Concile de Jérusalem

Francs La “mutation féodale” (10e-12e) La Paix de Dieu et la Trêve de Dieu 1054 Schisme d’Orient (orthodoxie) 1073 Début de la Réforme grégorienne 1081-1137 Louis VI le Gros. Suger. 1095 Début des croisades 1112 Commune de Laon. 1123-1215 Conciles de Latran (4) 1135-1140 Vézelay. 1152 Divorce de Louis VII et d’Aliénor 1163 Début de la construction de ND de Paris 1184 Inquisition. ― Baillis 1214 Bouvines (Philippe Auguste) 1226 Saint Louis (†1270) 1302 États généraux (Philippe

comprendre l’origine du dogme et des pratiques religieuses qui structurent pour longtemps la vie de l’Occident chrétien. L’élève doit également percevoir l’élaboration progressive du christianisme et son organisation en Église (prêtres, évêques, conciles...). Le second point, consacré à la diffusion du christianisme, religion à vocation universelle, pose les problèmes essentiels des relations de l’Église et du pouvoir : comment une religion, dont les adeptes ont été parfois persécutés, devient une

variable selon les époques Philosophie : droit non absolu. La formation modèle juridique français appartient au système continental (sauf Angleterre). Triple héritage : _ Athènes : philosophie grecque _ Rome : élaboration concepts juridiques actuels _ Jérusalem : le droit français est emprunt de la vision de l'H et de la société transmise par la civilisation judéo-chrétienne Livre I : L'héritage romano-canonique Influence de la Grèce antique, réflexion sur le droit et les sciences politiques Distinction

envahissent Jérusalem et empêchent le passage des pèlerins chrétiens à la ville. Ils massacrent et soumettent les chrétiens à l’esclavage. En même temps, les Turcs menacent d’envahir l’Empire chrétien d’Orient  1095 : Pape Urbain II prêche la première croisade en réponse à la demande d’aide du Patriarche de Constantinople face à l’invasion turque. 35 000 croisés principalement français partent.  1097-1099 : Croisés vont former les quatre Etats Latin d’Orient.  15 Juillet 1099 : Jérusalem est pris

Bible n'affirme pas être la parole de Dieu Dire que la Bible est la parole de Dieu est être plus royaliste que le roi, puisque la Bible n'affirme pas elle-même être parole de Dieu. "C'est au IVème siècle encore que le canon sera établi, lors des Conciles d'Hippone et de Carthage. Auparavant, chaque secte chrétienne avait son propre corpus de livres saints. Désormais, ce sont les 66 livres de la Bible protestante actuelle qui s'imposent (non sans difficultés, les prêtres n'étant pas d'accord entre

protestants. A l’inverse, on peut insister sur l’image de cette ville réaménagée par la Contre-Réforme : programme architectural et monumental de Le Bernin notamment : l’art baroque devant, en suscitant l’émotion, aider à convertir. 7 Paris comme Jérusalem céleste pendant la Ligue Les événements militaires (échec d’un coup de force, délivrance d’ un siège) donnent fréquemment lieu à des commémorations qui renforcent la vie citadine et le patriotisme urbain : Toulouse après l562, villes fidèles pendant

l’ignorons. Cependant les grands traits de la liturgie baptismale paraissent fixés dès les origines et ne varieront plus. Nous connaissons très bien les Catéchèses baptismales du IVe siècle, l’âge d’or de la Patristique, celles de saint Cyrille de Jérusalem, de saint Ambroise et de saint Augustin, les rites magnifiques de l’époque, qui ne développent certainement rien d’autre que les cérémonies déjà traditionnelles, de source apostolique. Par les sacramentaires léonin, gélasien, grégorien, ces rites

initiés construisirent une ville.= Byzance, où l’on a glorifié la sagesse. L’acacia symbolique eut les honneurs du lotus d’autrefois. Cependant, l’évêque de Rome avait pris le titre de «.pape.» et demandait la suprématie du cœur sur l’intelligence. Le concile de 378 approuva cette primauté, et St Augustin, évêque d’Hippone (354-430) acheva la rupture.   Une rivalité de force commença entre Byzance (les grands initiés) et Rome (le pape). Néanmoins, les grands initiés d’Égypte avant de mourir, et afin

proclame solennellement la « puissance supérieure » de Pierre et de ses successeurs, puissance qui surpasse celle de l’empereur lui-même. Constantin ne se limite pas à reconnaître la primauté de Rome sur les quatre autres sièges (Antioche, Alexandrie, Jérusalem, Constantinople) mais il instaure également une monarchie spirituelle en dotant pape et clercs des attributs du pouvoir temporel de l’empereur et du sénat romain (vêtements, insignes impériaux et diadème pour le pape, qualité de « sénateurs » pour

la chose publique et l’utilité des églises ? Certes, l’un et l’autre savaient, compte tenu des circonstances et de la raison, épargner leurs sujets et dompter les superbes. Témoin ce passage tiré des livres où sont consignés les résultats des conciles de leur époque avec une souscription des évêques : « La justice, pour le roi, consiste à n’opprimer personne par abus de puissance, à juger, sans acceptation de personne, entre tout homme et son voisin, à être le défenseur des étrangers, des orphelins