Conclusion Fable Sur Le Renard

salons. Il utilise souvent le monde animal pour dénoncer les injustices de son temps. La fable qui nous intéresse ici est celle des Animaux malades de la Peste. Le récit conte les ravages causés par la peste, vue comme un châtiment divin, puis se concentre sur la recherche d’un animal à sacrifier pour arrêter l’épidémie. La fable garde l’univers animal et se construit sur les discours successifs du lion, du renard et de l’âne. Plan : I. Le récit d’une condamnation a) La représentation d’une scène de

Fables Le Pouvoir des Fables livre VIII fable 4 Introduction : Au XVIIème siècle, Jean de La Fontaine (1631-1695) fut un célèbre fabuliste classique. Souvent qualifié de moraliste pessimiste, il se «  sert d’animaux pour instruire les hommes » (Préface à Monseigneur le Dauphin). Cet auteur a puisé son inspiration pour ses Fables chez Esope qu’il entend au départ traduire : c’est l’esthétique classique qui prône l’imitation des anciens. Cet extrait est la fable 4 du livre VII, elle est précédé de

choisissant un roi Texte 2 : La cour du lion Texte 3 : Fable ou Histoire Ce corpus est constitué des trois textes de genre argumentatifs : Les oiseaux se choisissant un roi de Marie de France, La cour du roi de Jean de la Fontaine puis pour fini Fable ou Histoire de Victor Hugo. Ces diffèrent textes présentent dans ce corpus ont toutes une situation commune. Les fables défendent ici une moral. Précisément, ils ont tous recours à la fable pour dénoncer les abus de pouvoir. 1/ Ces textes

Fontaine, Fables, Livre VII - Fable 1 « Les Animaux malades de la Peste » Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie, Ni Loups ni Renards n'épiaient La douce et l'innocente

l’intrigue (la peste, la crise) aboutit à un acte d’accusation ; les personnages sont tous supposés victimes et accusés, et tous sont juges, sauf l'âne dont le destin est assuré. Le dialogue permet la défense et le réquisitoire ; et l’épilogue de la fable est le verdict. En assimilant le chœur des courtisans à un jury, un tribunal, La Fontaine fait une référence au théâtre grec. II/ Une critique du pouvoir absolu 1. une situation de crise : punition divine La Peste est considérée comme un fléau

penser » Corps : Intro 3 Arguments donc 6 exemples Conclusion I - La littérature est un outil qui permet de transmettre des idées et de s’évader CAR elle permet aux auteurs de mettre en avant des valeurs morales humaines dans des critiques sociales. Elle incite donc le lecteur à y réfléchir et à se remettre en question. - Fable de la Fontaine : Les animaux malades de la peste ou le lion et le rat ou …. Dans la fable Le Corbeau et le Renard de Jean de la Fontaine, un corbeau tient un fromage

des hommes et les abus auxquels leur condition les conduit, contribue elle aussi à rendre l’apologue humoristique. Chez la Fontaine, c’est le milieu hypocrite et injuste de la cour qui fournit bien souvent la cible de la satire, comme le montre la fable Les Obsèques de la lionne, qui met en scène le succès que l’on rencontre en mentant devant les rois. Les animaux malades de la peste dénoncent de même les « jugements de cour », capables de condamner l’innocent au mépris de toute équité. Mais l’apologue

Introduction: Jean de La Fontaine , fabuliste du 17 siècles , a souvent utilisé des animaux pour critiquer les hommes et leurs mœurs . Cette apologue qui s’intitule «  Les Animaux malades de la peste  » est du 7 recueil , écrit en 1678 . Ceci est une fable distrayante avec la description des circonstances , des personnes et nous avons une richesse du dialogue . La Fontaine donne autant d’importance au récit qu’à la morale mais garde une visée satirique et critiquant . On assiste aussi ici à la démonstration

Corbeau et le Renard » et nous savons depuis que « Rien ne sert de courir/ Il faut partir à temps » ou que « Tout flatteur vit au dépens de celui qui l’écoute ». Dans « Le Loup et le Chien » pourtant on ne trouve pas de précepte ni de devise ; La Fontaine met en scène la rencontre d’un chien fier de son confort et d’un loup amoureux de la liberté mais il ne nous invite pas pour autant à suivre une règle de comportement. J’annonce une problématique : Devons-nous alors penser que cette fable-ci ne possède

moment de la chute de Fouquet, La Fontaine reste son plus fidèle défenseur. Il écrit à cette occasion «l'ode au roi» et surtout l'admirable «Élégie aux nymphes de Vaux». Cette fidélité à Fouquet lui valut rapidement la haine de Colbert,(voir la fable « Le Renard et l’Écureuil »(appendice aux fables)* : Fouquet avait pour symbole sur son blason de haute noblesse un écureuil qu’on voit partout représenté au château de Vaux) puis celle de Louis XIV lui-même. Peu après, il se lie intimement avec Molière