Conclusion Sur La Coordination Par Le Marché

une organisation, configurations induites par la position dominante d’une des cinq composantes de la dite organisation ?   Hypothèses La notion classique d’organigramme et de division du travail sont éliminées au profit de concepts de coordination, de flux ou courants d’échanges, d’identification des différentes pièces qui constituent les configurations possibles de toutes organisations vivantes.   Méthode de démonstration La méthode de démonstration utilisée dans ce livre est très

comprendre une organisation il faut savoir où sont ses frontières et comprendre l’autorité intérieur. Propriétés processuelles des organisations : gens ensemble pour faire quoi ? - Capacité à savoir ce qu’on veut faire : définir des buts - Coordination Mot organisation ambivalent. Une organisation est à la fois une forme (propriétés structurelles) et une action (propriété processuelles). Vers une théorie générale des organisations ? Plan A. Impact économique sur les organisations

sein et la motivation de leur personnel (site Internet ). 5. Pascale-Marie DESCHAMPS, « La panoplie du bon manager », Enjeux. Les Echos, n° 191, mai 2003, p. 86-88. 6. « Déchiffrer “l’Europe compétitive”. Étude du benchmarking comme technique de coordination intergouvernementale dans le cadre de la stratégie de Lisbonne », thèse réalisée sous la direction de Christian Lequesne, Institut d’Études Politiques de Paris, 2006. Consultable en ligne sur le site du Réseau Européen d’Analyse des Sociétés Politiques

cours des années 60 phénomène de mondialisation. L'illustration de la mondialisation : émergence des ONG et émergence des multinationales La globalisation : étape suivante, les marchés sont mondiaux avec une offre et une demande mondiale (prix unique) =| marché du pétrole, des matières premières, des métaux précieux, marché financier. comment s'inscrit l'entreprise dans ce contexte mondial et par certain point global. le dirigeant adapte sa stratégie selon qu'il est confronté à une dimension internationale

comme celle de la vie organique, mais le travail dur et forcé sur soi-même". Friedrich Hegel. SOMMAIRE PREMIERE PARTIE : LA GESTION SECURITAIRE DES RESSOURCES INTERNES : LE RECOURS A LA COORDINATION INTERFIRMES 20 CHAPITRE I : LES DETERMINANTS REELS DES CHOIX STRATEGIQUES DE LA FIRME : ENTRE COORDINATION ET CONCURRENCE 24 CHAPITRE II : LA SECURISATION DES RESSOURCES INTERNES DE LA FIRME : MODELISATION ET ETUDE DE CAS 86 DEUXIEME PARTIE : LA GESTION, EN INCERTITUDE, DES RESSOURCES EXTERNES :

autour de ces conventions. L’entreprise apparaît comme un ensemble de conventions qui intègrent des comportements coopératifs. 1 2 II Problématique II Problématique Réflexion sur la production d’accord, sur les moyens de coordination entre individus Coordination requiert Un système d’équivalence partagé, grandeurs communes Repères communs 1) Définition des différents mondes 2) La communication entre les différents mondes (résolution des conflits) 3 4 1 16/11/2009 II1)

politiques communes . le marché unique et le renforcement de la monnaie à renforcer les interdépendance de l'union européenne et de la zone euro . Cependant les crises financière actuelle on mis en lumière les forces et les faiblesses ce cette gouvernance. Ainsi on peut ce demander en quoi le caractère inachevée de la construction européenne pèse t'elle sur la sortie de la crise. Nous verrons donc dans une première partie , comment la crise à révéler les difficulté de la coordination puis dans une seconde

Béhavioristes (Simon, Cyert, March) Ceux-ci considèrent l’entreprise, en tant qu’organisation, comme une coalition d’individus ou de groupes (les managers, les actionnaires, les salariés non dirigeant, les clients, les fournisseurs, les bailleurs de fonds…) dont chacun a ses propres aspirations. Par conséquent, l’organisation aura des objectifs multiples : niveau peu fluctuant de production ; stratégie de volume de ventes ou de parts de marché ; objectif de profit pour

l’entreprise, car elle dépend de l’approche que l’on choisit, que se soit économique, sociologique ou systémique. D’un point de vue économique, l’entreprise est une unité de production des biens et services destiné aux marchés de bien de consommation –grand public-, et aux marchés de bien de production –les autres entreprises-. Les sociologues comparent l’entreprise à une société divisée en trois classes sociales visant chacune à défendre ses intérêts: les apporteurs de capitaux, les dirigeants

et ses limites Dans la théorie néoclassique, les différentes caractéristiques sont les suivantes : • Une approche en terme de boîte noire : les auteurs de la théorie néoclassique ne se focalisent pas sur la firme mais envisage plutôt le marché et l’environnement. La firme n’est donc pas l’objet d’étude en tant que telle car celle-ci est beaucoup trop complexe à appréhender et donc il en résulte deux solutions : ➢ On essaye de réduire la complexité pour simplifier la compréhension