Conclusion Britannicus

personnage, l’auteur le touche bien plus qu’en mettant en scène un personnage sans réel élément familier à celui qui assiste à la pièce. Dans le Cid de Corneille, par exemple, les personnages sont nobles, ce qui permet à ceux-ci de s’y identifier. Dans Britannicus de Racine, ils sont très proches du pouvoir. Or, l’utilisation de tels personnages est propre à la tragédie classique, plus présente à l’époque du Classicisme que la comédie classique, et donc aux règles classiques, ce qui prouve là encore que le

scénographiques ensuite (=III) constituent un lg propre au genre théâtral. Développement I = Le langage des mots au théâtre A- outil fondamental et incontournable 1-comment comprendre l'action ? Mots indispensables lors des scènes d'exposition cf Britannicus Racine, 2-comment vivre intensément les passions déchirantes, les tourments sans les mots ? Monologue d'Hamlet : les mots seuls peuvent rendre compte du dilemme et du déchirement du héros la passion de Phèdre n'est rien sans les mots « je

évoque cette tirade(II). Enfin, nous étudierons comment cette tirade est axé sur l’act° (III) I. Portrait de DJ par Sganarelle A. Préparation de l’arrivé du perso. Principal Contrairnt à certaines pièces où perso princ. arrive + tard (Tartuffen Britannicus)qui crée effet d’attente, DJ donné dès premières lignes ►Insiste sur perso princ. B. Jugement morale de DJ Accumulat ° d’expressions « je t’apprends inter nos […] hérétique » ► forme le portrait de DJ « Chien, pouceau, bête brute » ►comportement

pervers. Le « on » est général, il exclu Sganarelle. Remontrances de l'église et en particulier les dévots qui censures (les dévots ont le pouvoir). Les dévots ne donnent pas de sanctions aux personnes qui ne croient pas aux mythes populaires. Conclusion de la première partie: C'est ici une première esquisse d'un portrait condamnable: celui d'un libertin de mœurs (Dom Juan a une sexualité animale, débridée, perverse) et d'esprit (il critique vis à vis de la religion dominante). Analyse de la

de l'amour : - Dans le récit du rapt, position de victime mise en relief par l'expression de la passivité : - tournure passive du vers 13 : " par qui je fus ravie ". Double sens de " ravie " = rapt physique + annonce le rapt du cœur (réf. Britannicus " ravie d'une si belle vue ") ; - verbe d'état et non d'action : " Je demeurai longtemps " (vers 14) ; - tournure passive du vers 16 : " me voyant presser d'un bras … " ; - désignation d'Achille connotant sa passivité et sa position de

scénographiques ensuite (=III) constituent un lg propre au genre théâtral. Développement I = Le langage des mots au théâtre A- outil fondamental et incontournable 1-comment comprendre l'action ? Mots indispensables lors des scènes d'exposition cf Britannicus Racine, 2-comment vivre intensément les passions déchirantes, les tourments sans les mots ? Monologue d'Hamlet : les mots seuls peuvent rendre compte du dilemme et du déchirement du héros la passion de Phèdre n'est rien sans les mots « je

s. comme fil rouge –l’admiration suscitée « Servons d’exemple à l’univers » (V, dern. Sc.) chez le spectateur, pièce cryptée sur les amours malheureuses de Louis XIV et L. de la Vallière). Peut mettre en scène des tyrans : cf le Néron de Britannicus, J. Racine (1669) qui expose la jeunesse d’un monstre. On peut aussi citer des pièces réfléchissant sur des rapports de pouvoir dans la société, en les questionnant. Ex : L’Ile des esclaves, Marivaux (XVIIIe s), utopie réjouissante, qui met

théâtre est principalement une énonciation mélodieuse exprimée par des comédiens. L'alexandrin devient alors un vers lyrique étudié pour le plaisir de l'oreille du spectateur et s'exprime lors de tirades telles que celle d'Agrippine à Néron dans Britannicus de Racine. D'ailleurs, Louis Jouvet n'a-t-il pas déclaré "le théâtre c'est d'abord un beau texte" ? L'auteur est un maître des mots et n'hésite pas à jouer avec, particulièrement dans la comédie où les procédés comiques sont omniprésents. Alfred

encore de rideau de scène, si bien que les changements de décor sont rendus impossibles. Il n’y a pas de coulisses donc les acteurs restent sur scène même lorsqu’ils ne jouent plus. Toutes ces contraintes rendent difficile la vraisemblance. 4. Conclusion Le théâtre au Moyen Age est très ancré dans la réalité et très en lien avec la société dans laquelle elle s’épanouit. Il naît en se démarquant de la littérature épique et romanesque. Il prône les valeurs inverses à celles que développe la littérature

dramaturge, le 21 juin 1664 grâce à Molière qui l’aide à faire ses premiers pas. ‘’Thébaïde’’, qui est sa première tragédie est mise en scène dans l’hôtel bourgogne puis succèdent (Alexandre en 1665), (Andromaque en 1667), (Plaideurs en 1668), (Britannicus ; 1669), (Bérénice ; 1670), (Bajazet ; 1672), (Mithridate ; 1673), (Iphigénie ; 1674), (Phèdre ; 1677), (Esther ; 1689), (Athalie ; 1691). III) Résumé de l’œuvre. Thésée, roi d’Athènes et de Trézène, a disparu. Phèdre, son épouse, se meurt d’un