Conditionnel

précisé : « Je partirai quand elle sera venue. » Il a précisé qu’il partirait quand elle serait venue. LES TEMPS VERBAUX Discours direct Discours indirect Présent Imparfait Passé composé Plus-que-parfait Futur simple Conditionnel présent Futur antérieur Conditionnel passé Passé récent Venir de (à l’imparfait) + infinitif Futur proche Aller (à l’imparfait) + infinitif LES RÉFÉRENCES DE TEMPS Discours direct Discours indirect Aujourd’hui Ce jour-là Demain Le lendemain Hier La

(conduire), morire (mourir), nuocere (nuire), parere (paraître), porre (poser), rimanere (rester, demeurer), salire (monter), scegliere (choisir), sedere (s'asseoir), tenere (tenir), togliere (ôter), trarre (tirer), udire (entendre) et valere (valoir). Conditionnel: Mode de l’hypothèse ou de la condition. ARE: Parlerei . Parleresti . Parlerebbe . Parleremmo . Parlerebbero . Parlereste ERE: Prenderei . Prenderesti . Prenderebbe . Prenderemmo . Prendereste . Prenderebbero IRE: Partirei . Partiresti . Partirebbe

marque d’action bornés dans le temps mais il évoque des actions passées en cour de déroulement. L’imparfait peut aussi avoir une valeur de description mais aussi une valeur durative (Il pleuvait depuis trois jour) Le plus-que-parfait et le conditionnel présent Dans un récit au passé le plus-que-parfait explique une action antérieure au fait exprimer au passé simple ou à l’imparfait. Les règles de formation du subjonctif : Le subjonctif présent : pour tous les verbes sauf l’auxiliaire avoir

ou des états non réalisés, souhaités, incertains. - Le conditionnel exprime des actions ou des états dont la réalisation n’est (ou n’était) pas certaine et dépend (ou dépendait) d’une condition. - L'impératif exprime l’ordre, la défense, l’encouragement, l’invitation. Notons que l'impératif ne se forme qu’avec les pronoms (non exprimés) tu, nous, et vous. Chacun de ces modes est subdivisé en temps. Modes → Temps Indicatif Conditionnel Subjonctif Impératif Participe Gérondif Infinitf X

(sortir) : saldré.  Tener (avoir,posséder): Tendré  Venir  (venir): vendré.  haber (avoir ,auxiliaire) : habré.  Saber (savoir) : sabré.  Decir (dire) : diré  Querer   (aimer,souhaiter,vouloir) querré. hacer (faire): haré. Le conditionnel : Le conditionnel se forme à partir de l'infinitif auquel on ajoute les terminaisons en "ia" de l'imparfait. HABLAR | COMER | VIVIR | hablia | comia | vivia | hablias | comias | vivias | hablia | comia

1. ATTENDRE = wachten Indicatif Conditionnel Présent Passé composé Présent Passé Je Tu Il Nous Vous Ils attend s attend s attend attend ons attend ez attend ent J’ Tu Il Nous Vous Ils ai attendu as attendu a attendu avons attendu avez attendu ont attendu Je Tu Il Nous Vous Ils attendr ais attendr ais attendr ait attendr ions attendr iez attendr aient J’ Tu Il Nous Vous Ils aurais attendu aurais attendu aurait attendu aurions attendu auriez attendu

Temps des VERBES (tous n’y sont pas !) Récit au présent (ancré) Récit au passé (coupé) présent simultanéité imparfait, passé simple passé composé, plus-que-parfait antériorité plus-que-parfait futur simple, futur antérieur postériorité conditionnel présent, passé 1+2 La marque de la PERSONNE n’est guère pertinente puisque de nombreux textes ont utilisé longtemps un système des temps verbaux du passé (coupé) allié à la première personne (il faut citer les confessions, les grands romans

Cette douleur relève du registre lyrique. Elle se métamorphose singulièrement dans la seconde strophe, puisque le présent d’énonciation, ou de répétition, (« siffle et chante » (v.15)) fait place aux temps de l’irréel du présent, imparfait et conditionnel présent (« trouvais », vers 18 / « pourrais », vers 21). Le poète nous livre une sorte de fantasme, qui mêle désir de revoir la femme morte et angoisse de la culpabilité. En effet le poète se sent coupable d’avoir délaissé la morte « qu’il n’oublie

désignation choisie, « un enfant », puis de la troisième personne du singulier permet de donner une véritable autonomie à cet enfant qui devient une sorte de personnage à part entière. De plus les deux présents d'énonciation qui débouchent sur le conditionnel présent renforcent l'autonomie du personnage qui semble pouvoir agir même dans le temps présent du narrateur. Cela renforce l'effet de mise à distance. Mais, après une relecture, le lecteur averti, qui connaît les origines d'Albert Camus, comprend

entraîne un système verbal particulier. De fait, contrairement à ce que l’on pourrait attendre, aucun passé n’apparaît dans ce poème. La plupart des verbes sont au conditionnel présent, et les autres verbes sont tous au présent de l’indicatif. La dernière strophe notamment voit s’achever la fin de la structure principale au conditionnel pour consacrer le présent comme temps final. Le souvenir n’est donc pas pour le poète un procédé de ressassement du passé, mais constitue comme un objet qu’il manipule