Conclusion De La Conviction Et La Persuasion

nous aident le mieux à rejoindre leurs causes. Developpement L'argumentation directe a pour modèle la démonstration : on enchaîne une suite de déduction d'un point de départ à une conclusion, de telle manière que le lecteur, pour peu qu'il ait admis le point de départ, doit nécessairement admettre la conclusion. En littérature, ce qui lui correspond c'est le raisonnement logique par lequel on cherche à convaincre. I. La littérature est un bon moyen de convaincre et de persuader A) Convaincre

un second temps l’argumentation indirecte qui repose sur la persuasion, en faisant appel aux émotions et aux sentiments du lecteur puis nous verons pourquoi celle-ci est plus efficace. L'argumentation directe: son modèle est la démonstration: on enchaîne une suite de déduction d'un point de départ à une conclusion, de telle manière que le lecteur, pour peu qu'il ait admis le point de départ, doit nécessairement admettre la conclusion. En littérature, ce qui lui correspond c'est le raisonnement

opinions et préjugés pour des jugements réfléchis et on s’attribue des pensées qui ne viennent pas de soi. Contrairement à une connaissance, une opinion n’est ni vraie ni fausse. Il lui suffit de s’affirmer. Elle ne rend pas compte de sa force de persuasion par des justifications rationnelles ou par des démonstrations. L’opinion relève davantage du fait donné que de la recherche de la vérité. Celui qui exprime une opinion peut avoir l’impression d’avoir raison mais le plus souvent, il affirme une vérité

de la persuasion. Selon Gorgias, la rhétorique apporte le pouvoir, ainsi, elle est toute-puissante. De plus, la rhétorique vise à rendre libre les hommes qui la maîtrise, et à leur permettre de commander aux autres hommes de la cité, puisqu'elle donne le pouvoir de convaincre, grâce aux discours, les juges du tribunal, les membres du conseil ou même l'ensemble des citoyens. On peut donc dire que la rhétorique vise, à travers le discours, à convaincre, et que son objet est la conviction dont

transparait à l’épreuve du temps et de l’analyse par les autres. Un exercice difficile.· Mais la clarté ne fait pas tout l’usage des moyens mnémonique de l’allitération et de l’antithèse et des proverbes et autres maximes : ils offrent des éléments de persuasion, de concision et de sincérité.· Il établit une typologie de style littéraires qu’il admet lui-même se recouper : magistral ou impérieux, laconique ou sentencieux, conversationnel ou simple, raffiné ou recherché, démonstratif ou persuasif et enfin

de conclusion portant sur le destinataire, objet de la lettre, marques du dialogue à distance entre l'émetteur et le destinataire, ton et registre adaptés aux relations entre l'émetteur et le destinataire… formule de politesse finale (par laquelle l'auteur prend congé de son correspondant), et signature. Votre texte doit avoir l'air d'une vraie lettre…   3°)   Si c'est une lettre de type argumentatif (vous devez défendre / critiquer un point de vue)  → utilisez les procédés de la persuasion (=

d’attester mon attachement à mes propres préjugés ? Quand j’affirme ne me fier qu’à moimême, estce bien à ma raison que je me fie, ou à ce qui en moi outrepasse toute raison ? Sans doute nous faudratil alors distinguer la certitude subjective de la conviction et la certitude objective du savoir : peutêtre que se fier à la raison, c’est justement apprendre à se défier de ma raison ou plutôt de ce que je prends pour tel, exiger de moi autant que d’autrui dans l’acte d’un dialogue où chacun, s’exposant

invite l'auditoire à réfléchir sur son propre statut, sur cette situation de parole et de communication et sur son attitude. II - Mise en fable et mise en scène de la supériorité de la persuasion sur la conviction A - Le discours sérieux dévalué : Le discours sérieux de l'Orateur relève de la conviction. Il s'agit d'imposer une idée à l'auditoire de l'extérieur. Or force est de constater combien La Fontaine en propose une vision dévalorisante. - on note tout d'abord le glissement du terme

explicite dans le préambule. * Thèse logiquement exprimée : « afin que » ; « en conséquence ». Ces connecteurs logiques relèvent de la stratégie de conviction. * Thèse justifiée par les arguments sous forme d’articles numérotés. (ce texte est un extrait, d’autres articles suivent le premier) Cette Déclaration use aussi de la stratégie de la persuasion, particulièrement dans l’Avant-propos, au travers du registre polémique : * ton passionné et vigoureux de la dénonciation de la domination masculine

que la simple croyance est aux mathématiquesII-Persuader, ConvaincreSi les deux termes sont employés aujourd’hui indifféremment l’un pour l’autre, une démonstration entraîne la conviction puisque tout esprit doit reconnaître la nécessité des raisons par lesquelles elle aboutit à une conclusion. Au contraire, la persuasion s’obtient par un discours éloquent qui repose non pas sur des raisons mais sur des causes d’ordre psychologiques. Ce sont donc les passions et non la vérité des propos charmeurs