Concile de Chalcédoine

comprendre l’origine du dogme et des pratiques religieuses qui structurent pour longtemps la vie de l’Occident chrétien. L’élève doit également percevoir l’élaboration progressive du christianisme et son organisation en Église (prêtres, évêques, conciles…). Le second point consacré à la diffusion du christianisme, religion à vocation universelle, pose les problèmes essentiels des relations de l’Église et du pouvoir : comment une religion, dont les adeptes ont été parfois persécutés, devient une religion

Le régime républicain combine 3 organes qui disposent chacun d’un pouvoir spécifique. -Les comices Ce sont les assemblées qui réunissent l’ensemble du peuple romain : les aristocrates + les nobles = le patritia (la noblesse) et la plèbe. Les conciles de la plèbes sont ≠ : ces assemblées ne réunissent que les plébéiens. Ces assemblées servent à voter les lois et élire les magistrats. -Le Sénat Rome a toujours eu un Sénat (en latin Sénatus, Senex = le vieux). C’est l’assemblée des sages. Il

lorsque l’Eglise devient une véritable institution qui se dote d’un tribunal. Dès cette époque, se forme 3 types de documents qui sont les principales sources du droit de l’Eglise, jusqu’à la fin du 1er millénaire. Ces documents sont les canons des conciles, les décrétales des papes et les collections canoniques. Comme la religion chrétienne devient la religion officielle de l‘Empire romain, s’ajoute à ces sources propres au droit de l’Eglise, le droit romain puisque les empereurs légifèrent régulièrement

pouvoir se structurer religieusement et s’organiser administrativement et sera aussi obligée de régler les querelles théologiques qui apparaissent. Cette production normative s’opère par le biais de la législation conciliaire : canons conciliaires. Les conciles sont des assemblées d’évêques qui délibèrent en commun. La source première du droit canonique sont les canons conciliaires, mis à part les préceptes du début. §2. L’AUTORITÉ DANS L’ÉGLISE Si les canons conciliaires sont les premières sources

pouvoir se structurer religieusement et s’organiser administrativement et sera aussi obligée de régler les querelles théologiques qui apparaissent. Cette production normative s’opère par le biais de la législation conciliaire : canons conciliaires. Les conciles sont des assemblées d’évêques qui délibèrent en commun. La source première du droit canonique sont les canons conciliaires, mis à part les préceptes du début. §2. L’AUTORITÉ DANS L’ÉGLISE Si les canons conciliaires sont les premières sources de

à repenser la conception du pouvoir politique. Dans la structure de l’Eglise, il existe des Assemblées d’Evêques (=Conciles) au sein desquelles on va définir un certain nombre de choses. Du temps de Constantin, ces conciles sont présidés par l’Empereur. La fusion entre le pouvoir politique et le pouvoir religieux est totale. Constantin préside les conciles et notamment le concile de Nicée (325) qui a défini des quantités de choses. La référence faite au passé glorieux de Rome, à tendance à s’effacer

superbes et riches de leur passé, et terrorisèrent les populations commerçantes de l'Asie mineure. Entre 253 et 256, les Goths de Crimée, au cours de plusieurs expéditions, pillèrent Pityus et Trébizonde puis passèrent le Bosphore et ravagèrent Chalcédoine, Nicomédie et Pruse en Bithynie. En 261-262, toute l'Asie Mineure fut atteinte ainsi que par la mer Egée, les grandes villes de la province d'Asie, Ephèse et Milet. Les expéditions les plus terribles furent celles de 266, 267 et 268. en 266, les

qui tiennent des positions similaires à la pensée nihiliste d'après laquelle la raison humaine ne peut rien affirmer avec certitude sur Dieu. III. L'enseignement du magistère ecclésiastique 17. La constitution Dei Filius, approuvée par le Concile Vatican I (1869-1870) dit ceci : "Notre Sainte Mère l'Église affirme et enseigne que Dieu, principe et fin de toutes choses, peut être connu avec certitude à la lumière naturelle de la raison humaine à travers les choses créées". 18. Cette vérité

sujets qui font partis de la Cité mais ce ne sont pas des citoyens complets. Il y a une révolution car les plébéiens vont jouer un rôle économique, ils menacent de quitter Rome. Les plébéiens vont se rejoindre dans une Assemblée qu’on appelle le concile de la plaine et ils vont élis eux-mêmes des magistrats particuliers à qui la cité doit reconnaitre des droits qui doivent les protéger que l’on appelle des tribuns de la plèbe. Finalement, ils acceptent l’égalité des droits et donc les plébéiens

« Quod semper, quod unique, quod ab omnibus ceditum est » (= ce qui toujours, partout et par tous a était cru) Le christianisme va ce présenter comme un syncrétisme, c'est a dire une doctrine qui mêle des éléments variés. Il apparaît dès le premier concile que Constantin organise a Nicée (Asie Mineur, dans l'actuelle Turquie). Le christianisme ce présente comme la récapitulation de tout, il va ce présenter comme une religion universelle. Cette structure sera a son tour reprise par Mahomé, qui laissera