Condition de l'homme moderne

« L’Homme romantique n’est pas mort… » Il relève du poncif que de constater que la majorité des poètes romantiques ne sont guères lus de nos jours. Le charme désuet qu’on continue à leur reconnaître ne les empêche pas de vieillir doucement dans la gangue des anthologies poétiques poussiéreuses réservées aux initiés ou aux passionnés, ces nostalgiques incurables. Il est cependant des voix, dont nous pensons, à notre modeste niveau, faire partie, pour s’élever devant ce constat injuste et injustifié

formation, comme une totalisation parfaite, une figure quasi géométrique, un corps doté d’un dedans « territoire national «, et d’un dehors « étranger ».Tout ce qui fait l’Etat est un accomplissement historique qui doit pouvoir être questionné sur les conditions de sa genèse, et le développement de sa notion. Nous disposons d’une multitude de textes choisis, qui nous expliquent les différentes théories de l’origine des Etats, ainsi leurs fonctions et développements. Cependant, il faut bien noter que la

I) Présentation de l'œuvre Titre de l’œuvre : Les temps modernes Date de création : 1936 Type d'œuvre : film muet en noir et blanc Producteur et réalisateur : Charlie Chaplin Biographie de l'artiste : Charles Chaplin est né en 1889 à Londres. C’est un « enfant de la balle » : son père est comique, sa mère chanteuse. Charlie Chaplin débute sur scène à 5 ans. Il est repéré aux Etats-Unis par la Keystone, firme spécialisée dans le burlesque. Il crée le personnage de Charlot en 1914, le

Les temps modernes Charlie ChaplinLes temps modernes Les temps modernes - 1936 Charlie Chaplin I- PRESENTATION. Titre: Les temps modernes Réalisateur: Charles Chaplin. Pays: États unis Date: 1936 Genre : Comédie Domaine artistique: oeuvre cinématographique. Durée: 87minutes (long métrage). Format : 35 mm, 1,33:1 Caractéristiques techniques principales: Muet, noir et blanc. Genre cinematographique. Film engagé, politique. Le film est une satire du travail à la chaîne et un

d’éclaircir dans le texte suivant, en passant des racines de la philosophie de l’histoire, en examinant les précédents auteurs, jusqu’au progrès technologique issu de la science physique pour combler les désirs toujours grandissants de l’homme. Fukuyama nous dit que l’homme est lié à la technologie et au travail rationnel qui le conduit indirectement à la démocratie libérale. Dans le premier chapitre du livre, Fukuyama fait un retour en arrière pour nous exposer les premiers auteurs d’une histoire universelle

technique libère-t-il l’homme ? Introduction La technique est à la fois considérée comme un moyen au service de l’homme et comme une menace à l’égard de la nature et de l’homme. D’une part, la technique provoque en l’homme l’espoir d’une libération. Et d’autre part, elle engendre le sentiment de la crainte d’un asservissement, d’une aliénation. Il y a donc une ambivalence qui sous-tend le rapport de l’homme à la technique. Ambivalence parce que la technique confère à l’homme une volonté de puissance

sens donné à sa vie : en travaillant, l'homme s'inscrit dans l'histoire. Pour lui le travail permet la réalisation de la personne. En devenant un homme réalisé, il donne de son temps pour ce travail qui le guide sur le chemin de son existence. Emile Verhaeren a une vision beaucoup plus sombre : il décrit le travail industriel, en plein essor à son époque, comme une corvée absurde. Pour lui, le travail des foules est une entrave à la réalisation de soi, et l'homme ne donne plus son temps par plaisir

gouvernements représentatifs se sont installés durablement et font désormais partie intégrante des sociétés modernes. En effet, quand on parle de “la politique”, on désigne en philosophie ancienne en grec la “polis”, càd la Cité, et “techné” : la Science, la fin de la Politique sera le bien proprement humain, soit une science du gouvernement de la cité. En s’intéressant à la philosophie moderne on parle plutôt de la politique comme l’ensemble des options prises collectivement ou individuellement

avant même de pouvoir s’exprimer. Cette punition, qui scelle la naissance mythique de l’humain, s’exprime par la condamnation de l’homme au travail : contrairement à l’animal qui jouit immédiatement des fruits de la nature, toi, homme, «tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ! ». Paradoxalement le travail est, et restera, source de fierté et de réalisation pour l’homme, ce dernier porte des jugements contradictoires concernant le travail, des jugements que l’on retrouvent dans nos opinions communes

ordinaire, mais cette égalisation des conditions s’accompagne d’un développement croissant du règne de la loi qui, remplaçant le règne des hommes, place un pouvoir impersonnel et anonyme au-dessus de toutes les volontés particulières. La démocratie, c’est le règne anonyme de la loi en lieu et place de l’arbitraire des volontés. Cependant, force est de constater, d’une part, que les conditions mêmes qui sont censées garantir l’enracinement de cette égalisation des conditions se sont rapidement révélées comme