Conclusion Bérénice Titus

II. Le réalisme de ce portrait permet de découvrir le fonctionnement d’une société 1. 2. 3 Vous rédigerez ensuite entièrement l’introduction et la conclusion. À titre indicatif, nous vous indiquons le barème pour le travail d’écriture : - introduction : 3 points - développement (sous forme de plan détaillé) : 6 points - conclusion : 3 points Seront pris en compte à chaque fois les trois domaines de compétences suivants : - structure / progression logique - analyse/réflexion - expression/communication

XVII remplit, conformément à ses origines grecques, une fonction cathartique​ : e personnage de Phèdre​ Racine, à qui la passion fait perdre toute pudeur et raison à partir de l’aveu de son amour incestueux pour Hippolyte, son beau fils . ​Bérénice​ que ​Titus​ veut répudier au profit du pouvoir ,en sont des exemples ou encore le portrait du monstrueux Néron ​dans ​Britannicus ou encore Horace d​e Corneille qui incarne la figure du tyran ,despote autoritaire se livrant à des abus de pouvoir

néa (nouvelle comédie grecque), particulièrement de Ménandre, par le procédé de la contaminatio littéraire ; elles ont elles-mêmes souvent inspiré les auteurs classiques, comme Molière qui reprit l'Aulularia de Plaute dans L'Avare. * Plaute : Titus Maccius Plautus (v.254 av. J.-C.-184 av. J.-C.), poète comique latin très populaire dans la Rome antique. Ses comédies (dont vingt sont parvenues jusqu'à nous, et qu'il est impossible de dater) montrent avec beaucoup de verve le petit peuple romain:

Un univers banal et ordinaire A. Le drame bourgeois B. La caricature au service de la dénonciation II) Un univers différent et intense A. La tragédie B. Le cartharsis sociale ou purgation psychologique C. L'affrontement de deux idéologies Conclusion Sujet : Selon vous, une pièce de théâtre doit-elle peindre le tableau de notre vie quotidienne commune, ou au contraire nous présenter une crise exceptionnelle qui se démarque de notre monde habituel ? Intro le théatre renvoie au réel ou

– Le spectateur n'est pas seulement destinataire de l'œuvre dramatique, il en est, selon Vsevolod Meyerhold, le "quatrième créateur", après l'auteur, l'acteur et le metteur en scène.  Exemple : toute expérience personnelle, le théâtre forum.  Conclusion À l'origine, le théâtre avait une fonction cathartique. Or cet effet purificateur ne pouvait être déclenché que par la représentation scénique de l'œuvre. Contrairement à la poésie, qui s'interprète dans l'intimité d'une lecture, le théâtre suppose

sainte jouée par des comédiens professionnels sur une scène profane. Godeau, académicien et évêque de Grasse, fit remarquer que l'Église avait toujours blâmé des excès comme ceux de Polyeucte qui entraînaient nécessairement des représailles. En conclusion, on engageait Corneille à ne pas faire représenter ‘’Polyeucte’’. Il passa outre. La pièce fut créée sur la scène du Théâtre du Marais dans les premiers mois de 1643. Ce fut un triomphe comme lui-même, si mesuré dans ses appréciations, le déclara

sainte jouée par des comédiens professionnels sur une scène profane. Godeau, académicien et évêque de Grasse, fit remarquer que l'Église avait toujours blâmé des excès comme ceux de Polyeucte qui entraînaient nécessairement des représailles. En conclusion, on engageait Corneille à ne pas faire représenter ‘’Polyeucte’’. Il passa outre. La pièce fut créée sur la scène du Théâtre du Marais dans les premiers mois de 1643. Ce fut un triomphe comme lui-même, si mesuré dans ses appréciations, le déclara

pas qu’il enfreigne les règles de la société, faire peur pour faire revenir sur le droit chemin. (même scène p. 30-31) + ex p. 188 : « mon âme semble reculer d’horreur » : le narrateur juge son acte avec horreur, le lecteur doit faire de même. CONCLUSION : AP : a donné à son oeuvre la profondeur psychologique, la valeur morale et la dignité d’un ouvrage classique. Voltaire : « Je n’ai jamais parlé de L’Abbé Prévost que pour le plaindre d’avoir manqué de fortune. Si j’ai ajouté quelque chose sur

ses émotions au spectateur. 2. L’universalité. Le lyrisme, la discrétion des références historiques : audelà du personnage historique, c’est l’homme confronté à sa propre mort qui apparaît. Malgré la cruauté du personnage, le spectateur compatit. Conclusion Camus met en scène un tyran dément et sanguinaire qui ne cesse de pervertir les valeurs de la société. Pourtant, ce personnage antipathique, au cours d’un dénouement spectaculaire, offre le visage d’une humanité privée de repères dans lequel le

personnels (emmener Hermione v. 99-100, p. 25), Oreste trahit sa mission officielle d’ambassadeur (emmener Astyanax). Seul dans la pièce à n’être aimé de personne, il appartient à la famille des grands « délaissés » raciniens, comme Antiochus dans Bérénice. Question 3. Y a-t-il d’autres récits dans Andromaque et quelle fonction ont-ils ? Quatre autres récits sont présents dans Andromaque : 3 © Éditions Belin/Éditions Gallimard, 2009. A ndroma qu e — Le récit d’Andromaque de la dernière nuit