Conditionnel

imminence contrariée : « Si je n’avais reçu dès le lendemain une lettre de Pierret, je me mettais en route » (G. Sand, lettre du 9 juillet 1837 à sa mère), « Sans la présence d’esprit du mécanicien, le train déraillait ». Ici, on s’attendrait à un conditionnel passé plutôt qu’à un imparfait.

cette extrait d’Alfred Musset,le personnage de Marianne fait des avances a Octave,ami de Coelio,qui a été tué par Claudio,marie de Marianne. Sans savoir qu’Octave ressent des sentiments elle,Marianne le flatte. Dans ce cas là,l’auteur se sert du conditionnel présent ce qui lui sert a émettre une hypothèse. Vers1-2 Elle lui fait comprendre qu’il est important a ses yeux en reprenant sa phrase Vers 31 et en ajoutant que sa place n’est pas vide sur terre. Vers 32. Nous pouvons voir aussi que Marianne

fatigué. 12. Nous (prendre) des cours de natation au complexe sportif. 13. Mes amis (devenir) des experts en informatique. 14. Nous (être) fiers de nos résultats scolaires. 15. Vous (venir) au cinéma avec nous. Mettez les verbes suivants au conditionnel présent 1.Nous (aller) à la campagne. 2. Ils (faire) du vélo tout l'été. 3. Je (prendre) souvent l'autobus et le train. 4. Tu (aller) au collège à pied. 5. Vous (ne pas être) des étudiants paresseux. 6. On (venir) ici tous les dimanches.

expliquer combien ». Le recours au conditionnel souligne le caractère tout-puissant du narrateur qui a le pouvoir de décider du rythme du récit : « il faudrait en faire » ; par là, il brosse le portrait de deux types de lecteur : ce « vous », qui est le lecteur idéal, dont l’imagination est portée par la fiction (« Vous y verriez »), et un lecteur qu’il faut contenter par d’autres moyens (« que les gens pressés ne pardonneraient pas »). Le recours au conditionnel présent, à la fin du passage, signale

En quoi les didascalies st-elles importantes ?       Que veut prouver Antigone A Hémon ? De quoi doute-t-elle ? (désir d’être une femme, peur de ne pas en être capable p.39-40)       Quel tps utilise-t-elle quand elle évoque leur enfant ?  conditionnel passé (irréel du passé)       Hémon perçoit-il la portée des paroles d’Antigone ?  non, ne songe qu’à la réconforter et lui prouver son amour après leur dispute de la veille       Pourquoi demande-t-elle à Hémon de partir sans la questionner 

preuve de bienséance. Il est pour ainsi dire un honnête homme : « Je devrais faire ici parler la vérité » (v.1088) et « Examiner ma vie et songez qui je suis. Quelques crimes toujours précèdent les grands crimes. » (v. 1092-1093)Le temps de verbe du conditionnel présent employer dans la première citation prouve qu’Hippolyte devrait avouer la vérité caché, mais s’abstient afin de ne pas aggraver la situation. En plus, l’impératif de la seconde citation a pour but d’amener Thésée à se questionner et à se

Sujet : J’écris une nouvelle policière en m’inspirant de nouvelles étudiées en classes : La narration se fera à la 3è personne du singulier. Tu utiliseras le système des temps du passé (imparfait, passé simple, plus que parfait et conditionnel présent). ___________________________________________________________ Crime sanglant à Moorea C’était une belle journée à l’hôtel Sheraton de Moorea, le ciel était d’un bleu immaculé, les oiseaux des tropiques gazouillaient

personnages. Comme dans une tragédie, on nous annonce la mort des personnages sans que nous ne puissions rien y faire. Le narrateur s’affirme aussi comme tout puissant dans son récit : le destin des personnages est entre ses mains. * Verbes au conditionnel présent (futur dans le passé. L78 0 90) + aller à l’imparfait. « le malheur allait fissurer les vies pleines de ces hommes et femmes ». Emploi du passé simple (= moment passé, définitivement terminé) : « ce fut l’apogée du clan » => c’est maintenant

aux moulins par bandes" (Alphonse Daudet). Elle se levait tous les matins à 7 heures. - L'imparfait peut traduire aussi un fait présent ou futur après un 'si' marquant l'hypothèse ou la supposition c'est-à-dire : si + imparfait de l'indicatif = conditionnel présent: Si j'étudiais, je réussirais. - On utilise l'imparfait pour exprimer qu'une action aurait été sur le point de se produire : Un pas de plus et je tombais. - L'imparfait peut impliquer un présent que l'on veut atténuer : J'allais vous

« cracher ») s'allie au rythme emporté de ses répliques qui reposent parfois sur des anaphores (« à genoux... », « pour qui... ? »). Sa veulerie est sensible dans son style qui abonde en questions rhétoriques (et non en affirmations), qui recourt au conditionnel modalisateur (irréel du passé : « tu aurais été bannie » et irréel du présent : « on te cracherait ») ; ses formulations sont souvent indirectes, cauteleuses. III. Mathilde : une hallucinée révoltée, tournée vers l'avenir et l'action Mathilde