Conclusion Medee

de lui offrir la Toison d’Or s’il réussissait à mettre deux taureaux qui vomissaient des flammes au labour. Dans cette épreuve, il fut aidé par la magicienne Médée, fille du roi de Colchide, qui par amour lui offrit des herbes enchantées pour le protéger. Jason récupéra la Toison d’Or après avoir tué le dragon et repartit à Iolcos avec Médée. 9 XIXéme siècle Victor HUGO Les contemplations 1856 « Demain, dès l’aube... » Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai

historique III/Présentation de l’œuvre IV/Analyse de l’œuvre A/La tragédie classique B/Scène 6 : La vengeance et l'honneur C/Scène 7 : Le dilemme de l'amour et de l'honneur D/ Les divergences V/Conclusion VI/Bibliographie Introduction « O rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie ». Nombreux sont ceux ayant entendus au moins une fois cette phrase venant directement du Cid. Cette pièce a été écrite par Corneille en 1637. Parlant d'un

l’inutilité d’en étudier la biographie. Par exemple lorsque Corneille s’inspire de la mythologie pour écrire la tragédie Médée comme l’on fait Euripide et Sénèque avant lui, il parait invraisemblable que l’expérience personnelle ou l’époque aient une quelconque influence sur le fond de la pièce, bien qu’elles puissent en avoir sur le style, la pièce traite toujours de la vengeance de Médée sur Créuse, nouvelle épouse de Jason, et de l’infanticide qu’elle commet. Abordons ensuite le cas de la science

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1 1 LPB/ 1 Guillaume APOLLINAIRE, « Les colchiques », Alcools (1913). Parcours : Modernité poétique ? Introduction En vérité, Apollinaire n’a réellement finalisé et coordonné que deux recueils strictement poétiques : Alcools (1898-1913) publié au printemps 1913 et Calligrammes, Poèmes de la paix et de la guerre, 1913-1916, publié fin 1918. Souvent réduit à un manifeste de la Modernité, Alcools se présente plutôt comme une suite de tableaux variés, plus ou

représentaient avaient une fonction catharitique, c’est à dire que l’on représenter des mauvais sentiments que peuvent ressentir les lecteur ou spéctateur, consiemment ou inconsciemment, et , en les representant il sera purger de cela. Par exemple dans Médée de corneille, le personnage principale tue son mari (Jason) et ses enfants, et le but de le représenter, et que ces horreurs restent dans un cadre imaginaires, plutôt qu’ils ne se produisent dans la vrai vie. B. Soigner le mal par le rire : Molière :

mythologie ce remarque dans la lumière de l’œuvre : la lumière apparait par la gauche elle suggère l’évocation d’un soleil couchant (inspiration divine). Corneille trouve également l’intrigue de son œuvre Horace dans l’histoire romaine, celle de Medée dans la mytologie antique comme Racine celle d’Andromaque ou de Phèdre. La querelle des Anciens et des Modernes mit en valeur les divisions des théoriciens classiques à propos de l'Antiquité. S'ils s'inspirent des préceptes d'Aristote, ils n'ont pas

enrichir un modèle Dans l'Antiquité, Virgile écrit l'Énéide qui s'inscrit dans le prolongement de l'Iliade et de l'Odyssée. Au XVIIe siècle, Racine avec Phèdre prolonge la Phèdre de Sénèque qui lui-même s'était nourri d'Euripide ; même chose pour la Médée de Corneille par rapport à celles de Sénèque et celle d'Euripide… L'innutrition selon les poètes de la Pléiade : désir de prendre modèle sur l'Antiquité mais pour s'en « nourrir » et s'en inspirer afin de créer une poésie française. Molière reprend

roi de Sophocle, il y a un côté exceptionnel car Œdipe tue son père et épouse sa mère. Mais il y a également des suicides comme dans Phèdre où l'héroïne de Racine s'empoisonne: « J'ai pris, j'ai fait couler dans mes brûlantes veines Un poison que Médée apporta dans Athènes. » A cela s'ajoute la pièce de Shakespeare, Roméo et Juliette avec le double suicide des deux amants à la fin: « Voici Roméo mort; voici Juliette, la morte qu'on pleurait ». Partie II De plus, la tragédie c'est l'humain

Nous verrons lors de cette réflexion quand est-ce qu’une pièce de théâtre peut-elle être qualifiée de classique à travers les deux registres du classicisme, la tragédie et la comédie. Nous étudierons leurs formatins, leurs règles et leurs buts. Conclusion : Une pièce de théâtre peut alors être qualifiée de classique si elle met en valeur le naturel, qui doit être maitrisé et régulier, le vraisemblable, le culte de la raison, et si elle respecte les règles énoncées auparavant. Elle doit également

public alors que la mort sur scène est interdite par la bienséance. Certes on ne la voit pas avaler le poison, et cette forme de mort est moins violente que l'épée. Le choix du poison comme agent de sa mort joue un double rôle : c’est une allusion à Médée, elle aussi criminelle qui place Phèdre dans la lignée mythologique des monstres criminels. D’autre part, il fallait un tel poison pour que sa mort soit à la hauteur de sa faute et permette l’expiation par une longue agonie. Cela permet un châtiment