Conclusion De Madame Bovary

respect, la société serait analogue à la jungle ; l’homme, quant à lui ressemblerait à une bête qui fait volontairement absenter sa raison. La bonne éducation a le mérite d’assurer un comportement correct et adéquat avec les bonnes manières. Conclusion : Il en résulte donc qu’au-delà de la conception négative de l’humanité qui la limite à l’aspect matérialiste, pécuniaire voire égoïste, on peut dire que l’individu demeure, malgré les exceptions, un être raisonné, sensible et capable de se perfectionner

Introduction : Gustave Flaubert est un grand écrivain du XIXème siècle, celui du romantisme et du réalisme. Il écrit Madame Bovary en 1851. Cette œuvre est un roman réaliste, relatant le désespoir et l’ennuie d’une femme prénommée Emma, qui rêvait à l’amour depuis son enfance. Mariée à un homme inintéressant (Charles Bovary), sa recherche du bonheur et de la passion ne fut pas comblée. Ce désespoir l’entraîna à tromper son mari à plusieurs reprises, avec des amants différents. Ces liaisons furent

Diderot, de Stendhal ou encore de Balzac. Mais ce dont on se rappelle le plus sont certaines oeuvres d'Alfred de Musset et de Balzac, les romans de Gustave Flaubert, les nouvelles de Guy de Maupassant, les romans d'Émile Zola et des frères Goncourt. Madame Bovary, oeuvre la plus connue de Flaubert et d'ailleurs condamnée l'année même de sa publication pour son «réalisme grossier et offensant pour la pudeur», illustre très bien la doctrine réaliste. «À travers l'histoire de cette femme, enfermée dans les

Microsoft Word - Texte 16 analyse emma bovary .odtTexte 16 : Emma Bovary, Part. 1 Chap. 3, la première rencontre, Flaubert 1857 Introduction En 1856, Flaubert écrit Madame Bovary. C’est un roman réaliste, c’est d’ailleurs l’un des premiers que l’on qualifiera de réaliste. Le réalisme est la volonté de l’auteur de représenter le réel le plus fidèlement possible en réaction au romantisme et à l’exacerbation des sentiments, qui sera d’ailleurs ironisé par Flaubert dans son roman. Il prend son

Madame Bovary : Questions. 1/ La focalisation employée par l’auteur est une focalisation externe car le narrateur est un témoin objectif : qui observe juste et constate ce qu’il voit « une petite vielle femme de maintien craintif […] dans ses pauvres vêtements […] son visage maigre […] plissé de rides ». 2/ L’auteur emploi dans ce texte les temps du passé comme le passé simple « on vit » ou l’imparfait « Elle avait » mais également le plus que parfait « les avaient si bien encroûtées…». Il a choisi

personnage est une image stylisée, il a donc une dimension universelle, permettant au lecteur de s’identifier et facilite donc la compréhension. 2 Le personnage permet au lecteur de comprendre des situations dans la vie courante. Dans le roman « Madame Bovary » écrit par Flaubert, l’auteur à imaginé le personnage principal en parallèle avec le comportement des jeunes femmes en soif d’exaltation. Cette reproduction de comportement de ces femmes, permet l’analyse du comportement de la catégorie que cette

donc l'odorat contribue au fonctionnement de la mémoire, tout comme la vue : " revue, une marque dans une porte, une chaise boiteuse nous rappelant un petit fait. " Le narrateur met en scène le réel en rendant compte de ce qu'éprouve Du Roy Conclusion partielle : Le style indirect libre nous permet d'avoir directement accès aux pensées du personnage, ainsi, nous en venons à oublier la présence du narrateur. 2° axe : La vision négative du monde rural a) Le cadre de la campagne Normande

| Extrait vu en classe | Type de l’oeuvre | raisons | Focalisation | Subjectif | Objectivité | Persos | Ironie | Conclusion | Stendhal | Le rouge et le noir | - Roman réaliste- Naturaliste | - c’est une chronique- il s’ancre dans le réel (basé sur des faits réels)- le roman est un miroir de la société-s’inspire de faits réels. | - à travers les yeux des personnages (récit de pensée)-intervention de l’auteur-narrateur. | - le récit de pensée - Le fait que ce soir lui qui décide ce qu’il filme.

une révélation (identité du coupable). 2.L'excipit à valeur morale ou philosophique : l'auteur nous fournit une leçon morale ou philosophique tirée de l'action vécue par le personnage. C'est le plus fréquent à la fin des contes. 3.L'excipit sans conclusion : soit le lecteur est censé conclure lui-même (il n'y a pas de fin précise), soit il y a un épilogue dans lequel l'auteur explique le futur du personnage. Ce dernier n'a pas achevé l'action dans ce cas. C'est utilisé pour donner envie de connaître

petites vallées tortueuses, dont les deux croupes portaient, comme une chape d’or, une toison de fleurs d’ajoncs. Leur odeur forte et douce, exaspérée par la chaleur, la grisait à la façon d’un vin parfumé» (chap. II, p. 32) = comparaison Mini-conclusion : L’éducation chez les religieuses garde les filles de noblesse trop naïves par rapport au monde dans lequel elles vivent. II – Deuxième partie Déceptions et échecs résultant des rêves et illusions de l’enfance au mariage de