Concile de Vienne

les adapter aux changements, l’empereur Dioclétien procède à une grande réforme administrative : il divise l’empire territoire en 4 préfectures : Italie, Gaule, Illyrie, Orient. La “préfecture de Gaule” est elle-même divisée en 2 diocèses (Lyon et Vienne) et 15 provinces, au lieu des 4 anciennes provinces augustéennes (Narbonnaise, Aquitaine, Lyonnaise, Belgique). L’EMPIRE ROMAIN AU 4e SIÈCLE Cl. GAUVARD, La France au Moyen Âge du Ve au XVe siècle, Paris, PUF, 1996 La Gaule deviendra la France

important des foyers de culture grâce aux mécénats des papes, tant Jules II et Léon X que Paul III et Sixte-Quint: à Rome travaillent des artistes comme Michel-Ange et Raphaël. Rome est aussi le centre spirituel de la Contre-Réforme à la suite du Concile Trente (1545-1563). La Création d’Adam De Michel-Ange (1508-1512) Le grand maître Piero della Francesca donne aux autres peintres une nouvelle vision artistique en ce qui concerne la perspective et les volumes. Parmi les artistes les plus significatifs

de l’empire romain à la renaissance. 1 - au M-A. a) - forces en présence. 476 : chute de l’empire d’occident. Renvoi des insignes impériaux en orient.  morcellement en multitude d’empires barbares. Ms très vite chrétiens et nicéens (mm foi que concile de Nicée).  unité : roi de Fr refuse autorité de l’empereur germanique / Pape s’impose / empire byzantin « seul dépositaire de l’autorité sur l’occident » (représentants auprès du Pape) / Islam s’étend. b) - droit des gens. Relations entre corps

idée d’immortalité de l’âme qui nous vient de ce cher Platon s’impose de plus en plus à l’esprit des philosophes et des Pères de l’Eglise qui l’adoptent et tentent de l’affiner avant de l’intégrer à leur religion. Toutefois, ce n’est qu’en 1513 au concile de Latran V que le dogme de l’immortalité de l’âme est proclamé officiellement. Mais à présent, comme en témoigne l’Encyclopédie catholique pour tous, l’Eglise, à propos de la notion d’âme, semble  avoir du mal à répondre aux critiques de la pensée

tardive, le christianisme n’a apporté ni à la physionomie de la Gaule ni à la vie gallo-romaine des IIème et IIIème siècles de profonds changements. C’est seulement dans le IIème siècle avancé que furent attestées les premières communautés de Lyon et de Vienne. Datée du IIIème siècle, une inscription grecque trouvée à Autun prouve qu’il y avait là, comme à Lyon, des chrétiens d’origine orientale. Et une inscription mutilée de Marseille qui fait allusion à deux martyrs est sans doute plus ancienne. Après

Italie : du « plein-baroque » (1590-1650) au « classicisme » (1650-1750) Les premières manifestations du baroque apparaissent à Rome vers la fin du XVIe siècle, au terme de la période dite maniériste. Cette évolution est, en grande partie, liée au concile de Trente, qui prône une grande discipline dans la recherche d’un art sachant toucher les foules par la passion. 3.1 Peinture baroque italienne En peinture, on distingue deux écoles fondamentales : « l’école de Bologne » et « l’école napolitaine

sont ces « droits », ces pôles de pouvoir, qui coexistent : A. Droit canonique C’est le droit de l’Eglise. Ses sources sont : ! Décrétales (correspondance de Grégoire le Grand—pape de 590 à 604— avec des affirmations ayant valeur de norme) ! Conciles : réunion des évêques autour du Pape pour discuter de questions de foi, de théologie ou parfois de doctrine sociale ! Statuts épiscopaux ! Règles monastiques (celle de Saint Benoît date de 534-547) A noter aussi les pénitentiels, listes de délits

pouvoir est inscrit dans la nature des choses nécessaires. Les chrétiens sont d’accord sur cette partie mais vont plus loin. Pour eux, le principe du pouvoir est d’origine divine : Saint-Paul dans Epître aux romains ; « Il n’y a pas de pouvoir qui ne vienne de Dieu ». Le christianisme qui avait réduit les compétences de l’Etat renforce ici la légitimité du pouvoir politique. Cependant, le titulaire du pouvoir n’est pas forcément approuvé par le christianisme ; c’est seulement le principe du pouvoir

pouvoir est inscrit dans la nature des choses nécessaires. Les chrétiens sont d’accord sur cette partie mais vont plus loin. Pour eux, le principe du pouvoir est d’origine divine : Saint-Paul dans Epître aux romains ; « Il n’y a pas de pouvoir qui ne vienne de Dieu ». Le christianisme qui avait réduit les compétences de l’Etat renforce ici la légitimité du pouvoir politique. Cependant, le titulaire du pouvoir n’est pas forcément approuvé par le christianisme ; c’est seulement le principe du pouvoir

une lecture interprétative des textes sacrés plutôt qu’une lecture littérale. Le pape Leon XIII affirme par exemple en 1893 : « Les livres de l'Ancien Testament et du Nouveau Testament, avec toutes leurs parties, tels qu'ils ont été reconnus par le Concile de Trente doivent être reconnus comme sacrés et canoniques, non pas en ce sens que, composés par le génie humain, ils ont ensuite reçu son approbation, ni seulement qu'ils contiennent la révélation sans aucune erreur, mais parce qu'ils ont été écrits