Conclusion Citoyenneté Romaine Et Athénienne

sur l’héritage antique. Les deux traditions – gréco-romaine et judéo-chrétienne vont être liées – il y aura également quelques apports « germaniques » mais ils resteront latéraux et ne subsisteront guère, pour former les institutions occidentales. Vous avez étudié l’Antiquité au premier semestre. Vous savez tout ce que nous devons au logos grec et à sa mise en œuvre pratique par les Romains avec notamment cet héritage fabuleux : le droit romain. Il m’appartient de souligner dans ce cours qui y fait

valeurs «éternelles» et, finalement, le sacrifice de sa vie lui donnent cette stature tragique qui émeut les spectateurs. Que cette lecture sentimentale soit uniquement celle de l'époque moderne ou qu'elle ait pu aussi être celle des spectateurs athéniens, peu importe ici, dès lors qu'il s'agit de la réception actuelle du mythe. De ce point de vue, on pourrait peut-être, pour cerner l'enjeu du litige, faire l'essai d'une réécriture, en partant exactement du même canevas, mais en restant le plus neutre

les lois en vigueur. C’est là un point très important car pour la première fois dans l’histoire, on reconnait une citoyenneté qui va au-delà de l’ethnie et l’on a un système social qui n’est pas fondé sur une communauté d’origine ou sur une parenté, que celle-ci soit réelle ou mythique. C’est ainsi que le miracle grec trouve son aboutissement. Un aboutissement dans la société athénienne que décrit Périclès où l’on a une première ébauche des idées et des valeurs de la démocratie libérale, même s’il

sujet aurait pu être traité à l’époque, et déterminez comment vous le traiteriez aujourd’hui. L ’approche des cadres spatio-temporels du sujet Le cadre spatial Même si votre sujet se cantonne à la France, il semble judicieux, ne serait-ce qu’en conclusion et donc en ouverture, d’élargir votre approche à nos voisins européens ou à l’Occident. Inversement, un sujet large, qui spécifie une approche mondiale (« dans le monde », « et à l’étranger »), ne tolérera pas une approche réductrice et nationale

l’autorité du roi de France sur un territoire qui à l’époque est encore organisé de manière féodale. Le roi va donc s’affirmer non seulement sur un plan interne, face aux seigneurs féodaux, mais aussi sur un plan externe face à l’empereur du Saint Empire Romain Germanique, et au Pape. C’est l’idée que le roi ne peut être soumis à aucune autre volonté que la sienne. Jean Bodin fait du concept de souveraineté la justification de l’absolutisme royal. La souveraineté est définie comme un pouvoir suprême et illimité

des unes des autres se forment. 31 BC c’est la bataille d’Actium : Cléopâtre et Antoine contre Octave (futur empereur Auguste). Fin de l’indépendance de l’Egypte et début de l’Empire Romain sur le monde grec. Le 1er siècle BC connait la fin de l’art grec, même s’il se diffuse encore à l’époque de l’empire romain. 2. Limites géographiques Les Grecs sont sur tout le pourtour de la Méditerranée et leur influence va du Portugal à la Mer noire. L’art se diffuse dans toutes les colonies (apparue

de la Cité et du citoyen 97 Paragraphe 2. La constitution ou politeia et les institutions de la Cité 98 Paragraphe 3. La pensée politique et juridique 100 Section II. Rome 108 Paragraphe 1. La royauté romaine ( 753 – 509 av. J.-C. ) 108 Paragraphe 2. La Res publica ( 509 – 27 av. J.-C. ) 111 Paragraphe 3. L’empire ( 27 av.-565 ap. J.-C. ) 117 Chapitre II. Le droit privé : les fondements historiques et dogmatiques des droits

Éducation CIVIQUE 3e LIVRE DU PROFESSEUR Sous la direction de Vincent Adoumié Agrégé d’histoire Agrégé de géographie Lycée Dumont-d’Urville, Toulon (Var) Romain Agnel Certifié d’histoire-géographie Collège Jean-Giono, Manosque (Alpes-de-Haute-Provence) Laurent Bonnet Agrégé d’histoire-géographie Collège Les Bartavelles, Marseille (Bouches-du-Rhône) Kevin Labiausse Certifié d’histoire-géographie Collège Pierre-de-Ronsard, Hautmont (Nord) Maquette et mise en pages : Brigitte

école de pensée : les sophistes mais aussi ac Hérodote et Périclès. La pensée politique des sophistes. Nous sommes au 5ème siècle, ils sont à l’origine des professeurs de rhétorique, ils se sont assignés comme fonction d’enseigner aux citoyens athéniens l’art de parler, d’être persuasif, l’art politique, de convaincre dans n’importe quelle circonstance. Platon nous laisse une description très sévère, très critique de ce que sont les sophistes, pour lui ce ne sont que des beaux parleurs, que des

Histoire de l’idée européenne. Questions : - L’humanisme grec. - Le logos. - Aristote. - L’idée de liberté en Grèce. - Le régime mixte. - le droit romain : une science. - Le droit romain : expression de la vertu de justice. - Le droit romain : expression de la vertu de prudence. - La doctrine sociale de l’église avant Rerum Novarum. - La question sociale de Rerum Novarum a Quadragesimo anno. - Applications du principe de la dignité humaine dans les relations sociales