Conclusion Contre La Peine De Mort

I. DÉFINITIONS DES CONCEPTS 1. La Philosophie 2. La Justice II. LA CONCEPTION DE LA JUSTICE CHEZ LES ATHÉNIENS III. LA CONCEPTION DE LA JUSTICE OU DE L'INJUSTICE SELON SOCRATE IV. EVALUATION ET INTERET V. Evaluation VI. Intérêt CONCLUSION Lexique Sources Observations INTRODUCTION De toutes les figures si éminentes qui ont su marquer allègrement l’Histoire de la philosophie de la Grèce Antique, s’inscrit en droite ligne Socrate. Ce dernier à sans doute influencé

construction est plus complexe que celle des précédents, mais leur organisation en paragraphes permet souvent de détecter les différents arguments. De plus, ils répondent habituellement à une structure en trois parties : introduction, développement, conclusion. Classe ces situations de communication selon les critères précédents : émission de télévision, tract électoral, interview, article (relatant un événement), cours magistral, article d’encyclopédie, réunion, message sur un répondeur téléphonique

devons accompagner les poèmes de l'auteur, de l'années d'écriture, de son thème et son genre. 4 – Déterminez les grandes parties de votre florilège, son organisation générale. Différentes catégories précédé par une préface, des conclusions pour chaque parties et une conclusion finale. B – Première étape : parcourez certains des sites suivants et faites une première sélection, en vous aidant des réponses apportées aux questions précédentes. http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/liste_auteurs_a

A : Don Diègue : la négation de l’amour B : Rodrigue et Chimène : un échange de liberté Conclusion  Nous allons étudier la passion amoureuse dans Le Cid une pièce de théâtre (tragi-comédie) écrit en vers par Pierre CORNEILLE en 1637. Biographie de l’auteur : Pierre Corneille, né à Rouen le 6 juin 1606 et mort à Paris le 1er octobre 1684, est un dramaturge français. Ses pièces les plus célèbres sont Le Cid, Cinna, Polyeucte et Horace.

pas dit qu’elle [Elvire] était ici elle-même - Monsieur, vous ne me l’avez pas demandé. » (I, 2)) Il va parfois jusqu’à dire ses quatre vérités à son maître, il est vrai le plus souvent avec l’accord de ce dernier. Il agit même par trois fois contre les intérêts de Don Juan (I, 1 ; II, 3 & II, 4). Une fois même il réussit à fléchir Don Juan (le déguisement entre les actes II & III). En fait Sganarelle est davantage un auxiliaire, un homme de confiance, qu’un valet. Don Juan possède d’autres

amusement » (l.19) ; « j’observai ce spectacle étrange avec une curiosité si avide, si palpitante, si attentive… » ; « Un profond sentiment de pitié me remuait jusqu’aux entrailles, et leur rire me faisait pleurer. » (l.197-200) : curiosité, pitié Conclusion : l’auteur vise à dénoncer l’aspect voyeuriste des spectateurs (il s’agit d’un véritable spectacle sans acteurs volontaires). II. De la comédie à la tragédie 1. Quelle sensation est associée à la comédie qui commence avec l’arrivée

Paris d’ »enfer », et la longue énumération des verbes, qui ferme le deuxième paragraphe, développe cette vision, faisant alterner les moments de vie et de mort et jouant sur les sonorités. Ainsi le groupe »tout fume, tout brûle, tout brille, tout bouillonne » illustre l’intensité de la vie, . La ville associe donc l’élan de vie à la menace de mort. === On constate donc une ambivalence du jugement porté par Balzac sur Paris : c’est, à ses yeux, une ville où se côtoient à la fois toutes les créations

par milliers parfois, sans se rencontrer une seule fois. On peut, si l’on vit sans famille, ce qui est le cas de beaucoup, être malade, mourir chez soi, sans que personne le sache. D'où un terrible anonymat dans la vie, dans la souffrance, dans la mort. Je connais deux femmes seules, âgées, l'une à Paris, l'autre en Bourgogne, à la campagne. Cette dernière vit dans sa petite maison. Son mari est décédé. Ses enfants sont loin et ne viennent parfois qu’à l’occasion des vacances. Elle marche très difficilement

qui se déroule sous ses yeux. Mise à nu d’une conscience. b. Oralité apparente du discours Qui va dans le même sens que les remarques précédentes. Phrases apparemment très simples : voir les trois premières lignes. Le discours est à peine plus construit que le télégramme retranscrit dans le premier paragraphe. Ecriture parfois même sous forme de notes : « Cela ne veut rien dire » (l. 5) ; « C’était vrai » (l. 73) ; « Toujours à cause de l’habitude » (l. 79-80). Phrases réduites

groupez les idées semblables; * établissez des rapports de cause à effet; * exposez les causes avant les conséquences; * ménagez les transitions entre les idées; * évitez de raisonner dans l'abstrait. c) Conclusion C'est le couronnement du travail qui contient le dénouement, l'aboutissement (ce qui doit être une évidence !), où l'on prend congé du lecteur dans les formes commandées par le sujet traité. 3) Le brouillon : La réalisation