Conclusion Sur L Humanisme Et La Renaissance

précisément, elle porte sur la question de l’altérité : les textes étudiés nous permettront de comprendre comment, en dessinant sa modernité, l’homme européen considère autrui, celui qu’il rencontre notamment en découvrant le Nouveau Monde, à la Renaissance, et comment ce regard sur l’autre évolue. Et nous verrons enfin que, par cette évolution, l’homme parvient à se redéfinir. Ainsi, en confrontant deux notions, altérité et modernité, nous pourrons voir se dessiner un homme nouveau. Définissons d’abord

philosophique : la rationalité du discours philosophique repose sur l’argumentation. Philosopher, c’est bien définir ses concepts, c’est chercher à dire le vrai, c’est-a-dire à juger correctement, et c’est construire des raisonnements qui visent des conclusions fondées. Le discours philosophique ne vise pas le même but que le discours scientifique. Plutôt que de chercher uniquement des causes, il cherche à établir le sens ou la valeur des expériences les plus fondamentales de notre condition humaine.

cultures, la même origine : les structures d’un inconscient universel. Mais on ne peut nier que l’œuvre de Lévi-Strauss a exercé une influence considérable sur la conception contemporaine de l’être humain et a ouvert des perspectives à un nouvel humanisme. Race et histoire est, après sa thèse sur Les Structures élémentaires de la parenté (1949), le second grand texte de son auteur. Précédant de peu Tristes tropiques (1955), qui le fit connaître du public, c’est un essai important quoique bref, dans

époque déterminée : la Renaissance. La souveraineté cesse en effet progressivement de se dégager d'un rapport de force militaire (celui des condottieri) ou symbolique (celui des institutions religieuses), pour émaner d'une représentation rationnelle du pouvoir étatique. L'essor de la notion de raison d'Etat à la Renaissance correspond à cette mutation. En tant que production d'une rupture sociale particulière, la souveraineté imprègne de facto, la pensée de la Renaissance. Machiavel y fait ainsi

d'être soi-même pour s'épanouir. Malgré la passion des débuts, il n'a pas été question, chez nous, de s'isoler des autres civilisations, de les ignorer, de les haïr ou mépriser, mais plutôt, en symbiose avec elles, d'aider à la construction d'un humanisme qui fût authentiquement parce que totalement humain. Totalement humain parce que formé de tous les apports de tous les peuples de la planète Terre. D'aucuns ont été jusqu'à nier l'unité de la culture nègre, en proclamant qu'il n'y avait que des civilisations

francophonie………………………………………………67 CHAPITRE II : La civilisation de l’universel ……………………………..70 3-2-1- La participation de l’Afrique-mère…………………………...71 3-2-2- Enracinement et ouverture…………………………………....75 3-2-3- La mondialisation…………………………………………….79 CONCLUSION GENERALE……………………………………...83 BIBLIOGRAPHIE GENERALE……………………………………………87 WEBOGRAPHIE………………………………………………………….....93 INDEX DES AUTEURS……….………………………………………….....95 ANNEXES :..............................................................................

auteur n’a pas forcément conscience des richesses que son livre recèle, mais ce n’est pas une raison pour que le lecteur ne les cherche pas. Plus aucune trace de contradiction. Les ambiguïtés sont dissipées. Si pénétrantes qu’elles soient, les conclusions d’Edwin Duval ne sont cependant pas irréfragables. D’une part, elles supposent une distance assez inouïe (sauf peut-être dans telle page de Saint-Simon) entre une proposition, « autant n’en ferez », et la phrase à laquelle cette proposition

Exposé Histoire des sciences et des savoirs en Europe de la Renaissance aux Lumières. Introduction : C’est la préface du livre La fabrique du corps humain de Vésale qui sera l’objet de notre étude. Cette préface à pour but de justifier sa démarche. Démarche particulière, elle concerne la médecine. Plus précisément le domaine de l’anatomie. Celle-ci est très riche d’éléments historiques. En effet, la lecture de cette préface ne se positionne pas uniquement sur un plan technique, mais elle pose

l'amateur. Cela explique la complexité des comportements à adopter face aux monuments historiques, qui selon Francois Choay, doivent être accompagnés de valeurs et d'un cadre historique de référence, sans quoi les contresens se multiplient. Les humanismes et le monument antique F. Choay situe les premières considérations importantes au sujet du patrimoine bâti au Xve siècle, lors du retour des papes exilés en Avignon. Cependant, les grecs et les romains attachaient une grande importance à la

1 Souveraineté domestique ou interne 2.2.2 Souveraineté westphalienne ou indépendance, voire interdépendance 2.2.3 Souveraineté internationale légale 3 Histoire de la souveraineté 3.1 Construction des États au Moyen Âge, qui se poursuit à la Renaissance 3.2 Les Lumières 3.3 Montée des nationalismes au XIXe siècle 3.4 L'après-guerre et la difficulté du développement des relations internationales 3.4.1 L'émergence du concept de limitation de la souveraineté 3.4.2 L'impossibilité pratique de