Conclusion Sur Les Fondements De La Démocratie

les velléités morales de la communauté internationale : pour preuve, l’impossible résolution de la question kurde au nom de l’intégrité territoriale de l’Irak, de l’Iran, de la Syrie et de la Turquie ; – un système de valeurs, où la défense de la démocratie et des droits de l’homme (Kosovo) l’emporte sur le principe de souveraineté et sur le droit international, où l’intervention militaire peut être illégale mais légitime, et dans lequel s’effacent et les contraintes stratégiques de la puissance et

obligation, une loi pour le parti. L'atmosphère de discussion devient dangereuse à l'extrême, elle met manifestement en péril la dictature du prolétariat... » « Nous tirerons à présent de ces leçons une conclusion politique, et pas seulement une conclusion indiquant telle ou telle erreur, mais une conclusion politique touchant les rapports entre les classes, entre la classe ouvrière et la paysannerie. « Ces rapports ne sont pas tels que nous le pensions. Ils exigent du prolétariat une cohésion et une

Etats-Unis maitrisent toutes les formes de puissance et d’ailleurs ils constituent la seule superpuissance et finalement le cœur de la mondialisation. Quels sont les aspects et les armes de la puissance des Etats-Unis dans le monde ? Sur quels fondements territoriaux et humains repose cette puissance ? Quelles en sont les limites ? Comment la puissance se manifeste-t-elle dans l’organisation des territoires des Etats-Unis ? I) Les manifestations de l’hyperpuissance américaine Les Etats-Unis constituent

Autorité et démocratie sous le IIe Empire Intro Du coup d’Etat de décembre1851 à la proclamation de l’Empire, une année s’écoule durant laquelle Louis-Napoléon Bonaparte met en place les fondements du régime futur. Après la ratification du coup d’Etat par un plébiscite, puis la promulgation en janvier 1852 d’une Constitution qui accorde à Bonaparte, des pouvoirs quasi-autocratiques, commence à partir de décembre 1852, une période que les historiens ont pris coutume de dénommer « l’empire autoritaire »

des Lumières se caractérise par un optimisme : on croit au progrès de l’humanité. Ce progrès peut être atteint par un esprit scientifique ainsi qu’un esprit critique. Cet élan libertaire du 18e siècle contribuera par ailleurs à la naissance de démocraties. (diapo4) Au18e siècle, on se passionne pour les sciences et les expérimentations de Sciences et de Raison. Pour les penseurs du XVIIIème siècle, le progrès de l’humanité passe par l’acquisition de connaissances scientifiques. Pour cela, il devient

d’intervenir pour compenser certains déséquilibres. Nous ferons aussi un état des lieus des inégalités en France, de leur lien avec la croissance économique et du rôle possible de l’Etat (Providence) pour les réduire. I. L’idéal égalitaire et la démocratie. L’égalité est une valeur c’est à dire un idéal (modèle absolue de perfection) qui oriente les comportements dans les sociétés démocratiques (les deux autres sont liberté et fraternité autrement dit solidarité). A partir de l’abolition des privilèges

GROUPE : Mr. AWESSOU Abdel Prince AGBODJAN Andy HOUNMONTO Richard SIDI TRAORE Moutiou WOTTO Maxence Anthony PLAN INTRODUCTION I- DEMOCRATIE ET DEVELOPPEMENT II- CAS DE L’OCCIDENT III- CAS DU BOTSWANA IV- DEMOCRATIE ET PRODUCTIVITE : EXEMPLE DU SENEGAL V- DEMOCRATIE ET DEVELOPPEMENT HUMAIN DES MINORITES RACIALES CONCLUSION INTRODUCTION La démocratie n’a jamais été considérée comme un bien pendant la majeure partie de l’histoire de la pensée politique occidentale. Entretemps, elle est

Lille Soutenu le 25 septembre 2006 Jury : Mme Camille Goirand, Maître de conférences à l’IEP de Lille M. Olivier Dabène, Professeur à l’IEP de Paris Résumé Le courant de pensée dominant au Brésil, imprégné par le mythe de la démocratie raciale, considère les inégalités comme sociales, rendant illégitime toute lecture de celles-ci comme raciales. Depuis la fin du XIX° siècle, le mouvement noir, à travers diverses organisations, aujourd’hui sous forme de réseau, s’oppose à cette

Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve - IVe siècles av J.-C.) Athènes est une cité (polis), c’est-à-dire une communauté humaine qui vit sur un territoire délimité composé d’une ville et de la campagne environnante (Attique), qui compte des bourgs plus ou moins importants comme Marathon ou Eleusis [doc 2 p 41]. Aux Ve et IVe siècles av J.-C., Athènes est le théâtre d’une expérience politique nouvelle, la démocratie, le peuple (démos) étant au cœur du système politique, alors que la plupart des

dans le premier volume de l’Encyclopédie, projet visant à permettre aux hommes de se libérer de leurs préjugés, de l’autorité et de leurs peurs diverses, ouvrage qu’il a rédigé principalement avec d’Alembert. Diderot y aborde une réflexion sur les fondements de la monarchie absolue. C’est un texte argumentatif qui énonce une idée très nette peu à peu construite : c’est au peuple que l’autorité appartient fondamentalement. Le texte linéaire se compose de quatre paragraphes : le premier est un préambule