Conclusion Bérénice Titus

autres, plutôt du côté de boule de suif. Conclusion : En définitive, dans ce texte, Giraudoux parvient à conjuguer l'amour et le devoir pour donner lieu à un dilemme cornélien et ainsi mettre Siegfried dans une situation absurde où il n'a finalement pas réellement le choix car quelque soit la décision la situation sera tragique. Cette pièce m'a énormément rappelée Racine de Bérénice, où Titus doit également faire un choix entre épouser Bérénice, qui le ferait enfreindre la loi et donc faillir

pour le genre de vers et pour la rime, à un certain ordre qui se répète dans toute la pièce. Stance de quatre vers, de cinq vers, de six vers, de huit vers. 12) Dilemme : Argument présentant deux propositions contradictoires mais menant à une même conclusion avec une obligation de choisir entre deux solutions aussi insatisfaisantes l'une que l'autre. Ici, Rodrigue doit choisir entre venger son père et donc tuer le père de Chimère ou pour ne pas peiner sa bien aimé mais être contraint de ne pas venger

Feydeau qui mettent en scène des situations d’adultère comme par exemple « les boulingrins » (de Courteline justement). Au XXème siècle, Eugène Ionesco dans sa pièce « Rhinocéros » garde cette note humoristique avec le logicien, personnage dont les conclusions sont toujours incohérentes comme lorsqu’il dit « tout les chats sont mortels. Sophocle est mortel donc Sophocle est un chat ».

conséquences extrêmes: morts et suicides II - La tragédie, c'est l'humain - Des sentiments vécus par tous les hommes comme le sentiment amoureux - les déchirements universels liés aux problèmes familiaux ou moraux  - des tragédies sans effusion de sang (Bérénice)+ Présence de confidents qui essaient de tempérer la violence par la sagesse de leurs conseils  Problématique: La tragédie n'est-elle constituée que de violences excessives?  Introduction: Le théâtre se veut à toutes les époques, la représentation

Plan : Introduction I) Présentation de l’auteur II) La tragédie 1) Origine 2) Définition 3) Déroulement III) Les actes Conclusion Présentation de l’auteur Jean Racine, né à La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699, est un dramaturge et poète français considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique en France sous Louis XIV. Issu d'une famille de petits notables et vite orphelin, il est éduqué par les « Messieurs » (les « Solitaires »)

des genres – une comédie ne s’écrit pas du tout comme une tragédie…               A- Un genre très codifié • Vers, diction : pas très naturel. Dans la vie, on ne parle pas en vers comme les personnages de Bérénice : « Je me comptais trop tôt au rang des malheureux ! Si Titus est jaloux, Titus est amoureux.» • Théâtre : respect des trois unités + vraisemblance et respect des bienséances. Niveau de langue soutenu, voire précieux. • Unité de ton => une pièce tragique ne peut pas être burlesque.

dans  Lorenzaccio  d’Alfred de Musset, nous avons un conflit physique quand ils sont au clair de lune à l’acte I, scène 1. Nous pouvons également trouver un conflit intériorisé ou extériorisé. Par exemple, dans « Bérénice » de Racine, nous voyons à travers la pièce le déchirement de Titus face à un dilemme, choisir le pouvoir ou l’amour. Par la suite, il choisira le pouvoir, mais il gardera sa souffrance pour lui sans l’exposer aux autres. Puis nous pouvons également trouver un conflit de nature amoureuse

culpabilité (personne n’avait le droit de pleurer sur elle) - Se détourne du monde (un monde qui maintenant m’était à jamais indifférent) et s’ouvre à la tendre indifférence du monde. Double sens clé du mot monde. Accès à la paix avec soi-même. Conclusion partielle et transition : Insister sur la métamorphose du personnage qui refuse le mensonge du monde des hommes pour affirmer son attachement au monde de la nature qui lui n’a rien à défendre (tendre indifférence du monde). Cette métamorphose implique

nationalistes organisent des soulèvements contre les Romains. Mais après quelques mois de tolérance, les Romains envoient à Jérusalem quelques troupes militaires sous la gouverne du général Titus. La ville est assiégée durant un certain temps, après quoi les Romains la prennent d’assaut. En 70, l’empereur romain Titus ordonne la destruction du Temple de Jérusalem, élevé par Salomon et symbole de la gloire et de la puissance d’Israël. Hadrien (76-138) est l’empereur de Rome qui mit un terme à l’expansion

durablement son autorité, alors que le pouvoir impérial sous les derniers Julio-claudiens souffre de discrédit trois hommes d'une famille obscure, dont le père est un homo novus, sont portés au pouvoir par l'armée : Vespasien. et ses deux fils Titus et Domitien. Qui se sont employés de 69 à 96 à mettre en place à la fois une nouvelle pratique et une nouvelle conception du pouvoir, en redéfinissant les attributions du Prince, en assurant une stabilité monarchique qui n'est pas sans ressemblance