Conclusion De Manon Lescaut

croient donc à l'illusion. Le roman n'a pas de critères d'écriture : vulgarité. Au XVIIIe s, on est plus dans l'analyse psychologique. Le roman épistolaire (écrit en forme de lettre) se développe beaucoup. Il y a des critiques religieuses, de lieux. Manon Lescaut de Prévost. Lesage : 1668-1747 Il a fait des études de droit. Il va s'inspirer de la littérature espagnole pour écrire. Théâtre : Turcaret, 1709 Roman : Le Diable boiteux, 1707 ; Gil Blas de Santillane, 1715-1735 Gil Blas de Santillane

Gargantua – Montaigne, Les Essais – des sonnets de Ronsard et de Du Bellay. Théâtre de Corneille, Racine, Molière – Fables de La Fontaine – Caractères de La Bruyère – Théâtre de Marivaux, de Beaumarchais – Lettres persanes de Montesquieu – Manon Lescaut de l’abbé Prévost – Jacques le fataliste de Diderot – Les Rêveries du promeneur solitaire de Rousseau. Les Illusions perdues de Balzac – Madame Bovary de Flaubert – Les Misérables de Hugo – Lorenzaccio de Musset – Les Contemplations

dénouement de Carmen est une réécriture du dénouement de Manon Lescaut écrit au e XVIII siècle par l’abbé Prévost. Comparez ces deux dénouements et comparez ces deux œuvres. Que pensez-vous du jugement du critique Sainte-Beuve, écrivant que Carmen « est une Manon Lescaut plus poivrée et à l’espagnole » ? Le dénouement de Carmen est une réécriture du dénouement de Manon Lescaut écrit au XVIIIe siècle par l’abbé Prévost. Voici le texte de la mort de Manon : « Pardonnez, si j'achève en peu de mots un récit

Rougon-Macquart, est caractérisée par son âpreté aux gains, son envie de pouvoir. L'image de cette petite femme manipulatrice est très marquante => héroïne. * Passions absolues : on pense à la passion que voue Des Grieux à Manon Lescaut dans l'oeuvre de Prévost => il se fâche avec son père, part en Amérique avec la jeune femme qui, pourtant, l'a plusieurs fois trompé. C- La nécessité de l'exemplarité * Le romancier a besoin que ses histoires soient lues

ensuite une femme manipulatrice, prête à tout pour assouvir sa passion adultère, y compris au meurtre de son mari (voir fiche 2). Elle peut être considérée comme une femme fatale. On peut penser à de nombreuses femmes fatales en littérature : Manon Lescaut, personnage de l’abbé Prévost, par exemple, Carmen de Mérimée, entre autres. Thérèse Raquin, personnage de Zola, est aussi une femme que l’on croit fatale pour les hommes, mais qui finit surtout par être elle- même victime des ravages de la passion

tout au long des aventures de son personnage, de lesclavage au chap. XIX). Bien sr, certains romans, quelle quen soit lpoque, portent aussi une argumentation indirecte et incite le lecteur rflchir (voir lAvis de lauteur du roman de lAbb Prvost, Manon Lescaut Il le lecteur verra dans lexemple de M. des Grieux un exemple terrible de la force des passions, le roman Bug-Jargal de Victor Hugo ). Cependant, le roman met en avant la psychologie, lpaisseur humaine et lvolution intrieure des personnages quand

jouer de notre volonté et de notre maîtrise rationnelle et consciente. La littérature est pleine d’hommes qui subissent l’autorité de la passion avec une soumission parfaite. Tel est le cas du chevalier des Grieux dans « Manon Lescaut » (de Prévost) que sa passion pour la belle Manon entraîne dans des malheurs toujours plus grands. La toute puissance de la passion permet donc de répondre à la question : on peut être l’esclave de soi même, en tant qu’on peut être l’esclave de sa passion. Dans « L’existentialisme

Rougon-Macquart, est caractérisée par son âpreté aux gains, son envie de pouvoir. L'image de cette petite femme manipulatrice est très marquante => héroïne.                  * Passions absolues : on pense à la passion que voue Des Grieux à Manon Lescaut dans l'oeuvre de Prévost => il se fâche avec son père, part en Amérique avec la jeune femme qui, pourtant, l'a plusieurs fois trompé.              C- La nécessité de l'exemplarité * Le romancier a besoin que ses histoires soient lues.=>

« Tout homme, dira-t-il en 1588, porte en soi la forme entière de l’humaine condition: quiconque me lit peut se reconnaître en moi et tirer profit de mon expérience. »  Dans les deux derniers chapitres des Essais, Montaigne révèle, en guise de conclusion, sa conception du bonheur du sage, aimer la vie et la goûter pleinement : « C'est une perfection absolue et pour ainsi dire divine que de savoir jouir loyalement de son être.» La vie de Montaigne est mouvementée. Il s'est engagé, a mené une action

historique. Exemple: La princesse de Clèves de Madame de La Fayette. 6 – Le roman de moeurs : Début XVIIIème siècle. Ce sont des récits de vie, présentés un peu comme des mémoires. Ils sont parfois appelés « romans de formation » Exemples : Manon Lescaut de l'Abbé Prévost ; Le Paysan parvenu de Marivaux mais aussi La Vie de Marianne ; Gil Blas de Lesage. 7 – Roman philosophique et roman sensible... : Milieu XVIIIème siècle (→ pré-romantisme). Pour le roman philosophique, ce sont des histoires