Conclusion De Microéconomie

fonctionnement du marché par la réduction de ses imperfections - L’élargissement du marché Le développement des mécanismes particuliers ont permis de développer les transactions impersonnelles telles que les enchères ou les bourses de cotations. La microéconomie prévoit aussi que ces places centrales du marché vont se développer de plus en plus au détriment de l’économie de bazar (pour les biens homogènes et de grande diffusion). Mais celle-ci prévoit aussi que ces places centrales vont prendre une certaine

La relation prêteur‐emprunteur en information asymétrique  L'équilibre du marché du crédit  Les justifications économiques de la réglementation bancaire.   Les stratégies des banques          METHODE     BIBLIOGRAPHIE  Cours, enseignements dirigés, cas.  Freixas X., JC Rochet, “ Microeconomis of banking”. MIT Press.  MISHKIN  Frédéric,  Traduit  pas  C.  Bordes,  P‐C  Hautcoeur,  D.  Lacoue‐Labarthe,  « Monnaie,  Banque  et  Marchés  Financiers ».  PEARSON Education    Page 33 of 41     Bif B2 : Gestion des Risques Bancaires 

Microéconomie Pierre Garrouste Université de Nice-Sophia Antipolis et GREDEG pierre.garrouste@orange.fr Plan  1. Rappels      Préférences Utilité Risque Information La règle de Bayes L’équilibre walrasien L’existence de l’équilibre Le premier théorème du bien-être Le second théorème du bien-être Les externalités Le financement des biens publics La sélection adverse Le hasard moral Les dilemmes Leurs solutions  2. L’équilibre général      3. Les défaillances

MICROECONOMIE I/Introduction : La micro fait partie des sciences sociales qui étudies l’allocation optimale des ressources, les agents économiques doivent réaliser des arbitrages entre les différentes alternative en vue de l’optimisation d’un objectif. II/ Objectif de la science économique : L’objectif de la science économique et de la micro réside dans : - Phénomène économique réel - Permettre aux agents économiques de décider de manière optimale - Augmenter le bien être global (consommateur

peuvent librement entrer sur le marché considéré. Conséquence de ces hypothèses : Les entreprises ne peuvent pas faire de (sur)profit à long terme. 17 1.1 Équilibre sur un marché Nous rappelons que le marché est l’institution de base en microéconomie. Il s’agit du lieu où les vendeurs d’un bien rencontrent les acheteurs de ce bien. Les caractéristiques du bien considéré doivent être précisées. Par exemple, un même bien disponible à deux moments différents (ou dans deux localisations

l’« externalisation » et à ceux de la flexibilité interne. On oppose alors deux groupes au sein des firmes : un « noyau dur », qualifié, adaptable et favorisé mais mis sous pression, et une « périphérie » soumise aux aléas de l’emploi précaire. Conclusion Le bilan de ce chapitre est clair : il existe un écart considérable entre les espoirs ou les prescriptions en faveur de l’« investissement dans l’homme », et les pratiques des entreprises. La fonction ressources humaines est bien développée et

prix des autres biens, etc. (...) Chaque fois que l’un ou l’autre des déterminants de l’offre et de la demande, autres que le prix, passent d’un état à l’autre, l’offre et la demande sont modifiées, et donc aussi le prix d’équilibre. Alain Luzi, Microeconomie Hachette 2006 Texte 7 Les nouvelles règles sur la transparence des tarifs aériens adoptés par le Parlement européen le 9 juillet 2008 Parlement européen, communiqué du 9 juillet 2008 publié le 10 juillet 2008 Les prix des billets d'avion - quelle

biens, et le laisser-faire prôné par les tenants du libéralisme ne permet pas de sortir de cette situation (Cf. la crise économique de 1929). Keynes (1883-1946) s'est particulièrement intéressé aux situations de sous-emploi et il en arrive à la conclusion que, pour sortir de cette situation, l'Etat doit intervenir, tout en sauvegardant au maximum les principes du libéralisme économique. Sans entrer dans les détails de sa théorie5, on peut rappeler que, pour lui, la richesse d'une nation, c'est à

département en vue d’une « qualité totale ». À cet effet, le ohnisme aplanit la structure hiérarchique, en systématisant par exemple le travail en équipe au sein de « cercles qualité ». Mais il ne concerne pas simplement le niveau individuel et la microéconomie de la firme. Étant donné les liens étroits qui unissent les membres des keiretsu, et vu que ces conglomérats forment la trame du tissu économique japonais, c’est à l’ensemble du secteur industriel que l’« esprit Toyota » est insufflé, sinon à l’ensemble

par Ricardo. La notion de valeur travail, cette théorie est adoptée par la plupart des auteurs Classiques et Maxistes, mais elle va être abandonnée à la fin du XIX° siècle par le courant NéoClassique. Ce courant va être à la base de théorie microéconomie et qui considérait que la valeur d'un bien est fondée sur son utilité et plus précisément sur l'utilité qu'apporte la consommation d'une unité supplémentaire de ce bien (notion d'utilité marginale). Cette utilité marginale est fructueuse car elle