Concile

l’Enfant), mais encore il fait figurer saint Joachim, époux de sainte Anne et père de Marie, aux côtés de saint Joseph. Le tableau se rattache donc à la tradition de la Sainte Parenté, thème généalogique reposant sur la légende rejetée par le concile de Trente des trois mariages de sainte Anne. C’est, par ailleurs, une Sainte Famille élargie, puisque dans la partie gauche du tableau, au premier plan figurent Élisabeth, cousine de Marie et son fils Jean-Baptiste. Sans aucun fondement biblique

doter l'Église catholique des outils spirituels et matériels pour amorcer une reconquête partielle des régions acquises aux différentes Églises protestantes et amorcer une renaissance religieuse. La Contre-Réforme catholique engagée à l'issue du concile de Trente ne permet à l'Église catholique qu'une reconquête partielle des populations passées au protestantisme. -les changements opérés dans la société on remarque que la confiance en l'homme qui caractérisait les premières décennies de la renaissance

limitent la liste des sacrements. Pour les protestants seuls la vraie foi assure le salut. Face au protestantisme, l’église catholique tente de réagir et se reformer : contreréforme Pendant presque 20 ans (1545-1563) ; le haut-clergé se réunit au concile de Trente pour donner de nouvelles règles au clergé, pour créer des lieux de formation.

Cette catastrophe survient à un moment critique, car l'armée d'Attila se dirige vers la ville. La population se mobilise et les murailles sont reconstruites en deux mois13. Les Huns, peu doués pour la guerre de siège, se détournent de la cité. Le concile de Chalcédoine de 451, dans son vingt-huitième canon, donne à la ville de Constantinople le titre de « Nouvelle Rome »14, ce qui fait de son évêque, le patriarche de Constantinople, le second personnage de l'Église. Cela contribue encore à donner

avec Hugo, que c’est en quelque sorte Gutenberg qui a fait la Réforme. L’Eglise a peur, en effet, du pouvoir de l’imprimerie, « Rome est secouée » et Rome réagit. Ce n’est pourtant qu’un siècle après que le Concile de Trente fixa des mesures pour combattre le protestantisme et c’est ce concile qui marque le début de la Contre-Réforme. Les décisions prises par l’Eglise concerne les textes sacrés : publication du catéchisme romain, édition de la Vulgate, réforme du bréviaire[6]. On voit donc que la

se détacher du poids et des contraintes de l’Eglise). Ainsi, huit guerres de Religion successives entre catholiques et protestants, espacés par des trêves fragiles, déchirent le pays. L’inquisition est réorganisée ; la Réforme mise en place. Le concile de Trente (1545 - 1563) précise les dogmes, réaffirme l’infaillibilité du pape, l’existence des sept sacrements et impose la messe en latin. En 1559, François II monte sur le trône. Après sa mort en 1560, Catherine de Médicis assure la régence.

Les causes historiques du baroque Religieuses : Les réformés insistaient sur la nature humble de la nature humaine et condamnaient la tradition de l’église. L’église catholique va contre-attaquer par des croyances et une stratégie adoptées au Concile de Trente qui a duré de 1545 à 1553. L’homme pourra faire son salut par l’art. Celui-ci sera utilisé comme moyen politique de propagande. (Les réformés refusaient les œuvres d’art prônaient l’austérité). L’art sera chargé de capter la sensibilité

à l’Eglise, les fidèles peuvent obtenir le pardon de leur péchés et gagner le salut) Le protestantisme va se développer essentiellement en Europe du Nord et en Angleterre. La naissance et succès du protestantisme obligent Eglise à se réformer (concile de Trente) qui réaffirme les principes catholiques et l'autorité du pape L’art est mis à contribution (décors majestueux des églises pour émerveiller fidèles et montrer majesté de Dieu) La contre-réforme catholique donne un coup d’arrêt à l'expansion

des grands artistes de la Renaissance qui peuvent ainsi échanger des idées et des styles. Face à la montée en puissance du protestantisme, l'Église catholique fait sa propre réforme (la Contre-Réforme) en s'inspirant des idées des humanistes. Le concile de Trente en fixe les principes, mais arrive trop tard pour éviter le schisme. Il donne à l'homme une plus grande place dans l'ordre divin. Le croyant peut se dépasser en accomplissant de grandes œuvres et de bonnes actions. L'Europe est divisée

TRABELSI ATTIKA * COMMENTAIRE DE TEXTE * Sujet : « Sur les évêques, les moines et les clercs » * Texte : Extrait du Concile de 861 (Constantinople) * BIBLIOGRAPHIE * L. BREHIER, Les institutions de l’Empire Byzantin, 1970 * J.C CHEYNET, Byzance, l’Empire romain d’Orient, Armand Colin, 2001 * A. DUCELLIER, Byzance IV-XVe, Hachette, 1998 * G. JEHEL, B. BOJOVIC, V. CONTICELLO, Le monde Byzantin du milieu du VIIIe à 1204, Edition du Temps, Juin 2006 * M.