Conclusion Sur Le Discours Sur Le Bonheur

l’idée à l’épreuve .Ainsi le conte est un discours sous forme narrative dans lequel, l’argument se fait évènement.» Le conte philosophique apparaît en tant que genre littéraire narratif au XVIII ème siècle .Le précurseur majeur de ce type de récit imaginaire, à visée morale, demeure Voltaire, au travers notamment de son œuvre « Candide », empreinte de la philosophie des LUMIERES. Dans cette œuvre majeure, une affirmation définit le conte comme un discours sous forme narrative, dans lequel l’argument

disciple de Socrate ou quelques temps avant la mort de celui-ci, condamné à boire la cigüe car accusé de corrompre la jeunesse athénienne. 2) A propos de ? Le discours traite avant tout de la rhétorique, de son inutilité et du mauvais usage qu’en font les politiciens, mais aussi de notions plus vastes comme la justice/injustice, le bonheur, le beau et le laid. 3) Pourquoi ? Il y a d’abord une valeur sentimentale dans cet ouvrage : défendre son maître Socrate, dont il juge la mise à mort intolérable

car VH écrit au V23 « Et que je souffre comme père ». Léopoldine est ici citée comme une enfant « humble », qui aimait son père « Rien qu’en m’aimant savait m’aider ». Encore plus qu’une bonne fille elle était pour VH plus que ça : «  C’était le bonheur de ma vie/ De voir ses yeux me regarder ». Léopoldine est pour son père sa lumière «  Pourquoi m’as-tu pris la lumière/ Que j’avais parmi les vivants ». Ici elle est représentée comme une fille modèle, qui aime, aide et rends son père heureux rien

(Lecture) Nous verrons que le discours du vieillard doublé de l’opposition entre vie naturelle et vie européenne, use d’une rhétorique en apparence naïve mais très efficace. I – Opposition entre deux modes de vie : Opposition durant tout le texte par la comparaison de l’attitude des tahitiens et de Bougainville (violences exercées) Pour le vieillard, la pure nature est bonne, ceux qui obéissent à leur instincts vivent pacifiquement dans l’harmonie sociale (début du discours + divers exemples qui illustrent

joie et au bonheur et c’est pour cette raison qu’elles sont en place pour rester. En effet, le discours mythique est porteur de sens puisqu’il nous permet de se souvenir des belles choses de la vie et comment vivre notre vie. Par contre, je crois que ce n’est pas la meilleure façon de fonder la vertu. Réfutation finale : Il y a certainement du vrai dans la tradition et dans le discours mythique mais je crois qu’il est moins porteur de sens que la pensée rationnelle et son discours. Effectivement

qui ramène le pécheur à son intérêt premier : l’amour de Dieu comme seule disposition à recevoir le salut. Le sujet nous invite donc à analyser la spécificité de la conception pascalienne du divertissement, en étudiant son rôle apparent — créer du bonheur — et son rôle réel — cacher une angoisse qu'il ne cesse de révéler. PROBLÉMATIQUE II convient de confronter l'idée que l'on se fait habituellement du divertissement avec le rôle que lui attribue Pascal. Comment et pourquoi ce qui nous apparaît comme

hiérarchie des désirs n'as pas d'autre but que d'assurer la santé du corps et la tranquillité de l'âme. Sans ces conditions primaires, aucune sagesse n'est possible puisqu'il n'est question de sagesse que dans l'absence de tout manque. GANDHI le bonheur passe par la capacité à profiter de l'instant présent, être ici et maintenant.Le désir est à la base de la souffrance qui est la première source de violence. Le désir se situe dans le futur quand nous courons après la réussite ou un bien matériel

(Jugez vous que Stendhal a réussi la conclusion de son roman ?) - Plan I- Les personnages égaux à eux-mêmes - Julien : - Au départ : soucis d’apparence, de Paraître. Peur d’une atteinte physique, peur de faiblir lors de l’exécution « ce cachot (…) me donne des moments de fièvre ». - Tentative de réconfort « allons, tout va bien », tentative de persuasion « je ne manque pas de fermeté ». - Vrai réconfort = soleil « Par bonheur (…) un beau soleil réjouissait la nature

société et de la propriété et que l’homme est fait pour vivre seul. Ce discours marque les esprits, il crée une réputation de scandale. Cet extrait se trouve dans la seconde partie du discours. Il s’agit là d’un discours prononcé dont le style est oratoire. La volonté est d’éveiller le débat en parlant de cette manière. C’est un discours argumentatif qui veut faire regretter le paradis perdu (l’âge d’or). Le bonheur de la société primitive Cette société idéalisée que présente la première

l'existence de celui-ci. Grandiloquence dans le discours, il s'écoute parler et se prend pour qqn d'important : oppositions lexicales entre l'abondance de négations (« point, personne, jamais » + valeur négative de "petit") et les termes mélioratifs (« mieux, tous, vois, comprends ») ; nombreuses énumérations ; hyperboles ; « grands mots » : il joue au savant. Tellement sûr de lui qu'il se lance dans une longue tirade argumentative. b) alors que son discours est assez creux : incapable de construire