Conclusion Discours De Bayeux

du Général, ses joies, ses déceptions, sa philosophie de l'existence… LE CONTEXTE En désaccord avec les partis politiques, le général de Gaulle démissionne le 20 janvier 1946. Il rompt son silence volontaire le 16 juin 1946, à Bayeux, en exposant, lors d’un discours célèbre, ses conceptions constitutionnelles… Qu’il mettra en œuvre 12 ans plus tard avec la Vème République. Pour l’heure, ses conceptions sont rejetées et la constitution de la IVème République est adoptée le 13 octobre 1946.

pour une constitution donnant la prépondérance aux élus du Parlement (pouvoir législatif). De Gaulle, à l’inverse, milite pour un pouvoir exécutif fort. Pour monter son opposition, il démissionne du GPRF en janvier 1946. Au mois de Juin, par le discours de Bayeux, de Gaulle incite une nouvelle fois les électeurs à refuser un projet de constitution qui accorde l’essentiel des pouvoirs à l’Assemblée. Il dénonce alors le « régime des partis » Finalement, les français adoptent, par référendum, le projet

dès lors à De Gaulle une légitimité d’autant plus importante que le temps est alors aux volontés d’indépendance et d’émancipation de nombreux territoires. Le président de cette république à venir s’affirme le garant de l’unité nationale dès le discours de Bayeux en 1946, en condamnant les luttes partisanes. La lutte de 1962 menée par le président pour imposer le suffrage universel direct en France est un acte fort, illustrant la volonté de garantir un Etat puissant doté d’un chef légitime, et de pérenniser

texte constitutionnel porte la marque du GDG mais aussi celles d'autres influences. II- Les compromis entre les idées : A- Les idées du GDG : En 1958, on connaît parfaitement ses idées, il les a lui même exposé 2 ans auparavant des le discours prononcé à Bayeux. Et selon lui, il faut organiser les institutions autour de 3 idées force : il faut à la France une démocratie pluraliste. Pourquoi ? Parce que les dictatures amènent des catastrophes et aussi parce qu'avec les Français et leur tempérament

Vème avec le général de Gaulle comme président.I) La Vème République de 1958 à nos joursA) La République gaullienne (1958-1969)1) Une République née de la volonté du général de GaulleLa nouvelle constitution est élaborée selon les principes du discours de Bayeux (1946) dans lequel de Gaulle réclame un pouvoir exécutif fort. Alors qu'il est en 1946 chef du gouvernement provisoire (GPRF), il démissionne car la IVème République ne répond pas à ses attentes. 2) Le président, le personnage central du

chemins de fer, la banque de France, le charbonnage de France, gaz et électricité. Cependant, le 20 janvier 1946 De Gaulle démissionne du gouvernement, il est remplacé par un autre président provisoire de gauche Félix Gouin. Il prononce un discours célèbre à Bayeux sur la futur constitution «Il faut que dans la nouvelle constitution il y ait un président fort». Le 5 mai 1946 une première constitution est proposé aux Français. Cette constitution est rejetée avec 53% de non, c'est la première fois

4 septembre (anniversaire du 4 septembre 1870 : proclamation de la IIIème république), ce projet est soumis à référendum le 28 septembre 1958. Comment un tour de force pareil est-il possible ? Car le projet de constitution était déjà écrit (discours de Bayeux). Il a suffit que Michel Debré mette en musique dont les grands traits étaient déjà parfaitement clairs. C’est une constitution que porte la marque personnelle du général DG. Quand il y a une assemblée constituante, il y a des débats internes

commune de la part du garde des sceaux Michel Debré et de certains ministres qui veulent remédier aux troubles qui ont entraînés l’échec de la 4ème République. A) Les idées constitutionnelles du Général De Gaulle C’est dans un discours prononcé le 16 Juin 1946 à Bayeux que le général de Gaulle expose ses conceptions pour la nouvelle Constitution de 1958. Tout d’abord il faut noter qu’il était partisan d’une séparation stricte des pouvoirs. Selon lui le pouvoir exécutif devrait être dominé

forme d'élection. I un tournant dans la Vème république. A-Le suffrage universel: une volonté de De Gaulle. L'élection du président de la République par le peuple ne figure pas dans la constitution de 1958, ni même dans le discours de Bayeux, le 16 Juin 1946, où De Gaulle dresse les grands traits de sa vision de la constitution de la Vème République. Ainsi, le mode d'élection du chef de l'état s'inscrit dans la continuité de la IV et V ème République, c'est à dire par un collège

-Général de Gaulle qui veut placer le Président de la République comme garant des institutions. La constitution de la Cinquième République est très influencée par les principes énoncés par Charles de Gaulle lors du discours de Bayeux le 16 juin 1946. [Institution : Ensemble des règles qui régissent une collectivité] [Loi organique : Loi relative à l’organisation des pouvoirs] Les grandes étapes dans la formation de cette nouvelle Constitution : 1- Élaboration d'un