Concile de Jérusalem

la représentation. C’est justement parce qu’ils ont pris une telle ampleur que l’on a commencé à parler de théâtre. Dès le XVIè et XVIIè siècles et d’autres formes de théâtre apparaissent mais le jeu liturgique se perpétue. Il fut interdit par le concile de Trente et même par les autorités religieuses, qui elles réorganisent les jeux en en excluant tout ce qui n’est pas directement lié aux paroles divines. B/ Le déroulement : Ils se déroulaient dans le nef, qui est l’allée centrale au milieu

« Quod semper, quod unique, quod ab omnibus ceditum est » (= ce qui toujours, partout et par tous a était cru) Le christianisme va ce présenter comme un syncrétisme, c'est a dire une doctrine qui mêle des éléments variés. Il apparaît dès le premier concile que Constantin organise a Nicée (Asie Mineur, dans l'actuelle Turquie). Le christianisme ce présente comme la récapitulation de tout, il va ce présenter comme une religion universelle. Cette structure sera a son tour reprise par Mahomé, qui laissera

les accueillir et leur offrir l’hospitalité. Il est ici représentatif de la dévotion du fidèle. Accueillir le fils de Dieu, c’est aussi symboliquement accepter de suivre la nouvelle foi. C’est ici en fait la représentation de l’arrivée de Jésus à Jérusalem cinq jours avant la Passion. Nous devons encore une fois montrer ici le caractère antiquisant de la représentation du Christ. Elle s’apparente en effet avec le thème de l’adventus qui figure l’arrivée d’un roi ou d’un empereur dans sa cité. Il y

justice dans le royaume, il se place au-dessus des autres. Cela va avec les rapports du roi avec l’église. Faire respecter l’Eglise. Ceci permet au roi de réunir lui-même des conciles (assemblée d’ecclésiastiques). En 1155, Louis VII réunit à Soisson un concile. C’est lui, roi, qui a cette initiative de réunion. Lors de ce concile est décrétée une paix générale. Cela contribue à placer le roi dans une position d’arbitre. La territorialisation du pouvoir et affermissement de la notion de royaume dans

fut en effet un homme fort illustre que cet Albéric le Rémois, sinon par sa naissance, du moins par son savoir et ses vertus. Il avait étudié sous Anselme de Laon avec Abélard, dont il devint l'adversaire ; et il contribua personnellement dans le concile de Soissons à décider due son livre sur la Trinité serait brûlé. Albéric passa de la chaire de professeur à Reims à celle d'évêque de Châlons, après la mort d'Ebale, et non point de Guillaume (le Champeaux, comme l'ont dit Picard, Horstius, Duchesne

de Jérusalem, lieu saint. Ils se montrent moins favorables qu’avant à l’organisation de pèlerinages. Les empereurs de Constantinople qui se sentent de plus en plus menacés par les musulmans se tournent vers l’occident afin de réclamer de l’aide. L’occident a une vision précise du monde musulman : c’est un bloc très puissant. En réalité, l’islam est très fracturé, ce qui le rend beaucoup moins puissant que ce qu’on ne pense. L’objectif des croisades n’était pas seulement de délivrer Jérusalem, les

ce terme signifiera l’adoration et la remise à son Créateur dans l’action de grâce. 1079 Du commencement jusqu’à la consommation des temps, toute l’œuvre de Dieu est bénédiction. Du poème liturgique de la première création aux cantiques de la Jérusalem céleste, les auteurs inspirés annoncent le Dessein du salut comme une immense bénédiction divine. 1080 Dès le commencement, Dieu bénit les êtres vivants, spécialement l’homme et la femme. L’alliance avec Noé et avec tous les êtres animés renouvelle

Les textes consacrent les thèses du gallicanisme religieux ou gallicanisme conciliaire qui visent à assurer à l’église de France une certaine autonomie ne matière spirituel. Cela signifie que les décisions des conciles de France sont supérieures à celle du pape, soit dans ces conciles l’église de France ou église gallicane, peut en cas de différent avec Rome, fixer ses propres règles et s’organiser indépendamment de la papauté. La France à cette époque n’est pas la seul à tenter à s’émanciper

époque privilégié par la Providence divine. Paragraphe 1 : L’apparition du Christianisme dans l’Empire Romain Païen D’après les sources Chrétiennes (Évangiles rédigés vers 60-70). La première communauté Chrétienne est composée de Juifs vivant à Jérusalem vers 37 après JC c’est à dire vers la fin du règne de Tibère (successeur d’Octave). Cette petite communauté se recommande de la doctrine de Jésus et Jésus est né sous le règne d’Octave. Cette communauté Chrétienne vit sous la direction de 12 hommes

conquête du Sud de l’Italie et de la Sicile. En 1066, Guillaume de Normandie part à la conquête de l’Angleterre. C’est la victoire d’Hasting, les barons normands vont prendre le pouvoir. Le pape Urbain II invite les seigneurs occidentaux à reconquérir Jérusalem : c’est le début des Croisades. On assiste également à une évolution juridique, avec la diffusion du droit romain (surtout dans le Sud, le Nord est plus tourné vers la coutume) et la redécouverte des compilations de Justinien. Le développement