Conclusion Britannicus

lit pour figurer un intérieur) Cette utilisation de l’objet-emblème qui, à lui seul, situe le lieu de l’action, longtemps méprisé car le procédé n’est pas propre à l’illusion, retrouvera son efficacité scénique dans le théâtre moderne. Conclusion Le rire médiéval, dans toutes ses facettes, est indissociable des conditions culturelles qu’il faut reconstituer : la satire exige la connaissance des valeurs éthiques, esthétiques et sociales ; la parodie suppose celle des rites

poussé par sa femme, mère Ubu, à tuer le roi de Pologne, Venceslas, pour prendre son trône. Intrigue qui s'inscrit dans la lignée des intrigues théâtrales politiques de différentes pièces « du répertoire » (drame historique ou tragédie du pouvoir) : Britannicus de Racine, Lorenzaccio de Musset, Macbeth de Shakespeare... Registre polémique : vient du grec « polemos » qui signifie « le combat ». Lié aux notions de confrontation ou de controverse, le registre polémique se trouve souvent dans des textes argumentatifs

s'identifie à Oenone dans le premier aveu (pour connaître son secret) alors que dans celui-ci on s'identifie à Phedre. Le spectateur comprend les doubles sens (Hippolyte lui ne les comprend pas) et on attend surtout la réaction d'Hippolyte. Conclusion : L'aveu de Phedre est décisif dans le destin des personnages. En avouant à Hippolyte son amour, elle a entraîné tous les personnages vers le tragique. Phedre est déshonoré, tandis qu'Oenone va tenter d'accuser Hippolyte d'avoir déshonoré Phedre

claire qui permettent de domestiquer le surnaturel, de canaliser les débordements. B/ La retenue. Racine accède à cette retenue par différents moyens Par des règles en conformité avec l’esprit classique : choix de la simplicité (cf. préface de Britannicus) : « une action simple… passion des personnages ». Junie est plus retenue chez Racine qu’elle n’était chez Tacite. Par une langue sobre et concise, élégante et mesurée (cf. Bérénice : pièce extrêmement dépouillée « soutenue de l’élégance de l’expression »

brûlants », « mourrant », les images sonores des cris des mourants surenchérissent à cette peinture du massacre. Ainsi, l'écriture de Racine prend le parti d'une violence qui marque le lecteur et le spectateur. Le vers en lui-même est dramatique. Conclusion : Ainsi, le passage est au centre de la pièce, et l'action qui s'y joue est toute intérieure, elle consiste en un dilemme du personnage principal, dilemme au centre de la progression dramatique. Ce déchirement repose sur un attachement inaliénable

PLAN 1) biographie de racine 2) résumé 3) analyse des grandes lignes : 1. une réflexion sur le pouvoir 2. étude de l’amour 3. un parallèle historique qui rend Bérénice mythique 4) conclusion 5) lecture de quelques passages I] BIOGRAPHIE DE RACINE : Biographie de Jean Racine Jean Racine est né dans une famille de la moyenne bourgeoisie. Orphelin dès son plus jeune âge, celui-ci est recueilli par ses grands-parents puis par sa tante, religieuse à Port-Royal. Il fait ses études

passion fait perdre toute pudeur et raison à partir de l’aveu de son amour incestueux pour Hippolyte, son beau fils . ​Bérénice​ que ​Titus​ veut répudier au profit du pouvoir ,en sont des exemples ou encore le portrait du monstrueux Néron ​dans ​Britannicus ou encore Horace d​e Corneille qui incarne la figure du tyran ,despote autoritaire se livrant à des abus de pouvoir .Tous ces personnages, en nous inspirant terreur et pitié (les critères du registre tragique), sont censés provoquer notre aversion

avec quelque fois la mort pour fin . La tragédie classique comporte 5 actes. Cette dernière est représentée par de grands auteurs de la tragédie classique comme Racine et Corneille (avec par exemple Le Cid pour Corneille et Andromaque, Phèdre, Britannicus,... pour Racine). - La comédie cherche à divertir le spectateur, à le faire rire. Contrairement à la tragédie, dans la comédie, les personnages sont de condition moyenne ou modeste, et le dénouement est heureux. Molière est le plus illustre représentant

il est difficile pour le metteur en scène de l'oublier. Il pourra certes les faire évoluer, y introduire une certaine distance, mais s’il veut respecter le texte, il devra rester dans cette perspective. De même, quand il est dit par Néron, dans Britannicus, acte III, scène 8, « à vos genoux, Madame, je viens de le surprendre », le metteur en scène ne peut omettre cette didascalie interne qui indique clairement à l'acteur de prendre une certaine position. Ainsi, il semble indiscutable que le metteur

public. Il existait en outre d’autre exigence comme l’unité de ton, qui consistait en la séparation des genres. Une pièce comique comme Les fourberies de Scapin de Molière a très peu d’éléments sérieux, de même qu’une pièce tragique notamment Britannicus de Racine a très peu d’éléments comique. Dans un second temps, il existe dans certaine pièce de théâtre des fantaisies que le spectateur accepte sur scène mais pas dans la vie réelle. Les monologues notamment, sont courants au théâtre. Cependant