Conclusion Le Rêve Le Romantisme

Le surréalisme {draw:frame} Année 2009-2010 Madame Everaert {draw:frame} {draw:frame} Le surréalisme {draw:frame} {draw:frame} Table des matières Introduction Conclusion Bibliographie {draw:frame} Introduction Le surréalisme est né aux alentours de 1919, suite aux protestations de jeunes gens qui avaient vingt ans lorsque la première guerre mondiale a éclaté. Parmi eux se trouvait Paul Valèry qui avait été horrifié par cette hécatombe et suite à

Marianne est une des multiples œuvres à succès du dramaturge. Largement influencé par le mouvement du romantisme qui domine la France dans son siècle, Musset décide de mélanger ce style littéraire, à la poésie qu’il pratique. Dès lors ses pièces de théâtre sont imprégnées d’une part de romantisme. Cette pièce est un drame romantique. Résumé La pièce se passe à Naples. un jeune homme nommé Coelio rêve de conquérir Marianne qui est l'épouse du juge Claudio. Coelio fait appelle à son ami Octave pour obtenir

Mondes et appartient au courant du romantisme. Elle sera jouée à la Comédie-Française le 14 juin 1851. Cette pièce est qualifiée de comédie par Musset mais en vérité elle s'apparente au genre du drame. Elle est composée de deux actes : Le premier acte comporte trois scènes. Le second acte comporte six scènes. L'histoire[modifier | modifier le code] La pièce se passe à Naples (un Naples imaginaire). Elle raconte l'histoire de Cœlio, un jeune homme amoureux qui rêve de conquérir Marianne, épouse du

formuler la sourde éclosion d'avenir qui montait en lui. Un grand silence tomba, pendant qu'il achevait d'ébaucher le veston de velours, frémissant. Sandoz l'avait écouté, sans lâcher la pose. Et, le dos tourné, comme s'il eût parlé au mur, dans un rêve, il dit alors à son tour : "Non, non, on ne sait pas, il faudrait savoir… Moi, chaque fois qu'un professeur a voulu m'imposer une vérité, j'ai eu une révolte de défiance, en songeant : "Il se trompe ou il me trompe." Leurs idées m'exaspèrent, il

LECTURE ANALYTIQUE N° 5 : CHAPITRE 1 DU DERNIER JOUR D'UN CONDAMNE INTRODUCTION : -L'auteur + mouvement littéraire (le romantisme ou mouvement romantique) -L’œuvre et son contexte, revoir corrigé du contrôle de lecture -Situation du passage : incipit du roman : -Problématique : Nous montrerons que cet incipit, s'il reprend les composantes de l'incipit traditionnel (informations sur le cadre spatio-temporel, sur le personnage principal et sa situation), est éminemment moderne et renouvelle

alchimiste (hermès). Le Styx, est le fleuve qui amène aux enfers. On relève le champ lexical du mal, « Satan », « démon », « diable », le mal est donc très présent. Baudelaire développe ici une esthétique qui est satanique, on remarque la rupture du romantisme, notamment avec Hugo, qui est lassé de mettre dieu au centre. Cela préfigure les poèmes blasphématoires qui figurent dans la section « révoltes ». -C'est Satan et non Dieu qui dirige l'homme. C. L'ennui, le "spleen" =>Et cet homme

 points communs entre Madame  Bovary et Flaubert et dans un seconde temps nous étudierons les limites de cette affirmation.     I. Similitudes    Géographie​  : Normandie. Flaubert est originaire de Rouen et fait de son héroïne une  Normande. Emma rêve de Paris mais ne s’y rendra jamais et gardera Rouen comme modèle  de grande ville. Tostes et Yonville ont été inventés par Flaubert mais sont largement inspirées  par les bourgs et villages normand que Flaubert a connu. Emma est avant tout une  provinciale

constater que Shakespeare se rapproche d'avantage du romantisme. Le romantisme se caractérise par une envie de développer toutes les possibilités de l'art afin de mettre en avant l'expression des états d'âme. Le romantisme met en avant l'exaltation du fantastique et également du mystère, il cherche le sublime, l'évasion, le morbide et le ravissement dans le rêve. Le théâtre de Shakespeare est un théâtre rempli de mystère et de surnaturel. Le romantisme qui est arrivé à partir du dix-huitième siècle s'est

ELEVATION Intro : Baudelaire, poète de la modernité, publie son grand recueil Les Fleurs du mal en 1857. Il expérimente en passant du romantisme, au mouvement parnassien, puis en insufflant le symbolisme. De même, il remet au goût du jour la forme oubliée du sonnet, et popularise le poème en prose (Spleen de Paris, 1869). Il mène une vie de tourments et de difficultés dont l’angoisse se retrouve dans son concept central du Spleen (langueur, mélancolie, humeur

p. 7-8 « J’ai tant rêvé de toi », Robert Desnos p.9-10 « Madrigal triste »,"Fleurs du mal", Charles Baudelaire p.11-12 « Secret du cœur », Albert Ferland p.13-14 « Je t'aime » , Paul Eluard p.15-16 « Amourette », Pierre de Ronsard p.17-18 Conclusion