Concurrence Pure Et Parfaite Néoclassique

fusions et concentrations d’entreprises sont régulièrement empêchées par les autorités gouvernementales avec comme motif la préservation de la concurrence. Ainsi, la concurrence correspond à la rencontre de l’offre et de la demande à laquelle aboutit la fixation d’un prix. De ce fait, le marché de concurrence pure et parfaite selon les économistes néoclassiques réunit cinq conditions : l’atomicité des agents, l’homogénéité des produits, la transparence, la libre entrée et la libre sortie, et enfin la

service de ses droits. Le libéralisme a été mis en place à travers le droit naturel, il existe des lois économiques qui sont indépendantes de ce que veulent les gouvernements. Pour ces physiocrates la liberté individuelle dans des conditions de concurrences parfaite doit être au centre du libéralisme. Cette liberté individuelle va permettre à chaque individu de trouver son intérêt propre d’où à la contribution du bien être collectif. Trois lois sont à retenir : Cette loi naturelle doit être considérée

marché) mais aussi plus réaliste d'un marché de concurrence imparfaite (monopole, concurrence monopolistique). A] Formation de l'offre, de la demande et du prix d'équilibre sur le marché Hypothèses - La concurrence pure et parfaite (CPP) - Le libéralisme - L'individualisme méthodologique La CPP a 5 conditions Concurrence pure: il n'y a pas de monopole et aucune entreprise ne peut prendre le dessus. Concurrence parfaite: la concurrence peut se faire. Conditions Définition Illustration

donc la croissance potentielle. Qu’il soit public ou privé c’est une variable stratégique, car il engage l’avenir. investissements et financement 1) L’investissement face aux théories : A- le débat sur la monnaie : |Classiques/ néoclassiques |Keynésiens | |Jean-Baptiste Say, « la monnaie n’est qu’un voile, les produits|Pour Keynes, la monnaie n’est pas seulement un voile , elle est| |s’échangent

faire 3 choses : produire échanger répartition des richesses Les économistes néoclassiques appréhendent l'entreprise comme une structure abstraite (fin 19e siècle) : les acteurs sont perçus comme des Homo oeconomicus rationnels... … dans un système de Concurrence Pure et Parfaite (libre fixation de prix, pas de monopoles, atomicité du marché). Les sciences économiques décrivent longtemps l'entreprise ( jusqu'à

régulation n’est pas toujours efficace d’autant plus que des situations de marché sont imparfaites. A contrario, les Keynésiens : John Maynard Keynes (1883-1946). Il ne rejette pas l’économie de marché, mais il pense, à l’inverse des classiques et néoclassiques, que l’économie de marché, laissée à elle-même, ne permet pas d’assurer le plein-emploi et que l’état doit intervenir pour réguler la demande globale. Pour réguler l’économie y a-t-il une solution idéale ? Pour répondre à cette question, nous allons

l'autoconsommation. Mais les nobles passés commandent aux commerçants et aux artisans. L'économie de marché désigne en réalité un processus par lequel la production tente à être destinée à la vente plutôt qu'à l'autoconsommation. Il n'y a pas d'économie de marché pure car il y a toujours une partie des B et surtout des S produits qui sont auto-consommer (se faire à manger, ranger la maison...). D'autre part, certain B & S ne peuvent pas être produit par le marché, c'est ce qu'on appelle des bien collectif : il

sociaux. Interaction de 3 données sur un 'marche libre : offre/demande de travail, salaire Stiglitz : avec salaire d'efficience Conditions de concurrence pure et parfaite : - atomicité du marche, fluidité des facteurs, homogénéité des produits, libre circulation des infos, transparence du marche. Néoclassique :disent que c'est un marche parfait,le taux de salaire réel est un prix de marche il dépend de la tension entre offre et demande. Offre de travail, fonction croissante du salaire réel

en emplois nouveaux.  Du coté de l’entreprise, une baisse du coût du travail est favorable à l’emploi : l’analyse néoclassique ou marginaliste (pensée libérale née au XIXe siècles : voir notamment Alfrefd Marshall, Principes d’économie politique,1890 ; A.C. Pigou, Théorie du chômage, 1933) relie directement le coût du travail à l’emploi. En situation de concurrence pure et parfaite, les mécanismes d’ajustement automatique du marché doivent assurer le plein-emploi. Le chômage résulte de rigidités

souvent appelé « libéralisme néoclassique ». Ils contestent l’efficacité des actions de l’État mais sont plus sensibles que les libéraux classiques aux critiques partant des « défaillances du marché ». De ce fait, ils diffèrent quant aux limites exactes à fixer aux interventions de l’État. Actuellement, le libéralisme classique est devenu très minoritaire, et les tenants du libéralisme économique font en grande majorité reposer leurs positions sur le libéralisme néoclassique. En conséquence, la plupart