Conditionnel

l'usage de pronoms, de synonymes, de conjonctions de coordination et de subordination. Transcrire le texte que vous aurez rédigé au passé, aux temps du récit, en employant correctement le passé simple, l’ imparfait, le plus-que-parfait et le conditionnel présent à valeur de futur du passé.. Allez à la ligne quand le texte passe de la narration à la description.   Reconstitution de texte (d'après MAUPASSANT)   1) Le père Boniface sort de sa maison. 2) Le père Boniface constate une chose

essentiel de repérer la structure de la première phrase et d’en tenir compte * La présence de Si : La phrase débute par Si, ce qui attire l'attention sur l'idée d'une condition. Cette idée est soulignée par le mode du verbe principal, je dirais. Le conditionnel présent peut avoir ici valeur de potentiel (action réalisable dans l'avenir) ou d’irréel dans le présent (action irréalisée dans le présent). La présence de la condition, la volonté de défendre l'esclavage, éclairent le choix modal. Il s'agit d'une

français. Il n’est pas facile, en effet, de savoir si nous devons écrire une ou deux consonnes, car la prononciation est rarement fiable en cette matière. Certes, nous « entendons » la différence entre je courais (indicatif imparfait) et je courrais (conditionnel présent), mais, la plupart du temps, cette différence est imperceptible dans la prononciation. Comparons : appeler / apercevoir, ennuyer / enivrer, carotte / échalote. De plus, les dérivations n’obéissent pas toujours aux mêmes règles. Ainsi, si

parfait, en général avec un verbe à l’imparfait (dès qu’il avait finit, il descendait) * Le passé antérieur, en général, avec un passé simple (dès qu’il eut fini, il descendit) Les faits postérieurs : On utilise les deux temps du conditionnel (le présent et le passée) ; Exemple : Le lendemain, dès qu’il aurait préparé sa valise, il partirait Futur antérieur

(répondre) _________________ qu’à l’époque, elle (s’en rendre) _________________ compte, mais qu’elle (décider) _______________ de ne rien lui dire. Conjuguez les verbes de ce texte aux temps du récit (imparfait, passé simple, plus-que-parfait, conditionnel). Depuis qu’il (être) ______________ en âge de parler, Roger (savoir) ______________ qu’il (devenir) ______________ un grand tennisman. Il (montrer) ______________ déjà un talent précoce, balle en main. Pour parvenir à son but, il (décider)

forain accoste Frik. Ceci est l’élément qui met en route l’histoire, le récit. Le contrat de narration se termine à se moment là pour laisser place au contrat de la fiction. Les temps verbaux de la p.1 à 14 sont principalement le présent et le conditionnel présent et imparfait ; c’est du discours. Dans les pages qui suivent les temps utilisés sont, le passé simple et l’imparfait ; c’est du récit. En utilisant à nouveau le présent dans les pages suivantes, le narrateur nous donne des informations

que l’auteur veut garder la mémoire de la femme et son camarade eternel. Pour la première moitié du texte, « tu » utilise le présent de l’indicatif : « ma femme est belle comme l’aube ». Mais pour la deuxième moitié, « tu » utilise le conditionnel présent, « je voudrais » ce qui signifie un empêchement. Ce texte est encadré par l’imparfait de l’indicatif : « Tu me disais ». Cette encadrement appuie sur le fait que la femme de « tu » n’est qu’un souvenir lointain. Pour conclure

de repérer la structure de la première phrase et d’en tenir compte * La présence de Si : La phrase débute par Si, ce qui attire l'attention sur l'idée d'une condition. Cette idée est soulignée par le mode du verbe principal, je dirais. Le conditionnel présent peut avoir ici valeur de potentiel (action réalisable dans l'avenir) ou d’irréel dans le présent (action irréalisée dans le présent). La présence de la condition, la volonté de défendre l'esclavage, éclairent le choix modal. Il s'agit d'une

boules de bowling (p. 179, ligne 4) Grammaire Je me sentais en pleine résurrection. (p. 179, ligne 13) Verbe Pronominaux (réflexive) se sentir vs. sentir vs. ressentir ...à montrer à qui voudrait les voir les trous... (p. 179, ligne 14) Conditionnel présent (3e personne du singulier) ...il faudra oublier. (pg. 180, ligne 27) Futur de l’indicatif avec falloir (3e personne du singulier) Passage Court «Je suis un grand...il faudra oublier. (p. 180, Ligne 20 à ligne 27) J’ai choisi

plus-que-parfait, passé antérieur) la concordance des temps doit être appliquée. STYLE DIRECT _______________ STYLE INDIRECT  Présent ________________________imparfait Passé composé_________________ Plus-que-parfait  Futur simple____________________ Conditionnel présent  Futur antérieur___________________Conditionnel passé Impératif________________________Infinitif (ou subjonctif)  Présent du Subjonctif _____________ Imparfait du subjonctif  Passé  du subjonctif_______________ Plus-que-parfait du subjonctif