Conclusion Sur Le Genre Romanesque

d'un document sur un objet d'étude, ou d'un thème donné, différents travaux peuvent vous être demandés : - Rédiger une lettre - Rédiger un dialogue (romanesque, de théâtre…) - Inventer un apologue et sa morale - Rédiger un essai, une plaidoirie, une critique (tout texte de type argumentatif) - Réécrire un texte donné en imitant un autre genre, une autre forme de discours (transposer un extrait de roman en dialogue théâtral par exemple) - Réécrire un texte en changeant le registre, en transposant

faire le « secrétaire » de cette histoire. Le réalisme ainsi défini se veut donc une imitation au plus près du réel. Cependant, la tâche du romancier, quand il crée des personnages, ne consiste-t-elle qu'à imiter le réel ? La liberté propre au roman, genre protéiforme et en perpétuelle évolution s'il en est, peut-elle supporter de se cantonner à cette imitation? Le geste créateur du romancier se réduit-il à une simple reproduction, quasiment photographique, du réel ? Nous observerons tout d'abord comment

(1850-1893), l’auteur nous parle du roman en général, puis va s’interroger sur la définition de la critique littéraire. Pour lui, la critique doit être détachée de toutes les idées reçues. Le réalisme s’attache à une réalité contrairement au genre romanesque. Il nous donne une image exacte de la vie, en évitant des évênements qui paraîtraient exceptionnels. Son but n’est pas de nous raconter une histoire, en effet il cherche à nous faire penser, nous faire réfléchir sur le sens caché des évênements

pas sans remettre en question la notion genre La notion de genre littéraire ne fonctionnerait-elle pas d’autant mieux que l’œuvre est de mauvaise qualité Réflexion sur les genres vient de l’antiquité : Platon, Aristote La catégorisation des productions littéraires vient de la philosophie grecque ⇨ Genette, Figure II « Frontières du récit » ⇨ Platon, La République, livre III ⇨ Aristote, La Poétique /=> catégories différentes, conclusions différentes Mimésis => imitation ; Diégésis

Le Père Goriot, 1835, Balzac Roman : genre majeur au XIXème siècle -> popularisation du roman : new mode de diffusion (roman feuilleton : par épisodes) Réalisme : Question de pur esthétisme : but de l’art = représenter la réalité Mimesis d’Aristote (Vème siècle avant J-C) : « Ce qui est beau en art c’est ce qui est ressemblant au monde » Vraisemblance : opposé à l’invention et à l’imagination : récit (réel) / roman (fiction) Ambition réaliste de Balzac : « faire concurrence à l’état

par la répétition même du mot « silence » et par les termes qui appartiennent au champ lexical de celui-ci, comme « calme », « apaisement » ou « pause ». La souffrance de l'individu ne semble pouvoir se communiquer et ne rencontre aucune réponse. Conclusion Cette page constitue une des ultimes péripéties du roman avant le dénouement. D'une grande intensité dramatique, elle évoque avec subtilité et retenue la souffrance de Rieux, qui perd son meilleur ami à l'issue d'une lutte vaine. Cette mort est

FICHE D’ORAL N°1 : DIDEROT Jacques le fataliste, rédaction à partir de 1773 (publication posthume) → Vous allez organiser la lecture analytique de l’ouverture romanesque de JLF. Problématique possible : Comment l’ouverture romanesque remplit-elle ses fonctions ? Voici quelques questions à vous poser pour guider votre étude : OBSERVATIONS (relevé de citations) ENONCIATION Qui parle ? à qui ? quand ? où ? INTERPRETATION (effets de sens) THEME(S) MAJEUR (S) Réseaux lexicaux Emploi dénoté

laquelle il n’y a aucune prise. 2- Une narration énigmatique  1. La remise en cause des codes romanesques traditionnels : L’incipit fixe toujours une sorte de « protocole de lecture » pour la suite d’un roman. Dans le roman « réaliste », classique, un décor est planté, les personnages y sont introduits dans une certaine atmosphère. Or ici le lecteur est coupé des codes romanesques traditionnels : - On entre directement dans le roman, sans « introduction » : il s’agit d’un début « in

d'un texte étudié. Une consigne précise oriente la rédaction car ce travail d’écriture peut prendre des formes variées : il s’appuie sur les objets d’étude du programme de première. Il valide ainsi les capacités du candidat à penser les règles d’un genre littéraire ou d'une forme imposée —roman, poésie, théâtre, texte argumentatif… ; à concevoir un récit autobiographique, un dialogue théâtral ou non, une argumentation par un apologue, un *pastiche ou encore une *parodie...  ; à représenter une situation

Texte 3 : Émile Zola (1840-1902), L’Assommoir (1877) Question : Comment l’incipit de L’Assommoir introduit-il le lecteur dans l’univers romanesque de Zola ? Introduction : - Zola : l’auteur engagé, le chef de file du naturalisme, le projet des Rougon-Maquart - Présentation du passage : Dans L’Assommoir, septième roman de la saga des Rougon Macquart, paru en 1877, Zola a « voulu peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière dans le milieu empesté de nos faubourgs ». Le premier chapitre