Conclusion Lyrisme

placées dans un cadre onirique. Le temps est une dernière composante essentielle car il rappelle à l'homme qu'il va vers la mort sans pouvoir rien y changer. Les thèmes qu’il aborde sont : la nature, le fantastique, le « moi », le goût du passé. Le lyrisme joue un rôle important à l’intérieur de ce mouvement. L’expression des sentiments personnels est souvent illustrée dans le genre poétique. De plus, il exprime aussi la recherche de l’évasion, c'est-à-dire que selon l’attitude romantique, le voyage

l’intérieur. Il y a l’évocation du topo du père avec ses quatre enfants sur les genoux. Le tableau est intimiste, avec l’expression « amis causants » : l’atmosphère est donc conviviale et chaleureuse. Il y a donc de la vie et du bonheur. II. LE LYRISME PERSONNEL a) Le père et l’écrivain Il y a un arsenal des fournitures d’un auteur : « plume », « livre », « papiers », « œuvre interrompue », « en écrivant »,… Le poète est au travail dans la simplicité de son labeur : il a été interrompu par

fille - Comparaisons / Métaphores mélioratives entre la jeune fille et la rose. Cassandre a le teint aussi frai qu’une rose. V-6 La robe a une robe. V-3 « beautès » V.9 : Compliment « fleuronne » ; « verte » : Jeunesse Les sentiments : Le lyrisme « Las ! » = Hélas Tristesse & Désarroi : Ronsard en fait un peu trop, il joue la comédie pour séduire la jeune fille. Allitération en R qui met en valeur la rapidité avec laquelle la fleur se fane. Nous avons un poète qui complimente la jeune

Introduction Méditations poétiques, de Lamartine, est un recueil caractéristique du lyrisme romantique, les méditations poétiques regroupent des poèmes célébrant la nature dans ses affinités avec la sensibilité humaine. Le vallon marque une opposition entre la stabilité de la nature avec l’instabilité de l’homme. Nous allons étudier ce poème selon la problématique suivante : Problématique : Comment le poète voit-il les relations de la nature avec l’homme ? Commentaire du poème

du poète Registre lyrique Lexique sensations et sentiments : « prend » « vibrer » « passions » « souffre » « convulsions » « bercent »  spleen, tristesse et désespoir Lexique nature : « mer » « étoile » « brume » « flots » « vent » « tempête »  lyrisme issu du romantisme « flots amoncelés » « tempête » « convulsions » « gouffre »  états d’âme du poète = tourmente Correspondances Synesthésie musique avec toutes les sensations en mer  tous les sens Le poète s’assimile au bateau :  Personnifications :

6 5 Analyse d’une œuvre littéraire 7 6 Le romantisme en peinture 10 7 Analyse d’une peinture 10 8 Le romantisme en musique 14 9 Analyse d’une œuvre musicale 15 10 Conclusion 16 11 Lexique 17 1. Introduction Le romantisme est un mouvement artistique, musical et littéraire né en Angleterre et en Allemagne à la fin du 18ème

en fin de poème aux v 13 et 14 avec la présence du « me » ou du « j » Le lecteur assiste donc à une sorte de conversation amoureuse, un discours galant du poète à sa belle, mais il s’agit d’un amour de convention. 2 – Un lyrisme impersonnel : On constate d’ailleurs que le lyrisme qui insuffle le poème est impersonnel, surtout dans les trois premières strophes : - ce que confirme le recours au présent de l’indicatif à valeur de vérité générale comme dans le v 3 « L’on s’abîme en amour aussi bien qu’en

Rimbaud Illuminations « Aube» (1854-1891) (1886) I. Introduction 1. Situation A. Le Contexte Le contexte historique XIXème siècle : exaltation du lyrisme / installation romantisme / triomphe de la sensibilité / notion de gloire et mérite / fierté nationaliste / volonté d’avoir des choses extraordinaires Le contexte culturel et sociale Epoque de bouillonnements et experimentations / heureuse

possède donc, en quelque sorte, son propre langage poétique. Le poème est ainsi particulier dans sa forme, mais aussi dans le fond que lui ménage l’auteur. Ainsi, l’observateur reconnaît facilement les paysages en demi-teintes de Verlaine, ou le lyrisme ambigu de Nerval. La poésie doit sa singularité à la musicalité de son langage, qui possède aussi ses propres codes. Le poète, lui, doit ses caractéristiques propres à un style unique, qui lui est personnel. III. L’engagement

visualisation du spectacle indiquée par l’impératif « voyez » v 7. * Le pathétique se combine alors avec le lyrisme de la première strophe : interjection « Las » reprise, modalité exclamative aux vers 9 et 12, invocation poétique de la nature personnifiée en mauvaise mère : « O marâtre nature » au vers 10, ralentissement du rythme avec de nombreuses pauses ( 1+7+2+6+1+7) 3)Les conclusions : la fuite du temps et l’image de la nature * -Au 16e siècle, la nature est toujours présentée de manière