Concile de Plaisance

CROISADE   L'initiative de la Croisade fut bien, en effet, l'oeuvre propre du pape. Ce n'est pas l'empereur byzantin, Alexis Comnène qui a fait appel à lui pour une prédication de la guerre sainte. Certes il avait profité de l'occasion du concile de Plaisance en mars 1095 pour faire demander à Urbain II le soutien de mercenaires, mais ce soutien n'était en rien comparable à ce que fut la Croisade. Urbain II est d'origine champenoise. Il a été moine de Cluny, d'où sont parties notamment les premières

positions avancées de Martin Le Maistre au XVe siècle (et de Jean Mair au siècle suivant) n’ont pas infléchi la représentation sociale de la sexualité conjugale6. Or le problème a été balayé au XVIIe siècle : la théorie sacramentaire, renforcée par le concile de Trente, insiste de plus en plus sur la grâce, qui ôte tout péché à l’acte conjugal, à condition d’en observer les règles. LA SEXUALITÉ DANS LES TRAITÉS SUR LE MARIAGE 9 6. Et elles n’ont pas encore pesé, à cette date, sur la doctrine catholique

archiépiscopal de Reims Arnoul, un fils bâtard de Lothaire. Il pensait ainsi se rallier le parti carolingien, qui soutenait toujours Charles de Lorraine. Arnoul livre Reims au Carolingien, trahissant ainsi à son tour le roi, qui le fit déposer par un concile en 991. Gerbert fut alors, enfin, élu archevêque de Reims(1). Dans le même temps, son influence sur Otton III s’accroît. Après la mort d’Hugues Capet, en 996, l’empereur confie à Gerbert, en 998, l’archevêché de Ravenne. Désormais Gerbert ne quittera

sous Henri V (1106-1125), le pape Calixte II signe avec Henri V un compromis par lequel l'empereur renonce à l'investiture des fonctions spirituelles (concordat de Worms, 1122). Cette victoire de la papauté sur l'Empire est confirmée par le premier concile de Latran (1123). Le pape n'est pas pour autant le maître dans son État : les Romains se soulèvent à plusieurs reprises. 3.3. L'affirmation des villes et leur rôle économique Après les désordres du xe s., les séjours des empereurs ont rendu un peu

sans contact avec le luthérianisme, sera accusé de l’être. Luther par la justification par la foi seule, tente de répondre aux attentes auxquelles l’Eglise ne répond pas. « Le royaume de Dieu est au-dedans de nous » (la papauté de Rome, 1520) et le concile est supérieur au pape. Aucune œuvre ne peut remplacer la foi pour obtenir le salut. La diffusion de la Réforme, et la condamnation de Luther par Léon X crée une scission dans le groupe de Meaux. Luther est lu jusque dans les milieux de la cour. Jusqu’en

avance des royaumes francs, qui entreprirent de le faire, en union étroite avec la papauté. L'objectif essentiel = la réforme de l'église franque, perturbée par l'incurie méro. puis par les sécularisations de Charles Martel. Réunion de plusieurs conciles, sous l'égide de Boniface, devenu archevêque pour le royaume d'Austrasie. 746 : Carloman se retire au monastère du Mont Cassin ; Pépin reste seul princeps des Francs. Il va pouvoir opérer dès lors uns évolution décisive vers la monarchie.

comices tributes regroupant les citoyens selon le lieu de domicile. D'ailleurs cette assemblée insurrectionnelle de -494, va devenir régulière et va être appelé concile de la plèbe. A partir de -471 cette assemblée régulière de plébéiens a commencé à porter ce nom (se réunit au moins une fois par an). Les tribuns seront les élus du concile de la plèbe. Ces tribuns vont servir de manière légitime pour les plébéiens insurgés, ils se font s'octroyer le droit et le pouvoir de protéger les intérêts collectifs

d'intégration. b) Les gouverneursEn 1565, c'est le début du conflit avec Borromée qui veut proscrire toute ces festivités. Il imposait les mesures de la réforme tridentine, mais le Sénat, gardien d'une juridiction laïque, refuse. 1566 : un premier concile provincial. Le Sénat refuse la publication du traité. 1567 : le commandant de la garde épiscopale est arrêté par le Sénat. Il reçoit trois coup de fouet et est banni de Milan. Le gouverneur espagnol doit intervenir il appelle le pape. On a ainsi

contre les autres Barbares (Wisigoths/Burgondes = eux aussi convertis au christianisme mais sont adeptes à l’arianisme : doctrine d’Arius qui niait la divinité du Christ, doctrine déclarée hérétique au Concile de Nicée en 325) Concile = assemblée ecclésiastique. Lors du Concile de Nicée la doctrine du christianisme a été formé : DIEU = le corps/le père/fils. Les évêques de Gaulle vont donc soutenir Clovis contre ces hérétiques.

nombreux sont ceux des auteurs victorins mais on y trouve aussi ceux des philosophes contemporains comme Abélard et Saint Bernard. Puis viennent les manuscrits bibliques et liturgiques. On trouve également dix-sept manuscrits de droit : textes de conciles, sommes juridiques, Flores canonum, avec la présence d’Yves de Chartres et de Gratien dont nous parlerons dans la suite du cours. On y trouvait également des œuvres antiques : Platon, Cicéron, Sénèque, Quintillien etc. Huit manuscrits de nature scientifique