Conclusion Le Mendiant

une municipalité et forme une garde national dirigé par Lafayette. 2)La Grande peur. De juillet à août 1789 les paysans sont alarmés par des rumeur qui viennent de la ville. Rumeur d’invasion étrangère et rumeur de brigand ,de vagabond ,de mendiant qui vont piller. Les paysans sont donc suivie par une peur collective. La Grande Peur. Les paysans vont dans les châteaux pour brûlé les titres des propriétés féodale. La Grande Peur est un mouvement de grande ampleur qui symbolise la rébellion

22a23) De même, l’utilisation du temps présent nous rapproche encore plus de la souffrance d’Antigone et l’usage d’anachronisme comme les termes « fusillée » (l.7) et « crocheteuse » (l.9) dans la phrase « ses cheveux de folle, ses haillons de mendiante, ses ongles de crocheteuse montrent jusqu’ou doit aller la charité d’une sœur » (l7a11) accentue le sentiment de témoin de sa souffrance. Nous observons que la première partie de cette même phrase est un alexandrin. En outre, la mort est très

grande Église d'Occident). Mais les clunisiens se voient reprocher leur enrichissement et leur éloignement de la règle. Ainsi, apparaissent des nouveaux moines vivant dans des conditions plus austères comme les Chartreux, les Cisterciens et les Mendiants. Si les femmes sont exclues du clergé séculier, elles peuvent en revanche participer au clergé régulier en entrant dans les ordres comme moniales sous la direction d’une abbesse. Maxime Vinot – Lycée français J. Kessel – Djibouti – http://www

manifestation d’un intérêt sincère pour les autres ? > S’agit-il d’une formule creuse qui cache le dépit de DJ ? > S’agit-il d’une manière habile de sortir de cette situation délicate sans perdre la face ? (voir mise en scène de Mesguich). Conclusion : Libertin, matérialiste, épicurien, le portrait de Dom Juan se précise de scène en scène… Il ressort encore une fois vainqueur de ce combat inégal. Pourtant cette victoire, il l’a acquise par la ruse : il n’a pas réussi à faire jurer le pauvre

: on retiendra, par exemple . les sentiments et émotions, le bonheur et le malheur . la nature, la beauté Vous pouvez aussi vous reporter à l’anecdote que l’essayiste Roger Caillois raconte : un passant avait écrit sur la pancarte d’un mendiant aveugle, à la place de « Aveugle de naissance » : « Le printemps va venir, je ne le verrai pas » ; pour R. Caillois, ce passant est un poète (suggestion de tableaux, images, effets de contraste, lyrisme du « je »… font de sa pancarte modifiée un

« catharsis », c'est-à-dire la purification des passions coupables. Le mariage et les Dieux retrouvent leur place. Phèdre est coupable et Thésée aussi mais elle est encore coupable de se racheter et Hyppolite est la victime. Comme dans Britannicus (les mendiants sont punis). La dernière tirade adoucit la fin. 2) Le respect des conventions La mort sur scène de Phèdre. Racine ne meurt pas de mort violente. Poison : elle peut encore parler. Le poison est un substitut de la passion. (Médée= jalousie, elle

d’assuré ; point de franche lippée4 : Tout à la pointe de l’épée. Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. » Le loup reprit : « Que me faudra-t-il faire ? – Presque rien, dit le chien, donner la chasse aux gens Portants5 bâtons, et mendiants ; Flatter ceux du logis, à son Maître complaire ; Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs6 de toutes les façons : Os de poulets, os de pigeons, Sans parler de mainte caresse. » Le loup déjà se forge une félicité Qui le fait pleurer

domicile familial) : son père veut qu'il aide à se battre contre Pichrocole (trop vieux), il gagne grâce à frère Jean > il demande alr une abbaye, celle de Thélème. Introduction de la LA 1 : Après la guerre, Pichrocole a été battu et il est devenu mendiant. Gargantua, lui, ne voulait pas faire la guerre, il prononce même une citation de Platon prônant le pacifisme ''les états seraient mieux..''. Contrairement aux pratiques habituelles de l'époque, il libère les soldats du camp adverse. Problématique :

respectueux des consignes du clergé. Ce qui montre que le rejet des vaudois par l'Église ne provenait pas de leur idéal de pauvreté mais bien de leur prétention à exercer le sacerdoce universel (droit de prêcher pour tous y compris les femmes) CONCLUSION Aux XII et XIIIièmes siècles l’Eglise se structure par les dogmes formulés lors des conciles, notamment l'adoption d'une liturgie unique. Confrontée à des obstacles à l’extérieur comme l’affrontement avec l'Empereur germanique, lors de la querelle

qu’ils puissent obéir à un enfant (mise en valeurs des hommes qui entourent le roi), « tant de grands hommes » : procédé du contraste - Accumulation : « portant barbe, forme et armés », « hommes pleins, opulence » s’opposant aux « autres, décharnés, mendiant » : procédé du contraste (inégalité de la société), dimension hyperbolique avec « hommes pleins et gorgés », mise en valeur de la pauvreté. Le choix du mot « moitié » renvoie au thème de la fraternité : c’est ce qui rend ce jugement intolérable.