Concurrents Indirects

il en manque. Ajouter des adjectifs épithètes ou des propositions relatives descriptives qui permettront de mieux visualiser la scène. Utiliser des figures de style : métaphores et comparaisons. Ajouter des dialogues. Convertir le discours indirect en dialogue (discours direct), ce qui permet de bien l’étoffer. - Respecter la forme et le genre du texte Garder la même situation d’énonciation. Repérer les marques de la présence du narrateur et utiliser les mêmes (« je », modélisateurs

Pour cela, la description est très détaillée : c’est le cas avec l’explication du registre mortuaire de la ligne 21 à 26. Pour accentuer cet effet, le discours rapporté est un moyen de rendre la fausse autobiographie réelle. Il s’agit du discours indirect libre : comme le discours direct, il rapporte les paroles mais sans indiquer un changement d’énonciation. Il n’y a plus de guillemets, marques du discours direct mais les deux points sont présents ligne 6, ainsi que le point d’exclamation comme si

vient leur dire (de façon sérieuse): «J’ai presque gagné.» Marie dit alors à son amie: 8) Il dit qu’il a presque gagné. 9) Le pauvre. Il pense qu’il a presque gagné. 10) Il a presque gagné. Non. 11) Il a presque gagné. Le discours indirect de (8) constitue une marque explicite d’attribution («Il dit que»), tandis que l’attitude du locuteur est implicite. Dans (9), l’attribution est toujours explicite («Il pense que»), mais l’attitude devient explicite aussi («Le pauvre»). Dans (10)

d’Andervilliers, pour une soirée au château de la Vaubyessard, constitue la première incursion exotique dans un monde étranger à la platitude de la société bourgeoise. Le passage décrit l’arrivée des époux Bovary dans la propriété du marquis, et, de manière indirecte et discrète, prend en charge le point de vue d’Emma pour montrer toute l’admiration que suscite en elle l’exhibition de tant de luxes et de beautés. Toute la puissance et la complexité de l’œuvre sont résumées dans cette simple description, qui fait

l’accusée) en face d’un public charger de juger. Alternance entre « je » et « elle ». A l’arrière, le public est nommé avec un « on » indéterminé. Solennité dans le ton. Marion s’exprime au discours direct pour l’innocence et Rousseau au discours indirect pour le mensonge. Rapporté au présent de narration. C’est le moment crucial - Le verdict : * Renvoi dos à dos les deux partis : « le comte Laroque… » B) Les protagonistes 1°) Le portrait de Marion : Analespse explicative. Elle est

jugement. 2) L'avocat et son discours La remarque de Meursault « beaucoup moins de talent » l.21 souligne le caractère artificiel des félicitations. Meursault prend soin de citer de manière directe son discours, sinon il utilise le mode indirect. Son discours a quelque chose de pénible, en dehors du réel : « heures interminables » l.46. L'avocat prétend dire la vérité : « Moi aussi ... ouvert »l. 22 à 27 et il a une position de supériorité comme si Meursault était un simple objet à analyser

Diable * Guy de Valmont * Maufrigneuse * Un colon * Un officier L’art de Maupassant est fait d’équilibre entre le récit des péripéties, les descriptions limitées et fonctionnelles, et le jeu entre discours direct / discours indirect / discours indirect libre. Il est aussi marqué par l’utilisation de phrases plutôt courtes avec une ponctuation expressive et de paragraphes eux aussi plutôt courts, voire très courts, qui donnent une mise en page aérée. La langue, quant à elle, est soutenue

La Fontaine commence de façon originale sa fable : en effet les deux premiers vers constituent une petite histoire et sont suivis d'une petite morale de deux vers également, ce qui attise notre curiosité. La formulation du départ «une Tortue était» (v.1), rappelle la formule des contes de fée «il était une fois». La Fontaine condamne ceux qui vont chercher ailleurs ce qu'ils n'ont pas chez eux. Ce petit apologue au début de la fable prépare à la morale qui suit le récit. I- Le récit : une tragi-comédie

maintenant de près les procédés et le dialogue présent dans ce texte. Tout d’abord le narrateur fait alterné les silences et les dialogues ainsi que l’immobilité et les mouvements pour différer la révélation. Certains passages utilisent le discours indirect libre pour restituer les pensées du héros (l.8-16/17), certains passages usent du discours direct (l.24). Le texte insiste également sur la voix l.51 et (surtout) sur l’intensité des regards (l.5/19/27/33/53), également sur les respirations l.45

La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est un impôt indirect sur la consommation. C'est un impôt récent, institué en France par une loi du 10 avril 1954, à l'instigation de Maurice Lauré, alors haut fonctionnaire à la direction générale des Impôts, pour remplacer les impôts sur la consommation (taxe sur le prix de vente payé par les consommateurs ou, ce qui revient au même, taxe sur le chiffre d'affaires des entreprises) et éliminer leurs inconvénients : la TVA est conçue pour ne toucher que le consommateur