Conclusion Moyennisation

classe sociale.La classe en soi constitue l’ensemble d’individus qui partagent des conditions de vie similaires comme les bourgeois et les prolétaires de Karl Marx. Mais quelques facteurs semblent faire reculer la classe pour soi. En effet, la moyennisation est l’un des facteurs, il s’agit d’un processus de transformation de la structure sociale aboutissant à la constitution d’une vaste classe moyenne, en réduisant les positions extrêmes dans la stratification sociale et rapprochant ainsi les niveaux

machine, terrains, constructions et logements. _actifs incorporels non financiers mais susceptible de faire l'objet de transaction : les brevets, les fonds de commerce, _actifs ou passifs financiers : disponibilités financières, créances. Conclusion : le patrimoine est la valeur nette de l'ensemble des éléments aliénables et transmissibles dont une personne est propriétaire à un moment donné. Le taux d'épargne d'un ménage progresse avec son revenu : ainsi pour certains ménages il est facile

Inegalite sociale => Inégalités sociales inegalite d'etudes (doc 4 pg 295+ doc 1 pg 302) -inégalité regionale=> inégalité de reussite scolaire -inégalité reussite scolaire => inégalité KH=> inégalité emploi=> inegalite conso=> inegalite sante CONCLUSION :ouverture : Les inegalite au sein d'une societe divise la population. En effet, pour reduire l'ecart entre les riches et les pauvres, les pouvoirs publics peuvent agir II- Présentaion de la théorie des classes et la stratification. 2.1/

se renforcent depuis les années 1980 (document 1 : maintien des écarts entre femmes cadres et femmes ouvrières, entre hommes cadres et hommes ouvriers). II. L’analyse en classes sociales correspond moins bien à la société contemporaine. A. La moyennisation a remis en cause l’analyse traditionnelle (de Marx). – Les modes de vie se sont rapprochés : les taux d’équipement des ménages en réfrigérateur, lave-linge, télévision, radio et téléphone dépassent tous 95 % (80 % pour l’automobile). – La classe

cadres et des employés correspond à un développement des classes moyennes. La réduction des inégalités entre les classes, marquée par le resserrement de l’éventail des salaires ou l’accès à la consommation de masse, conduisent à un processus de moyennisation de la société synonyme de disparition des différences de classes. La thèse de la disparition des classes sociales part d’un double constat : le déclin du sentiment d’appartenance de classe et celui de diminution de l’importance du travail dans

années) La pyramide représente la société française du 19ième (début 20ième) avec des inégalités très fortes et une classe populaire pauvre et importante. La toupie représente la société française de la deuxième moitié du 20ième siècle avec la moyennisation (H. Mendras) et la baisse des inégalités. Pendant les Trente Glorieuses, les classes populaires se sont enrichies. Le sablier est proposé pour montrer que les inégalités ont tendance à augmenter à la fin du 20ième siècle avec le développement d’une

|féminisation (?) | | | La place des classes moyennes n’est pas figée, elle a connu une vague d’expansion qui a donné lieu au concept de moyennisation, elle est aujourd’hui en but à des évolutions qui en accentuent les imprécisions et semblent même la remettre en cause. (annonce du plan problématisé) Analyse des documents | |Essentiel

française structurée en classes sociales s’est défaite, le discours politique mais aussi les travaux sociologiques mettant en avant les bouleversements opérés au sein du monde ouvrier, l’individualisation des comportements et des trajectoires, la « moyennisation » de la société, ou encore l’importance revêtue par les clivages identitaires. Serge Bosc conteste ou relativise ces évolutions et il considère comme encore pertinente la différenciation en classes. Mais il insiste par ailleurs sur l’ampleur des

sociales en débat : I. Vers la disparition des classes sociales : p.4 à 5 I . 1 La fin du marxisme I . 2 Vers une moyennisation de la société Troisième partie : Le retour des classes sociales : I. Les théories des classes sociales, des sociologues contemporains : I . 1 La vision des néo-marxistes I . 2 La vision des néo-webériens I . 3 La vision de Pierre Bourdieu p.5 à 6 Conclusion : p. 7 Bibliographie : p. 8 Annexes : 1 – Portrait de Karl Marx 2 – Portrait de Max Weber 2 - Tableau

eux critique sa théorie : - les conflits sociaux ne peuvent pas être limités à la seule question de l’appropriation des moyens de production. - La vision marxiste de la société de deux classes antagonistes est remise en question par la moyennisation de la société. - Les conflits ne sont pas non plus toujours ni permanent, ni révolutionnaire. Bien au contraire, l’institutionnalisation des conflits leur a enlevé leur violence. En tête de ce mouvement de contestation marxiste se trouve