Conclusion Tartuffe Faux Dévots

Tartuffe ou l'imposteur est une comédie satirique écrite en V actes et en vers par Molière qui est né en 1622, fils d'un bourgeois Parisien il fit des études de droits mais décida d'être comédien et fonda l'illustre théâtre. Il est mort sur scène en 1673 lors d'une représentation du malade imaginaire. Molière a fixé le modèle de la comédie classique et est un auteur classique très reconnu. Tartuffe fut représenté pour la première fois en 1664 devant le roi Louis XIV mais fut ensuite interdite car

: denis.girardet@hepl.ch 2 septembre Examen : - 8 œuvres (Thème : satire - formes et limites de la satire). [Titres à la main soulignés, à l’ordinateur en italique] - Diderot, Contes. - Molière (2ème moitié du XVIIème siècle), Le Tartuffe (1667). - Pièce qui a fait scandale et a été a plusieurs fois interdite. - 1667 date ou il a été permis et joué pour la première fois. - Comédie avec des moments de farce et un happy-ending. - Louis XIV, dit le roi soleil, mort en 1715

Tartuffe MOLIERE : Jean-Baptiste Poquelin - né à Paris en 1622 - mort en 1673 (à Paris aussi) - se consacre au théâtre à 21 ans - Dramaturge, comédien - écrit des comédies, des comédies-ballets - Principales œuvres : L’école des femmes (1662), Dom Juan (1665), Le médecin malgré lui (1666), Le Bourgeois gentilhomme (1670), Le malade imaginaire (1673). LA PIÈCE : Comédie - 5 actes, entre 5 et 8 scènes chacun - aussi appelée “Tartuffe ou l’imposteur” - 1664 Personnages : *

Commentaire composé : Tartuffe – Molière Introduction : Le XVII° siècle est important pour le théâtre classique, celui-ci devait suivre trois règles fondamentales : L’action doit se dérouler en vingt-quatre heures, en un seul lieu et doit être constituée d’une seule action. On voit apparaître de nombreux dramaturges mais le plus important, pour les pièces comiques, est Molière.  Cet auteur est apprécié car son comique est toujours significatif, c’est-à-dire qu’il cherche à faire rire en s’inspirant

Tartuffe ou l’imposteur​ , Molière, 1664 et  la cabale des dévots  Introduction    Tartuffe ou l’Imposteur​  représentée pour la première fois au​  ​ châteaux de  Versailles le 12 mai 1664​ , est une pièce de théâtre appartenant au genre de la ​ grande  comédie morale, c’est­à­dire qui étudie les moeurs​ , les critique et envisage de les  corriger.​  Molière​ , son auteur, croit en l’utilité morale du théâtre comique et ​ Tartuffe​  est  la plus morale de toute ses comédies, celle où il déclenche

Tartuffe est un personnage double, battit sur un contraste et une tension. 2 catégories, catégorie des dévots, et le non-dévots. Tartuffe est un faux dévot. Il faut savoir comment il va se révéler aux autres. Tout cela fait que Tartuffe est une pièce de baroque parce que c est une pièce en mutation, tartuffe porte u masque et c est typiquement baroque, c'est un héros multiforme et c'est bien sa un héros baroque mais Molière le dépouille de tout prestige. Il y a tartuffe dont les gens parlent et

Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, fut un grand auteur comique français du XVIIe siècle. Provocateur, il a osé critiquer, dans Tartuffe, une société qui ne permettait pas l’expression ouverte d’idées non-conformes au système de pensée en vigueur . Créée en 1669 au Palais-Royal de Paris, cette pièce en cinq actes et en vers dresse le portrait d'un faux dévot, Tartuffe, qui, en tant que directeur de conscience, s'introduit dans la maison d'Orgon et tentera de séduire Elmire, la femme de son maître

Tartuffe, III, 3, v. 925-1000 (plan détaillé) Un discours amoureux qui en soi n'a rien de ridicule... mais qui échoue. En soi, le discours de Tartuffe est un "discours amoureux" classique : vocabulaire mélioratif et hyperbolique ("les plus rares merveilles", "des beautés", "parfaite créature" ; posture de suppliant que prend l'amoureux : omniprésence du "je", mais un "je" qui se dévalorise : "mon infirmité", "mon néant"... La dame, elle, est "souveraine", a entre ses mains le sort de l'amant

Tartuffe, III, 3, v. 925-1000 (plan détaillé) 1. Un discours amoureux qui en soi n'a rien de ridicule... mais qui échoue. 1. En soi, le discours de Tartuffe est un "discours amoureux" classique : 1. vocabulaire mélioratif et hyperbolique ("les plus rares merveilles", "des beautés", "parfaite créature" ; 2. posture de suppliant que prend l'amoureux : omniprésence du "je", mais un "je" qui se dévalorise : "mon infirmité", "mon néant"... La dame, elle, est

Tartuffe, acte 1, scène 1 Introduction Molière a eu du mal à faire représenter Tartuffe à cause de la censure. En effet, on pensait qu'il critiquait la religion. Il a répondu à ces accusations dans la préface de Tartuffe : Molière y explique qu'il ne critiquait pas la religion mais les faux dévots. Faux dévots = quelqu'un qui utilise la religion à des fins malhonnêtes. Tartuffe veut faire croire qu'il est un vrai dévot pour obtenir des avantages. Pour cela il va prier devant tout le monde