Concile de Jérusalem

spécialement plus ordonnée par ailleurs, se présente comme étant une ordonnance relative à la police générale du royaume. (C’est-à-dire le comportement général du royaume...) Elle traite de la réception en droit français des décisions prises au concile de trente ainsi que de l'administration, des hôpitaux, de l’armée, des offices... Ces ordonnances n’ont pas de plan général, ni de distinction en chapitres. Elles correspondent à leur objet. Il s'agit de corriger ce que le temps a altéré et pas

(fixe une réponse pour l’avenir, porte création s’une règle de droit générale) : réponse donnée par le pape a un évêque, tranchant un point de droit. -Règles déterminées par les évêques, promulgués en conciles (assemblés) , règles appelés canons. Premier concile : 49 de Jérusalem, 325 concile eucuménique (universel) fixe la doctrine spécifie ce qui est orthodoxe et er éthique (contraire). Droit canonique porte sur la vie des fidèles, droit fondamental en matière de mariage, de la filiation

essentiellement par le truchement de la responsabilité éthique. » (Chaliand et Mousset, p. 16). Je développe ce dernier point. C'est à Jérusalem que l'homme s’est rendu compte qu'il a une conscience irréductible dans laquelle il est appelé à communiquer avec Dieu. A Jérusalem, se manifeste avec éclat le dialogue intérieur avec Dieu, ce qui suppose l'altérité, la transcendance. A Jérusalem, la personne devient sacro-sainte, irréductible car titulaire d'une conscience inviolable, d'une liberté et d'une volonté

du XIème s. (8), le catharisme est officiellement signalée à un Concile de Toulouse en 1119 qui dénonce ceux qui nient les sacrements, le sacerdoce, la hiérarchie religieuse et les liens du mariage. L'étendue du phénomène fut mesurée lors de la mission de St Bernard, notamment dans la région d'Albi (d'où le nom d'Albigeois) en 1145. Une certaine organisation structurée de l'Eglise cathare du Languedoc semble attestée par le " Concile " de Saint Félix Caraman en Lauragais (1167). En présence du pape

prennent position au Proche-Orient, chasse de Jérusalem les personnes présentes -> Quelques chrétiens et d’autres arabes venus avec la première expansion de l’Islam. Les Turcs sont originaires du Turkestan, en Asie centrale. Leur traitement de Jérusalem est différent du traitement rendu par les Arabes -> Il ferme la ville de Jérusalem à toute présence étrangères et en particulier à toute présence chrétienne. En 1095, le Pape organise un concile en Auvergne (réunion du sommet de la hiérarchie

expédition de secours du pape Grégoire VII. Après avoir reçu des appels à l'aide de l'empereur Alexis Comnène, qui souhaitait recevoir des renforts d'Occident et négocier avec le pape la fin du schisme qui séparait Rome de Constantinople. En tout cas, au concile de Clermont, le pape invita la chrétienté occidentale à se porter au secours des chrétiens d'Orient persécutés par les envahisseurs turcs. - Mise en situation de l’évènement : En 1096 Godefroi de Bouillon arrive à Constantinople et l’arrivée

byzantin et les croisades (XI – XIII) : En 1095, de l'aide est demandée aux occidentaux. Le pape y répond en appelant aux croisades, cherchant ainsi à reprendre Jérusalem. Cependant, les croisés vont garder pour les territoires reconquis, créant des royaumes chrétiens et latins : comté d'Edesse, comté de Tripoli, royaume de Jérusalem. A la mort de Manuel Comnène en 1180, l'empire est plus vaste qu'au siècle précédent, on a eu une reconquête de la Grèce et de l’Anatolie. Il demeure cependant miné

communauté chrétienne a pris naissance, s'est développée dans l'univers de civilisation romaine. 1/ L'apparition deu christianisme D'après les sources chrétiennes, les Evangiles (rédigées en 60-70 ap. JC) Communauté chrétienne = juifs vivant à Jérusalem vivant en 37 ap. JC. Jésus est né sous le reigne d'Octave Auguste ( -44; +14 ). Cette communauté vit sous la directions des 12 apôtres qui ont vécu auprès de Jésus et qui ont reçu son enseignement. Cette première Communauté Judéo-chrétienne conserve

l’accueil dû à leur état, de quoi se nourrir, se vêtir et s’abriter au sein de la «domus hospitalis » (maison des invités). Le monde chrétien confie rapidement cette mission aux évêques. Dés l’époque mérovingienne, au temps de Clovis, en 511 lors du concile d’Orléans, il leur est rappelé qu’ils doivent réserver le quart des revenus de leur église à l’hospitalisation des pauvres et des voyageurs. Très rapidement des laïcs s’associèrent aux évêques en leur apportant des revenus réguliers ou de propriétés

donné à des enfants qui n’ont pas la capacité de gouverner (faiblesse structurelle). La notion de respublica s’arrête et devient plus une « commendatio ». B- A partir du VIIe siècle a) Edit de 614 Les évêques décident de réunir un concile à Paris et dise qu’il suffit du consentement du clergé et du peuple pour créer un évêque. Une fois nommées, il va être consacré (signe de croix). A partir de ce moment la, l’évêque cesse d’être un homme comme les autres. Il a le droit d’exercer sa