Conclusion Surendettement Ménages

. . . . . . . . . . .243 8.4 La convention AERAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .243 9. Le traitement du surendettement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .245 9.1 Schéma général du dispositif du surendettement . . . . . . . . . . . .245 9.2 Rôle et fonctionnement des commissions de surendettement .245 9.3 Rôle des juridictions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .246 9.4 Inscription au FICP . . . . . .

travail. Alors que l’on refuse l’accession au logement pour les travailleurs précaires et les chômeurs, les ménages concernés sont souvent sollicités par des prêts à la consommation, avec des taux de remboursement beaucoup plus élevés. Certaines personnes au chômage alors fragilisées psychologiquement se laissent tenter par de l’argent facilement disponible et sont confrontées au surendettement. Outre l’inégalité économique, le chômage génère une inégalité sociale et culturelle. La perte de revenu

 25   II-­‐5.3  Une  contraction  du  crédit  ....................................................................................................  26   II-­‐5.4  Des  pertes  patrimoniales  pour  les  ménages  ........................................................................  26   II-­‐5.5  Un  ralentissement  économique  ...........................................................................................  27  

créé par une autre entreprise). Il est une composante de la demande volatile ce qui va provoquer cette instabilité. En effet, il dépend des entreprises et il n’est pas une constante régulière. NB : L’autre composante est la consommation finale des ménages mais celle-ci n’est pas volatile. a) L’analyse keynésienne de l’investissement * L’investissement n’est envisageable que si la demande anticipée laisse présagée des résultats favorables. Il est donc nécessaire d’avoir confiance en l’avenir

montre que les perdants sont toujours les « bons » produits et les « bons » clients. b. L’aléa moral Dans le cas des phénomènes d’«anti-sélection» il a été question des situations où l’asymétrie d’information intervient ex-ante, au moment de la conclusion du contrat, par contre, l’aléa moral se situe après l’octroi du crédit. C’est un risque où l’emprunteur s’engage dans des activités considérées comme indésirables par le prêteur parce qu’elles augmentent le risque du projet auquel est consacré

marché5 menée en 2004 auprès de 1250 bénéficiaires dans sept régions du Maroc a bien montré, entre autres, l’impact positif et significatif du microcrédit sur les dépenses de consommation propres aux clients ainsi que sur les dépenses globales des ménages (un changement positif de l’alimentation, notamment). Vu les apports sociaux incontestables de la micro finance et afin de la promouvoir davantage, le Maroc a, dans le cadre de l’AIM, retenu le thème suivant « Micro finance, vecteur de développement

certes généralement inférieur au rendement des actions mais ces dernières sont également plus risquées. Augmenter l’ endettement accroît éventuellement le rendement des actions restantes mais accroît également leur risque. 9 D’ autre part, un “surendettement” de l’ entreprise peut simplement signaler une chute passée des pro…ts. Le cours des actions baisse car les pro…ts sont positivement autocorrélés. Il manque un cadre théorique pour ré‡ échir à ces questions. Ce cadre est apporté par Modigliani

gouvernance. Chacun de ces domaines comptera jusqu’à une vingtaine d’indicateurs, allant du revenu des ménages à la quantité de polluants émis dans l’atmosphère en passant par le niveau de bénévolat, le taux de décrochage scolaire, la récurrence de certaines maladies et le temps passé avec sa famille. Certains de ces paramètres ont également un impact sur les actes de consommation (pouvoir d’achat des ménages). Mais il y en a, bien entendu, d’autres comme : le niveau des prix, les usages des groupes sociaux

de la zone euro a provoqué une chute sans précédent de l’activité et de l’emploi dans beaucoup de pays : Espagne, Portugal, Grèce, Irlande ; elle menace désormais l’Italie et la France. Elle implique les États, les banques, les entreprises et les ménages, les investisseurs institutionnels. Elle inquiète les États- Unis, la Chine. Comment en sommes-nous arrivés là ? Et quelles solutions durables peut-on envisager ? Chapitre I : la crise de la zone euro 1-Définition La zone euro est une zone

. . . . . . . . . . .243 8.4 La convention AERAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .243 9. Le traitement du surendettement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .245 9.1 Schéma général du dispositif du surendettement . . . . . . . . . . . .245 9.2 Rôle et fonctionnement des commissions de surendettement .245 9.3 Rôle des juridictions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .246 9.4 Inscription au FICP . . . . . .