Conclusion Harmonie Du Soir

la structure syntaxique met en avant l’importance accordée au cadre de la rêverie. La naissance de la rêverie : « les yeux fermés » permettent la concentration sur son intériorité (de voir ce qu’on ne peut pas voir les yeux ouverts) et un « soir chaud d’automne » est une saison et un moment de la journée propices au regret, à la nostalgie… La femme est une source de sensualité (« odeur », « sein »). Le « sein chaleureux » a une connotation érotique. La femme est également une mère protectrice

chanterait ses états d’âme. Principales oeuvres poétiques: 1 ) Premières Méditations poétiques(1820) 2) Nouvelles Méditations poétiques(1823) 3) Le dernier chant du pèlerinage de Child Harold(1825 4) Harmonies poétiques et religieuses(1830) 5) La Chute d'un Ange.(1838) 6) Recueillements poétiques(1839) 7) Jocelyn(1836) 8) La Vigne et la Maison(1857) Les Premières Méditations

Où ? Non déterminé ms chp lex nature « sentier, herbe, blé ». Nature -> majuscule : présenté cme entité. Ds son imagination elle est vaste, rafraichissante & sauvage (sans intervention humaine). Enveloppé ds nature. C’est l’été, MS particularité : soir bleu. Nature idyllique, éden, osmose totale. Comment ? En tte liberté. Comparaison -> Bohémien (pas d’attaches/contraintes) -> fait penser à ses 3 fugues. TRANSI : Important ? = impression qui se dégage, impression qui domine -> Le bien-être

et de réconciliations Lecture linéaire :Vers 1 : « Quand, les deux yeux fermés , en un soir chaud d’automne, » → série de compléments circonstanciels (lieu, manière, temps… ) = effet de protection et de bien-être / climat calme et serein → « soir chaud d’automne » = oxymore entre « automne » où le terme attendu est « été » : place le lecteur dans un endroit tropical → Champ lexical de la chaleur = univers

Pierre de Ronsard : "quand vous serez bien vieille au soir à la chandelle" 1524 - 1585 Lecture du poème : Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filanta, Direz chantant mes vers, en vous émerveillant : « Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle. » Lors vous n'aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de Ronsard ne s'aille réveillant, Bénissant votre nom de louange immortelle

deux paysans », « les deux portes », « les deux aînés », « les deux cadets », « les deux mères », « les deux pères », « deux demeures » ..) ❖ Comprendre que les reprises anaphoriques reflètent une certaine similitude entre les deux familles, une harmonie complète (voire même une symbiose totale.) « Les deux distinguaient à peine leurs produits dans le tas »l : 10 page : 77. Conclure que : L’apparition des D’Hubières va modifier l’équilibre initial du récit et va instaurer une

Jordan Jimenay 27.05.11 309 Baudelaire, Les fleurs du mal Parfum exotique (p.75) Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne, Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par

L’obsession du temps * Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : « la nuit », « le jour », « l’aurore », « le soir », « les heures », « l’année », « moments », « l’éternité » et présence d’adjectifs significatifs : « l’heure fugitive », « nuit éternelle ». On observe la métaphore du temps « l’océan des âges » (21, 35-36) assimilé à l’eau → métaphore filée du temps qui coule. * L’opposition des temps verbaux (passé / présent) : le passé évoque le souvenir, l’expérience vécue

L’harmonie du soir Baudelaire Ce poème est un pantoum, de quatre quatrains qui parle de la peur de mourir. Le pantoum est un style de poésie d’origine malaise qui consiste en une suite de quatrains où s'appliquent deux systèmes de reprises : le deuxième et le quatrième vers de chaque strophe sont repris respectivement comme premier et troisième vers de la strophe suivante, le tout dernier vers du poème reprend le premier. Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore

voiles... -- On entend // dans les bois // lointains // des hallallis. Voici plus de mille ans // que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, // sur le long fleuve noir; Voici plus de mille ans // que sa douce folie Murmure sa roman // ce à la brise du soir. Le vent baise ses seins // et déploie en corolle Ses grands voiles // bercés // mollement // par les eaux; Les saules frissonnants // pleurent sur son épaule, Sur son grand front rêveur // s'inclinent les roseaux. Les nénuphars froissés // soupirent