs du christianisme, qui la nomme Ancien Testament ou Premier Testament[7]. Le Nouveau Testament, centré sur

catastrophe survient à un moment critique, car l'armée d'Attila se dirige vers la ville. La population se mobilise et les murailles sont reconstruites en deux mois13. Les Huns, peu doués pour la guerre de siège, se détournent de la cité. Le concile de Chalcédoine de 451, dans son vingt-huitième canon, donne à la ville de Constantinople le titre de « Nouvelle Rome »14, ce qui fait de son évêque, le patriarche de Constantinople, le second personnage de l'Église. Cela contribue encore à donner à la ville

orthodoxe Qui est conforme au dogme, à la doctrine d'une religion (par opposition à hérétique). Églises orthodoxes : Églises chrétiennes orientales, séparées de Rome depuis 1054, mais restées fidèles à la doctrine définie par le concile de Chalcédoine (451). Rassemblées sous la primauté d'honneur du patriarche œcuménique de Constantinople, les Églises orthodoxes (env. 180 millions de fidèles) comprennent notamment les trois anciens patriarcats d'Alexandrie, d'Antioche et de Jérusalem