Concile de Vienne

questeur, édile, prêteur, consul mais il y a une période d'attente entre les fonctions. Les autres organes politiques Il y a encore trois organes politiques: ➔ le Sénat: patres, conseil aristocratique et public ➔ l'Assemblée du peuple ➔ le Concile de la plèbe Le Sénat Le Sénat a des attributions nombreuses, une très grande autorité morale, il détient l'auctoritas (vient de Augere, donnera Auguste): augmentation de l'autorité d'un acte juridique ou d'un droit. Si le Sénat accorde l'auctoritas

archiducs, ministres et savants, papes et prélats font tout pour obtenir la faveur d’Erasme : l’Empereur Charles Quint , le maître des deux mondes, lui offre une place dans son Conseil, Henry VIII voudrait l’attirer en Angleterre, Ferdinand d’Autriche à Vienne, François Ier à Paris […] cinq universités se disputent l’honneur de lui offrir une chaire, trois papes lui écrivent des lettres pleines de déférence […], tout l’incite, tout l’invite à venir grandir de sa propre gloire, celle des autres […] Il n’entre

remplacer le dernier roi mérovingien. Il a un problème s'il veut devenir roi il est obliger de renverser le roi par un coup d'état. Il sait qu'il peut compter sur les aristocrates notamment des comtes. Ce n'est pas suffisant, il faut que cette légitimité vienne de lEglise, car l'église est de plus en plus puissante, on va voir se développer une sorte de marchandage entre Pépin le Bref et l'Eglise. L'Eglise se dit qu'elle a tout intérêt de soutenir Pépin le Bref plutôt que de soutenir l'ancienne monarchie

l’ensemble des sujets du droit international auxquelles il leur est impossible de déroger (par exemple, l’interdiction de l’esclavage, celle du génocide, celle de la guerre d’agression). La notion de jus cogens a été consacrée par la convention de Vienne du 23 mai 1969 sur le droit des traités entre États (qui opère une codification des pratiques jusque-là suivies en la matière) qui se réfère, dans son article 53, aux « normes impératives du droit international général comme normes acceptées par la

l’homme, par ce qu’elle comporte le désir de le comprendre, de saisir ce qui se dépasse la réalité sensible de l’existence et le sens du sacré qu’il éprouve. Cet effort de l’homme est tendu d’une part à l’unité et d’autre part à la cohérence. D’où vienne l’origine de toute réflexion organisée sur le sacré. Tandis qu’à la lumière de la foi, qui ayant pour objet la Théologie, nous disons davantage : comme le déclare Saint Augustin, Dieu a écrit deux livres : « la création et Bible ». La sagesse de

n’apporte pas la preuve irréfragable de l’identité que l’on use. C’est bien une ébauche de droit civil mais à l’état embryonnaire. §2. L’inscription de l’état religieux sur le registre paroissial A. Des initiatives diocésaines (XVe s) au concile de Trente (1563) Jusqu’eu XVe s, c'est-à-dire jusqu’au dernier temps du moyen âge, la preuve de l’identité des personnes se fait par recours au témoignage. Les témoins doivent être présents au moment de l’acte que l’on veut attester. Les voisins

rendent visite au saint d’un sanctuaire voisin ; la grossesse et plus encore l’accouchement sont les temps forts de ce culte des saints (on prie la Vierge ou sainte Marguerite pour que tout se passe bien, que Dieu écarte le danger et que l’enfant vienne au monde vivant et en bonne santé) *** mais certaines femmes alphabétisées vont plus loin : elles lisent la Bible et des ouvrages de dévotion en langue vulgaire ; les prédicateurs franciscains se moquent de ces femmes « semi-théologales » ;

|ionique moderne | |corinthien | |composite | II.3. Le baroque en architecture Vers 1565, l’église catholique décide, à la fin du Concile de Trente (importante réforme de l’église provoquée par Paul III à la demande de Charles Quint), d’instaurer un nouvel art dans ses églises, dans le cadre de la Contre Reforme (ensemble des mesures prises par l'Eglise catholique pour réformer les

édifier en Bavière, ont atteint une très haute qualité et se sont répandus dans la Souabe voisine. L'Autriche a abrité un foyer baroque très actif dû, principalement, à la reconquête jésuite en Europe de l'Est et à l'influence combinée de l'Allemagne. Vienne se couvre de palais spectaculaires construits par Fischer von Erlach et Hildebrandt, et d'abbayes édifiées par Jakob Prandtauer (1660-1726). C'est à ce dernier, autodidacte de génie, que l'on doit la restauration de l'abbaye bénédictine de Melk, devenue

préceptes. - Textes législatives (1), des lois barbares, des capitulaires carolingiens (capitulum, par chapitre, relativement long) : émane de la royauté, énonces des décisions, éco relig, pol, culturel. (1) : émane de l’Eglise, des canons, des conciles. - Histoires « Nationale » : raconte la vie d’un peuple, sa construction de son royaume, assez spartiate, qui raconte la gloire de ce peuple (Grégoire de Tours, Isigore de Séville) Il y a des textes qui abondent durant la période carolingiennes