Conclusion Sur Le Rire

le rire a cette dimension propitiatoire d’attirer la bienveillance des dieux lors des fêtes de la déraison, portées par un rire souvent farcesque ou subversif, un rire qui permet d’oublier la gravité de l’existence et d’assurer l’équilibre de la cité. Au Moyen-Âge le rire perd de sa vigueur tant il est décrié par l’Église qui y voit un signe diabolique en avançant l’argument que Jésus n’aurait jamais ri. Au XVI ème siècle les Humanistes comme Montaigne et Rabelais réhabilitent le rire en l’associant

séduction • Chérubin ou le désir incarné 2.2° LE LANGAGE DES OBJETS : UNE SYMPHONIE LANGAGIERE • le décor • les costumes • le ruban • l’épingle 2.3° LES SENTIMENTS • l’amour • désir • jalousie Conclusion Beaumarchais revient sur certaines revendications de sa comédie, preuve qu’il accorde une importance primordiale. Ainsi, les femmes ont-elles droit au chapitre. Tandis que Marceline célèbre une dernière fois l’amour maternel unique certitude

Molière Le mariage forcé Cette comédie vous semble-t-elle n'avoir été écrite que pour susciter le rire ? Molière est un dramaturge et comédien français du XVe siècle. Il fut à la cour du roi Soleil, qui lui permit de jouer beaucoup de ses œuvres, même polémiques, devant une foule nombreuse. Le mariage forcé, comédie-ballet jouée pour la première fois en 1468, met en scène Sganarelle, un riche et avare vieillard, qui souhaite épouser Dorimène mais qui doute de son mariage. Il demande donc

petites balles qu’avec des boules de cinq kilogrammes. Ses prouesses physiques sur scène suscitent l’étonnement puis le rire, en regard de sa silhouette rebondie, avec son pantalon retenu sous le ventre par des bretelles. Raymond Devos triomphera par la suite sur le petit écran, régulièrement invité par Jacques Chancel dans son Grand Échiquier. II/ comment nous fait-il rire ? Raymond Devos utilise les mots comme une arme à munition illimités, il ce sert des mots dans tous les sens et parfois

Dans les Fourberies de Scapin de Molière (1671), le rire est le sentiment prédominant dans cette œuvre et ce notamment à cause des multiples didascalies (quiproquo, coups de bâton, grands gestes…). Près de quatre siècles plus tard, cette œuvre nous fait toujours autant rire et nous éprouvons toujours les mêmes émotions, malgré le fait que plusieurs années aientdéfilés, cette œuvre reste et les sentiments qui l’accompagnent aussi. Cependant le rire n’est bien sur pas la seule émotion qui persiste et

commence par ce nez qui laisse supposer que Pons va faire de grandes choses mais qu'en fin de compte, il décevra. Pons porte l'échec sur son visage. Son visage pourtant « grotesque » ne fait pas rire. D'une certaine manière, il échoue encore en ne faisant pas rire, car d'après cette description, faire rire est la seule chose à la portée de Pons mais en fait il ne suscite que l'effroi. Balzac compare le visage de Pons à un potiron dans la première partie comme si le visage de Pons était une lanterne

chez lui une prise de conscience lorsqu’il se sait détesté de tous, c'est-à-dire lorsqu’il connaît la véritable souffrance. Néanmoins, une tout autre vérité demeure chez lui : être isolé n’a aucune importance tant que celui-ci reste riche. Donc, la conclusion que l’on peut tirer de cette comédie, en se servant du modèle d’Harpagon, est que certaine personnes ne changent jamais. Et, c’est à travers la souffrance morale du personnage que l’on découvre ce trait de leur personnalité. Par ailleurs, dans une

Le Malade imaginaire – Molière Scène I,1 depuis « Plus, du vingt-sixième... » à la fin de la scènePrésentation :Eléments biographiques (cf. approche générale de l'œuvre) : dernière pièce de Molière, même s'il n'est pas mort en scène, elle contribue à la légende d'un homme qui a consacré sa vie au théâtre et qui a fait évoluer le genre et sa renommée.Le Malade imaginaire est une comédie-ballet, genre qui plaît à Louis XIV, donc à la

Dissertation : Dans Gargantua, le rire ne sert-il qu’à créer une distance critique avec le savoir ? François Rabelais, humaniste du XVIième siècle, écrit Gargantua en 1534. Dans l’avis aux lecteurs inaugurant son roman, il nous fait part de sa très célèbre citation, « le rire est le propre de l’homme ». Ainsi, le thème du rire étant très présent dans le reste du roman, nous allons nous demander si celui-ci ne servirait pas qu’à créer une distance critique avec le « faux » savoir (un

pourra la “ courtiser”. Beau Marchais, dans cette scène d'exposition, met au centre de l'intrigue la chambre. Dans la tragédie en revanche, l'intrigue se déroule dans des lieu publiques. Séance 2 : Quel est le rôle de la comédie? Quelle conclusion le lecteur tire t-il du paragraphe 1? Quel rôle Beau Marchais attribut il a l'auteur de comédie? Quel problème moral se trouve abordé dans le deuxième paragraphe? Le lecteur peut conclure que le paragraphe 1, illustre bien la différence entre